Les associés d'une SARL jouissent de prérogatives pécuniaires au sein de la société. Ils disposent notamment du droit de : Percevoir les dividendes ; Céder, nantir ou encore donner leurs parts sociales.
Il s'agit de droits économiques et sociaux, tels que le droit à l'instruction, le droit à la santé, le droit au travail ou le droit d'appartenance à un syndicat. En France, ils sont inscrits dans le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 .
Les associés ont le droit de participer aux décisions collectives. Tout associé a le droit de participer et de voter lors des assemblées générales. La situation est un peu différente pour l'actionnaire, certaines actions pouvant restreindre ses droits, notamment l'action sans droit de vote.
Les droits politiques des associés de SARL
Les associés de SARL ont le droit de participer à toutes les assemblées générales de la société et de voter. Le droit de vote de l'associé d'une SARL est proportionnel au montant de ses apports, sauf dispositions statutaires contraires.
Le gérant représente la société et en est responsable. C'est à lui de rendre des comptes aux investisseurs et actionnaires de l'entreprise et de leur expliquer sa stratégie. Un associé est lui propriétaire de parts de l'entreprise car il a acquis du capital social de la société à sa création ou ensuite.
En principe la distinction entre associé et actionnaire s'opère selon le type de société. On parle d'associé dans les sociétés de personnes et d'actionnaire dans les sociétés de capitaux.
Les droits que les associés tiennent du contrat de société sont appelés parts sociales. Celles-ci, qui ne peuvent être représentées par des titres négociables, sont comme, toutes les parts des sociétés, de nature mobilière et incorporelle.
L'associé a un droit de vote qui lui permet de participer aux décisions collectives et d'exercer son droit de contrôle sur les dirigeants les révoquant au besoin. Le droit pour tout associé de participer aux décisions collectives est d'ordre public ; les statuts ne peuvent en conséquence déroger à ces dispositions.
La part de chaque associé dans les bénéfices est proportionnelle à la part dans le capital social de la SARL. Pour les associés apporteurs en industrie, la part de bénéfice est égale à celle de l'associé qui a le moins apporté. Les statuts de la SARL peuvent toutefois prévoir une répartition contraire des bénéfices.
Ainsi, les sujets cibles de l'État en matière de droit social sont ceux qui se trouvent en état de vieillesse et atteints de maladie. Toutefois, la protection ne concerne pas uniquement les salariés. En effet, il y a également la sécurité sociale des expatriés français, des nationaux et de la famille du salarié.
Principale différence : le droit social est une branche du droit privé. De plus, il régit à la fois le domaine du travail, mais aussi celui de la sécurité sociale, ce qui n'est pas le cas du droit du travail. Enfin, le droit social s'intéresse tout autant au secteur privé que public.
Ils ont des droits, tant pour protéger leurs intérêts que ceux de la société. Le premier droit des actionnaires minoritaires est celui de vendre leurs actions s'ils ne sont pas satisfaits de la manière dont les dirigeants gèrent l'entreprise.
L'associé a donc pour rôle de participer activement à la vie de l'entreprise en se rendant aux assemblées générales ou en s'y faisant représenter par un autre associé (ou un tiers si les statuts autorisent la représentation par un tiers). L'associé peut prendre part à l'AG, y donner son avis et participer aux votes.
Les droits patrimoniaux Ce sont ceux qui représentent une valeur dans le patrimoine de l'associé ; il y en a deux grands types : les droits sociaux et les droits financiers. Le droit de disposer de ces droits sociaux Lorsqu'il fait un apport, un associé reçoit de droits sociaux.
Un associé est une personne ou une entreprise qui détient une part de capital dans une société à responsabilité limitée (SARL) ou une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL). Les détenteurs de parts de sociétés par actions (SASU, SAS, SA) sont quant à eux des actionnaires.
Traditionnellement, dans les projets à deux ou trois associés qui participent à l'activité de la société, le capital social est réparti à égalité (50/50 ou un tiers chacun). Cette répartition égalitaire peut toutefois être déséquilibrée en pratique lorsque l'on analyse le degré d'implication de chaque associé.
Lorsque le titre de propriété est souscrit dans une société dite « par action » (SA, SAS, SAS à capital variable), on parle d'actions. Lorsqu'il est souscrit dans tout autre type de société commerciale, on parle alors de parts sociales.
La valeur nominale des parts sociales est fixée librement par les statuts. En revanche, toutes les parts sociales d'une société doivent avoir la même valeur nominale. Exemple : si la société dispose d'un capital social de 2.000€ divisé en 200 parts sociales, la valeur nominale d'une part est de 10€.
En réalité, les associés de SAS ne perçoivent pas réellement de rémunération fixe au même titre que les salariés. Ils peuvent percevoir des dividendes. Les dividendes correspondent à la répartition des bénéfices de la société entre ses associés. Ils récompensent l'apport des associés au capital de la société.
Les associés y ont le statut de commerçant et de travailleurs non-salariés, qu'ils soient gérants ou non. Mais en cas de désignation d'un gérant non associé, celui-ci jouit du statut d'assimilé salarié.
Pour être associé, il est primordial d'avoir la capacité juridique que vous soyez une personne morale (une entreprise) ou une personne physique (un particulier). Pour les particuliers, un majeur a la capacité juridique. Du coup, il lui suffit de faire son apport à la société pour acquérir la qualité d'associé.