La salpingite est une maladie grave car même simple (= sans complication initiale), peut laisser des séquelles à long terme (notamment une infertilité, un risque accru de grossesse extra-utérine et des douleurs pelviennes chroniques).
La salpingite fait partie des infections génitales hautes comme : les endométrites de l'utérus (infections de la muqueuse de l'utérus ou endomètre), les abcès des trompes utérines, les péritonites (infections du péritoine ) d'origine génitale.
Le traitement de la salpingite repose essentiellement sur la prise d'antibiotiques dès la confirmation du diagnostic, y compris pour le (ou les) partenaire(s) de la femme malade. Dans certains cas, une hospitalisation peut se révéler nécessaire.
Elle donne des douleurs pelviennes, des pertes, de la fièvre mais parfois elle est à bas bruit, notamment avec chlamydia. Une salpingite sévère, entre autres à chlamydia, abîme les trompes ou les rétrécit donc il y a un risque de grossesse extra-utérine et de stérilité, prévient la gynécologue.
L'endométriose : c'est une maladie qui provoque des douleurs dans le bas-ventre et parfois dans le bas du dos. Ces maux sont peu soulagés par la prise d'antalgiques. Le kyste ovarien : on utilise ce terme quand une grosseur inhabituelle se développe sur un ovaire.
Comment se transmet la salpingite? Les microbes responsables de la salpingite peuvent se transmettre lors de rapports sexuels par l'échange de liquides biologiques au contact des muqueuses génitales, orales ou anales.
► Des infections génitales : dans la majorité des cas, une trompe est bouchée suite à une infection génitale ayant entraîné une salpingite (infection de la trompe). "La plupart du temps, ces infections sont liées à une maladie sexuellement transmissible comme le chlamydia ou le gonocoque.
Il n'existe aucun moyen médicamenteux de "déboucher" les trompes ; seule la chirurgie ou plastie tubaire peut être efficace.
L'inflammation des trompes utérines est généralement causée par des bactéries. Chez 50 à 60% des femmes, la cause originale est une infection sexuellement transmissible (IST). La bactérie la plus mise en cause est le chlamydia et dans une moindre mesure le gonocoque.
La maladie inflammatoire pelvienne, ou MIP, est le terme utilisé pour l'infection généralisée de l'intérieur de l'utérus, des trompes de Fallope et des ovaires. Les symptômes de la MIP peuvent comprendre des pertes vaginales, une douleur pelvienne chronique et la fièvre.
Utiliser un préservatif. La seule façon d'éviter une salpingite due à une infection sexuellement transmissible (IST) consiste à se protéger de la contamination bactérienne en utilisant un préservatif lors de chaque rapport sexuel.
Où se situent les douleurs pelviennes ? Les douleurs pelviennes correspondent aux douleurs ressenties dans la région du pelvis, c'est-à-dire au niveau du bas du ventre et du haut des parties génitales. Elles peuvent être légères à très intenses. Elles sont chroniques chez 11 à 20% des femmes.
Les problèmes des trompes de Fallope sont dus à des affections qui obstruent ou endommagent les trompes, y compris : Infections pelviennes (telle qu'une maladie pelvienne inflammatoire.
Étant donné le nombre élevé d'ovules qu'un seul de vos ovaires peut fabriquer, vos chances d'être de nouveau enceinte sont presque aussi grandes qu'avant cette intervention. Le seul problème est qu'il peut exister une petite anomalie de la deuxième trompe.
Cette chirurgie est parfois nécessaire lorsque la trompe est bouchée et remplie de liquide (hydrosalpinx), infectée (abcès de la trompe ou pyosalpinx) ou remplie de sang dans le cadre d'une grossesse extra-utérine (hématosalpinx).
L'hystérosalpingographie est une radiographie de l'utérus et des trompes de Fallope. Elle consiste à introduire par le vagin un produit opaque aux rayons X dans la cavité utérine et à prendre plusieurs clichés radiologiques. L'examen commence par un examen gynécologique.
des métrorragies, qui désignent des pertes de sang d'origine utérine ; des brûlures mictionnelles ; des envies fréquentes d'uriner ; des troubles gastro-intestinaux tels que des nausées, des ballonnements ou encore une constipation.
Quand on constate des saignements anormaux, des douleurs pelviennes, des pertes vaginales anormales, malodorantes ou plus abondantes, il faut rapidement consulter son gynécologue. Il examinera le col de l'utérus et s'il retrouve des anomalies, il réalisera une biopsie directement au cabinet.
Quand peut-on faire l'amour après ? Il est possible d'avoir des rapports sexuels le jour même. Parce qu'elle lave, déploie et booste les trompes, l'hystérosalpingographie favorise la fertilité.
La torsion ovarienne est relativement rare, toutefois elle peut arriver chez les femmes en âge de procréer. Lorsque l'ovaire se tord, vous ressentez une douleur intense, aigüe et subite à droite ou à gauche dans la zone pelvienne. L'intensité de cette douleur peut parfois provoquer des nausées et des vomissements.
Il existe de nombreuses autres causes à une douleur localisée dans le bas ventre, telles que : l'endométriose, une infection urinaire, génitale ou digestive, un kyste ovarien…
Lombaires : vessie, utérus, prostate, ovaires, côlon
Le côlon et la fin de l'intestin grêle donneront également ce type de lombalgie. Des constipations, des diarrhées, des crampes ou également des ballonnements illustrent plutôt une souffrance du côlon.
Les reins peuvent déclencher des douleurs qui peuvent irradier en bas du dos. Il s'agit principalement de : la colique néphrétique : douleur provoquée par un calcul sur les voies urinaires (une intervention chirurgicale est nécessaire dans 10 à 20 % des cas) ; la pyélonéphrite : infection haute des voies urinaires.