L'effet problématique de l'oignon en cas d'ingestion, qu'il soit cru ou cuit par ailleurs, est qu'il détruit les globules rouges. Les symptômes de l'intoxication sont une coloration des urines, de la fatigue, de la diarrhée et des vomissements.
Il ne faut pas manger d'oignon en trop grande quantité car cela peut provoquer certains désagréments comme des céphalées, des ballonnements et une modification de votre haleine de façon significative.
Les personnes sujettes au syndrome de l'intestin irritable peuvent avoir du mal à supporter les aliments fermentescibles comme l'oignon. Ce trouble se traduit par des perturbations du système digestif : dyspepsie, flatulences, douleurs abdominales, reflux gastro-oesophagien...
Pour son cœur. L'ail fait baisser la pression artérielle chez les personnes pour qui elle est trop élevée. L'oignon, quant à lui, empêche la formation de caillots, et prévient donc les thromboses. Ceci apporte une double protection à nos artères.
L'oignon contient également une forte dose de vitamine C ainsi que des composés soufrés qui sont nécessaires au foie lors de son processus de détoxification. L'oignon aide à anticiper et à protéger des cancers digestifs, en apportant des polyphénols au corps.
Rouge ou jaune, il est riche en polyphénols, des composés antioxydants et anti-inflammatoires protecteurs des artères, qui pourraient aider à normaliser les taux sanguins de sucre et de cholestérol. Une étude a démontré que 150g d'oignons rouges par jour font baisser la tension artérielle de personnes hypertendues.
Un oignon de taille normale fournit 13% de l'apport quotidien recommandé en vitamine C, en plus de la vitamine A, du sélénium, de la quercétine et des anthocyanes. L'oignon est idéal pour réduire les symptômes de la bronchite, pharyngite, des rhumes et d'autres affections respiratoires.
L'oignon libère la respiration
Les substances sulfurées dégagent bien les bronches et sont capable d'inhiber la réponse allergique inflammatoire, en cas d'asthme, par exemple. Il suffit de manger chaque jour quelques portions d'oignons pour favoriser le passage de l'air dans les voies respiratoires.
Mais pour bénéficier pleinement de ces bienfaits, il faut en consommer au moins 3 à 5 g cru par jour (soit 1 à 2 gousses) ou bien 10 à 15 g cuits (3 à 5 gousses). L'oignon possède ces mêmes qualités, mais avec une moindre efficacité.
Oignon, mais aussi ail, échalote, poireau… Ils font partie de la famille des alliacées et cachent bien des atouts. Ces superaliments auraient notamment un effet protecteur contre les cancers digestifs : estomac, intestin et maintenant côlon.
Pourquoi ? Si le germe de l'ail et de l'oignon ne sont pas toxiques, ils peuvent provoquer des aigreurs d'estomac ou de légers désordres intestinaux. Pour les dégermer, couper l'oignon ou la gousse d'ail en deux, puis retirer le germe — vert, longiligne et situé au centre — à l'aide d'un couteau fin.
Les oignons tout comme l'ail favorisent les brûlures d'estomac. Dans la majorité des cas, ce sont les oignons et l'ail crus qui sont responsables des brûlures d'estomac. Mieux vaut consommer des oignons bien cuits si vous souffrez de brûlures d'estomac.
Mais pourquoi est-il aussi méchant ? Et bien tout simplement parce que l'oignon est un légume qui contient des enzymes et des composés soufrés qui, lors de la digestion, se décomposent et se transforment en gaz...
Consommé en grande quantité, l'ail peut entraîner une sensation de brûlure dans la bouche, des odeurs corporelles, des maux de tête, des flatulences, des vomissements et de la fatigue. Il peut également provoquer des irritations du système gastro-intestinal (2,3).
Un ami de la flore intestinale
Ses fibres, qui sont plus digestes quand l'oignon est cuit, relancent les transits paresseux. Il favorise la digestion en stimulant la sécrétion de bile. Riche en inule, une fibre aux propriétés prébiotiques, il équilibre la flore intestinale.
Il contient de nombreux antioxydants (flavonoïdes, tocophérols …) qui permettent de lutter contre la production de radicaux libres, néfastes pour l'organisme. Et il est une bonne source de saponines à l'effet hypocholestérolémiant et hypotenseur.
L'oignon, un antioxydant efficace
Elle est efficace contre la formation de caillots sanguins, contre l'asthme, la bronchite chronique, le rhume des foins, le diabète, l'athérosclérose et les infections. C'est aussi un anti-inflammatoire, antibiotique, antiviral. Elle pourrait avoir des propriétés anti-cancer.
Dormir avec un oignon dans la chambre permet de profiter de son effet décongestionnant. En clair, lorsque vous avez un rhume, l'oignon coupé vous débouche le nez. Mais ce n'est pas sa seule qualité.
Augmenter les apports en fibres (légumes, fruits, céréales complètes, légumineuses) a un effet bénéfique sur le contrôle de l'asthme et permet également de réduire l'inflammation des voies respiratoires. Cela permettrait également de freiner le développement de la BPCO et une amélioration des débits bronchiques.
Les papayes, oranges, mandarines et mangues sont riches en bêta-cryptoxanthine qui «neutralise les radicaux libres destructeurs de cellules, et peut-être aussi les radicaux libres destructeurs générés par la fumée de cigarette».
Toux violente, essoufflement, poumons qui crépitent (bronchite chronique obstructive) ou qui sifflent (asthme) à l'auscultation, bronchite qui s'aggrave alors qu'elle aurait dû être complètement guérie en dix jours: face à de tels symptômes, il ne faut pas laisser traîner la situation, surtout s'il s'agit d'une ...
BOIRE SUFFISAMMENT D'EAU POURRAIT SUFFIRE POUR TRAITER L'HYPOTENSION. LONDRES, 2 décembre (APM) - Boire un demi-litre d'eau pourrait suffire pour traiter les personnes souffrant d'hypotension, selon des chercheurs britanniques.
La tension artérielle au repos chez les hommes de 20 à 29 ans était de 106/68 mm Hg, comparativement à 120/70 mm Hg chez les hommes de 70 à 79 ans. La tension artérielle moyenne au repos des femmes de 20 à 29 ans était de 99/65 mm Hg, comparativement à 128/70 mm Hg chez les femmes de 70 à 79 ans.
Il apparaît que la consommation d'œufs entiers (ou de substitut d'œuf) n'a pas eu d'impact négatif sur les taux sanguins de cholestérol total, sur la pression artérielle, le poids corporel ou la fonction endothéliale.