Anti-inflammatoire, sédatif, apaisant : le châtaignier détend les muscles, soulage les maux de dos, articulations et rhumatismes ; Antibactérien : la composition des feuilles de châtaignier riches en flavonoïdes, tanins et mucilages lui confère des vertus antibactériennes.
Source de minéraux (fer, phosphore, cuivre…) et de vitamines B et C, la châtaigne est surtout riche en amidon “résistant”, c'est-à-dire digéré lentement et incomplètement : elle remplit l'estomac sans entraîner de pic de glycémie (indice glycémique 65, contre 85-90 pour la plupart des féculents).
Ce sont essentiellement des composés glucidiques non assimilables et de la cellulose. Douces et bien tolérées, même par les intestins les plus fragiles, ces fibres stimulent le transit intestinal et préviennent ainsi la constipation.
La châtaigne est un fruit relativement riche en calories. Elle contient, en particulier, des glucides (essentiellement de l'amidon). Elle renferme également une quantité non négligeable de fibres (6 g/100 g) qui agissent favorablement sur le transit intestinal.
La châtaigne est un aliment bien toléré puisqu'elle neutralise le surplus d'acidité présent dans l'estomac. De plus, elle est totalement dénuée de gluten.
La châtaigne peut causer des ballonnements et de la flatulence, surtout lorsqu'on la mange crue. Une bonne mastication permet d'atténuer ces effets.
Lorsqu'on a de l'arthrose, il y a un vieux truc de grand-mère remontant des calendes grecques qui semble fonctionner sur pas mal de gens. Il faut mettre des marrons dans un gant de toilette et les glisser sous son oreiller pour la nuit.
Malgré les idées reçues, la châtaigne ne fait pas grossir si elle est consommée avec modération. Une portion raisonnable est de 10 chataignes pour un adulte (5 pour un enfant). Sa forte teneur en nutriments en fait la reine des plats d'hiver.
Associée à des légumes pour être consommée en quantité modérée, la châtaigne peut être recommandée en cas de diabète ou de surpoids. C'est un fruit riche en fibres, qui permettent à ses glucides de ne pas trop élever la glycémie, et qui contribuent à activer le transit intestinal.
La châtaigne apporte majoritairement des glucides (28,80 g pour 100 g), dont seulement 3,90 g sous forme de sucres.
Les châtaignes se récoltent à partir du mois de septembre jusque début novembre selon les années, les régions et les variétés, mais n'attendez pas trop car les bogues restés trop longtemps au sol seront abîmés.
Enfin, la châtaigne est riche en vitamines du groupe B et en vitamine C et contient de la vitamine E.
Les marrons, au sens botanique du terme, ne sont pas comestibles. Chez son consommateur, il peut provoquer des douleurs abdominales, nausées, vomissements, diarrhée ou encore des irritations oro-pharyngée (au niveau de la gorge). Il n'y a en revanche pas de risque direct de décès.
Les apports journaliers recommandés sont estimés à environ 420 mg pour l'homme et 320 mg chez la femme. Une portion de 100 g de châtaigne couvre donc plus de 10% des apports recommandés chez l'homme, et près de 15% chez la femme.
Bien qu'étant un fruit, la châtaigne est à considérer d'un point de vue nutritionnel plutôt comme un féculent, puisqu'elle est composée à 35% de glucides, dont une majorité sous forme d'amidon (et moins d'un tiers environ sous forme de saccharose).
Les mûres : elles plafonnent à 5 g de sucre pour 100 g de fruits et elles ont des vertus anti-oxydantes ; Le melon miel (melon à chair vert clair) : il contient 11 g de sucre pour 100 g de fruit ; Les oranges et pamplemousses : ils sont respectivement à 14 et 11 g/100 g de fruit.
Par exemple vous pouvez privilégier: l'aubergine, le vinaigre de cidre, le citron, le gingembre, la cannelle, les edamames, les fèves de soja qui font naturellement baisser le taux de sucre dans le sang.
La châtaigne contient peu de graisse, mais beaucoup de glucides. Elle constitue donc un en-cas énergétique de choix et, grâce à sa farine, elle propose une alternative sans gluten très intéressante aux farines traditionnelles pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque.
Le marron apporte du phosphore qui est indispensable à la bonne santé des dents et des os. Source de magnésium, le marron va jouer sur la détente musculaire et a un rôle anti-stress.
La bogue du marron est épaisse et verte, et surmontée de petits pics espacés. Les fruits, enfin, possèdent des aspects différents : d'abord, la châtaigne est plus petite que le marron. Les châtaignes ont une forme triangulaire et ont tendance à être un peu "aplaties", tandis que les marrons sont bien ronds.
► La châtaigne, qu'elle soit cultivée ou sauvage, est comestible et se mange. La châtaigne vient à maturité en septembre et tombe des arbres jusqu'à la mi-novembre. Pour savoir si le fruit est mûr, la bogue doit être marron et déjà entrouverte. ► Le marron d'Inde est toxique, n'est pas comestible et ne se mange pas.
Riche en manganèse et en cuivre, elle contient aussi dans des proportions conséquentes du phosphore, du fer et des vitamines B1, B2, B6, B9 et C.