Stratégie de négociation : quels sont les 4 profils de négociateurs ?
Le négociateur évitant. Se taire peut constituer une tactique de négociation, mais attention les non-dits peuvent réapparaître sous forme de conflits. ...
Quelles sont les 3 trois grandes phases de la négociation professionnelle ?
Étape 1 : la préparation de la négociation. Étape 2 : la planification et l'organisation de la rencontre de négociation. Étape 3 : la négociation. Étape 4 : la rédaction de l'entente.
La négociation commerciale est une démarche de communication ayant pour but de parvenir à un accord commercial. Ce processus passe par la confrontation des attentes, intérêts, positions et points de vue des négociateurs.
Le processus de négociation comprend 5 phases principales :
la préparation de la négociation; • la discussion du problème; • la proposition de solutions; • la négociation dʼun compromis; • la finalisation dʼun accord.
En se fixant des objectifs clairs, réalistes et en étant précis. Inutile de s'éparpiller sur des thématiques généralistes avec de grandes expressions toutes faites. Une bonne négociation exige donc une préparation minutieuse du terrain et des points que l'on pourrait vous opposer.
Une négociation commerciale est nécessairement la rencontre entre deux parties dont l'une personnifie l'offre (le « vendeur » ou le « fournisseur ») et l'autre sa contrepartie (l'« acheteur » ou le « client »). Cette rencontre constitue effectivement la « situation de négociation ».
La négociation gagnant/gagnant vise à maximiser le but commun en maximisant les intérêts de chacun. Elle repose sur une exploration approfondie des besoins qui sous-tendent les demandes, et la recherche commune de solutions créatives susceptibles de répondre au mieux à ces besoins.
Le Larousse de 1923 en deux volumes établit clairement la différence : est négociant celui qui fait le commerce alors que le négociateur est « celui qui négocie une affaire considérable auprès d'un Prince ou d'un État, et, par extension, celui qui négocie une affaire quelconque ».
Cela signifie que les négociateurs pensent qu'ils ne peuvent atteindre leurs objectifs simultanément et que tout gain engrangé par l'un est accompagné par une perte équivalente chez l'adversaire.
Les bons négociateurs sont ceux qui ont la certitude chevillée au corps qu'il est possible d'établir des consensus, même partiels, pour avancer vers un accord global. Ils sont profondément pragmatiques, ne nient pas les désaccords lorsqu'ils existent, mais cherchent tous les moyens de les contourner.
Les méthodes OSIRIS (outil 1) et ATROCE (outil 2). L'angle alpha (outil 3) pour visualiser l'angle des objectifs maximum et minimum. Les plages de négociation (outil 4) pour comparer les priorités de ses objectifs avec celles des interlocuteurs.
Si les enjeux de la négociation sont, au départ, différents entre les acteurs, la recherche d'une solution acceptable pour tous, mais sans abandon des valeurs fortes de chacun, constitue bien le fond d'une pratique de négociation réussie.
Un accord est acceptable dès lors que son coût est inférieur à celui de la MESORE. Dans le cas contraire, si le coût de l'accord sur la table est supérieur à la MESORE, le négociateur à tout intérêt à faire échouer sa négociation. C'est en ce sens que nous pourrons alors dire qu'il l'a réussi.
La préparation de la négociation conditionne sa réussite. Il importe notamment de connaître à la fois le dossier et la partie adverse, d'établir une stratégie, de mobiliser son équipe, et enfin de créer les conditions du succès.