La croissance permet de réduire la pauvreté et le chômage. La croissance permet d'une part, de réduire le chômage, ainsi que les autres formes d'exclusion. En effet la croissance économique est créatrice d'emploi puisqu'elle nécessite une main d'œuvre.
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
La croissance est la quête perpétuelle des politiques économiques. Elle est indispensable pour faire face à bon nombre de problèmes économiques et sociaux, celui du chômage en premier. Elle permet l'élévation du niveau de vie général. La richesse des nations et de ses citoyens en dépend.
En augmentant le nombre de biens et services disponibles, la croissance améliore le bien-être des populations, mais elle peut aussi avoir des effets négatifs comme la pollution, la destruction des ressources ou l'augmentation des inégalités.
Les limites environnementales de la croissance
Mais ce n'est pas tout. Notre économie est en effet à la racine d'un appauvrissement de la biodiversité, l'épuisement des énergies fossiles, la surconsommation d'eau douce et des pénuries de métaux.
La croissance économique n'est pas obligatoirement synonyme de développement. En effet, elle peut entraîner un mal développement, ainsi qu'un appauvrissement du niveau de vie dû aux inégalités dans la répartitions des richesses.
La croissance économique a des conséquences négatives sur l'environnement. Elle est responsable de l'augmentation de la pollution et des risques d'épuisement du capital naturel (car les ressources sont non-renouvelable ou que l'utilisation intensive de ces ressources ne permet pas leur renouvellement).
L'impact du progrès technique : La destruction créatrice
Il obtient ainsi un monopole temporaire sur le marché. L'innovation introduit donc la rupture dans l'économie et casse les routines. Ainsi, elle génère un processus de transformations dans les modes de production et de consommation.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
La croissance se heurte à des limites sociales (les inégalités) et écologiques (les externalités négatives, les gaz à effets de serre, l'épuisement des ressources naturelles). Une externalité est un effet non voulu de la production.
Etudier l'économie permet d'initier les professionnels et les étudiant(e)s et leur permettre d'assimiler les raisonnements économiques afin qu'ils ou elles puissent prendre leurs décisions futures en toute connaissance de cause.
Selon J. Tirole, il semblerait que la Croissance Économique mondiale soit face à 3 enjeux majeurs sur le long terme : Le climat, les inégalités et la démographie.
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
Les principaux avantages de la mondialisation pour les consommateurs sont une baisse des prix et une augmentation des choix. Les principaux inconvénients de la mondialisation pour les consommateurs sont la suppression des emplois liés à la mondialisation et les inégalités de salaire.
La mondialisation favorise un développement à deux vitesses au bénéfice des pays les plus compétitifs et, en raison de ses effets négatifs sur les dépenses publiques, de santé et d'éducation notamment, elle affecte surtout les femmes qui, plus que les hommes, ont besoin des programmes sociaux.
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée. Le phénomène de croissance apparait avec la révolution agricole des XVIe et XVIIe siècles.
La croissance économique permet le développement dans la mesure où elle améliore le niveau de vie des individus qui peuvent mieux satisfaire leurs besoins et connaître une vie plus longue en meilleure santé ce qui leur permet de construire des projets.
Elles reposent essentiellement sur deux facteurs : · Le facteur travail qui dépend du facteur humain et qui permet de déterminer la capacité de travail ; · L'accumulation de capital.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
Autre inconvénient, l'homme est devenu indépendant du progrès technologique à tel point qu'il est très compliqué de s'en passer. L'automatisation de certaines tâches réduit les jobs pour les hommes. L'humain devient progressivement obsolète, les hommes se font remplacer par des machines.
Selon la fameuse courbe de Kuznets, la croissance augmente les inégalités dans un premier temps puis les réduit (Kuznets, 1955). Une forte croissance peut également réduire les inégalités via la baisse du chômage ou en augmentant le consentement à la mise en place d'un État social.
Le progrès technique a donc un effet cumulatif, puisqu'il permet l'amélioration des connaissances et du savoir-faire, et donc de découvrir de nouveaux produits ou de nouveaux procédés. On entre alors dans un cercle vertueux de croissance économique qui est donc plus continu et qui s'auto-entretient.
L'amélioration des conditions de travail : garantir des conditions de travail justes et durables pour les travailleurs. Le bien-être et la qualité de vie : favoriser un mode de vie sain et équilibré pour tous. L'égalité et droits humains : garantir l'égalité des droits et la dignité humaine pour tous.
La croissance économique se heurte à des limites écologiques telles que l'épuisement des ressources, l'augmentation des gaz à effet de serre, etc. La prise en compte de ces limites aboutit à la notion de développement durable.
La croissance serait unidimensionnelle, caractérisée par l'augmentation d'un agrégat bien défini, comme le revenu par tête. En revanche, la notion de développement désignerait un changement de structure de l'économie, voire de la société en général.