Ci-dessous sont développés trois principaux risques liés à la sécurité du cloud. La surface d'attaque est l'exposition totale d'un environnement. L'adoption de microservices peut conduire à une explosion de la charge de travail publiquement disponible. Chaque charge de travail ajoute à la surface d'attaque.
Ces données peuvent être revendues à des concurrents ou bien être utilisées contre l'entreprise à des fins malveillantes. La sécurité et la confidentialité des données peuvent être insuffisantes à cause d'une mauvaise gestion des droits d'accès, de mots de passe peu sécurisés, de piratages etc.
Les risques d'attaque et de perte de confidentialité sont augmentés car selon le système utilisé, l'entreprise ne pourra pas forcément travailler ou disposer de ses données hors réseau, Le retour à un service informatique « internalisé » est souvent coûteux et complexe.
Le premier risque lié au cloud computing est l'indisponibilité du réseau : en cas de panne d'internet, l'entreprise peut se retrouver quasiment bloquée, faute d'accès à ses applications ; ce cas est heureusement très rare, de nombreuses solutions de redondance étant la plupart du temps prévues !
Le numérique émet 3,9% des gaz à effet de serre du monde[4]. C'est plus que le transport aérien civil. D'ici 2025, ce chiffre pourrait doubler. La consommation d'énergie des centres de données passera d'environ 200 térawattheures (TWh) par an à près de 3 000 TWh/a en 2030[8].
Inconvénients : Le plus gros point faible de OneDrive, c'est la limite du stockage. Pour lever cette limite, il faut obligatoirement souscrire à Microsoft 365.
Oui, notamment si les accès physiques des datacenters sont sécurisés. Afin que seules les personnes autorisées puissent pénétrer dans le datacenter, on maintient un contrôle strict des accès.
Les informations contenues dans le cloud sont exposées aux cyberattaques et aux piratages informatiques. Les personnes à l'origine de ses actions tentent d'exploiter les failles de sécurité du cloud pour lancer des attaques dans le but d'interrompre les services ou de mettre la main sur des données sensibles.
Il existe quatre principaux types de cloud computing : cloud public, cloud privé, cloud hybride et multicloud. Il existe aussi trois principaux types de services de cloud computing : IaaS (Infrastructure-as-a-Service), PaaS (Platform-as-a-Service) et SaaS (Software-as-a-Service).
Le cloud computing utilise des ressources distantes, permettant aux entreprises d'économiser sur le coût des serveurs et autres équipements. Vous ne payez qu'en fonction de ce que vous consommez.
Les inconvénients de l'infogérance
Si vous n'avez pas défini suffisamment précisément son périmètre d'action, avec un contrat détaillé, et des engagements de service précis, vous pouvez voir apparaître des désagréments, un retard dans l'exécution du contrat, voire des coûts cachés qui pourraient laisser un goût amer.
La synchronisation et la sécurité.
La synchronisation minimise le risque de perte de données en dupliquant celles-ci sur votre poste de travail et un serveur internet, un NAS ou un autre poste. Par contre, l'externalisation de vos informations peut créer un « trou de sécurité », si elle est mal paramétrée.
pCloud et kDrive représentent deux des meilleures solutions pour ceux qui cherchent une solution cloud professionnelle. Les deux services ont leurs forces et leurs faiblesses. À vous donc de définir quels sont vos besoins et de voir qui y répond le mieux.
Aujourd'hui, AWS est largement leader dans l'Hexagone, avec 46 % des parts de marché, très loin devant Microsoft Azure (17 %) et Google Cloud (8 %).
Il vous est toujours possible de désactiver ce service depuis l'icône Cloud ou depuis les paramètres. Cette fenêtre vous permet d'activer ou de désactiver le Cloud facilement et vous indique les éléments récemment synchronisés ou en cours de synchronisation.
Les données dans un Cloud Public
Les fournisseurs mettent en place des mécanismes de sécurité pour garantir la confidentialité des données ainsi que des droits d'accès. Dans cette configuration, les données sont stockées généralement dans de grands centres de données.
La réponse de Cécile Dard: Le mot Cloud est le mot générique qui désigne l'espace de stockage à l'extérieur de votre ordinateur et auquel vous accédez par internet. OneDrive est le nom du Cloud de Microsoft, tous les constructeurs, éditeurs et opérateurs internet en proposent (voir notre article).
Tout d'abord, quelle est la différence entre iCloud et iCloud Drive ? iCloud désigne le cloud, autrement appelé « le nuage », qui représente l'ensemble de système de stockage en ligne. iCloud Drive quant à lui est l'application qui gère ce cloud.
Google Drive est le service cloud de Google, accessible à tous ceux qui possèdent un compte Google. Il permet de stocker des données en ligne afin de libérer l'espace de votre ordinateur. Si vous avez un compte Google, vous avez accès à son service cloud, Google Drive.
La fabrication de nos appareils numériques a également un impact social et éthique. L'extraction des matières premières et la fabrication sont souvent localisées dans des pays où les conditions de travail sont très mauvaises, ne respectant pas les droits humains fondamentaux.
La pollution numérique du streaming
La consommation mondiale de streaming vidéo émet 300 millions de tonnes de CO₂ dans le monde chaque année [16]. Cela correspond à la pollution numérique d'un pays comme l'Espagne ! Regarder une heure de vidéo consomme autant d'électricité qu'un réfrigérateur pendant une année [17].
Privilégiez le stockage de données localement et non sur le cloud. Stocker des données sur le cloud — en externe — entraîne des allers-retours entre l'utilisateur et les serveurs et nécessite plus d'énergie que si ces données sont conservées localement, sur un ordinateur ou un disque dur externe par exemple.