Dans cette catégorie de médicament, le prednisone, le prednisolone et le méthylprednisolone figurent parmi les plus puissants. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) regroupent les médicaments qui réduisent ou suppriment les symptômes associés à une réaction inflammatoire.
Ibuprofène : la molécule phare des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Pour les anti-inflammatoires sans ordonnance en vente libre, la substance active la plus utilisée est l'ibuprofène. Elle permet de bloquer la formation des prostaglandines, substances responsables de l'inflammation.
L'ibuprofène fait partie de la classe des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Ils vont empêcher le corps de produire sa cascade inflammatoire et peuvent donc être très efficaces pour soulager les symptômes mentionnés plus haut.
Une activité physique régulière, une alimentation saine, une bonne hydratation ou encore un sommeil de qualité seraient les premiers pas vers la guérison. D'autres solutions plus originales mais tout aussi efficaces existent. C'est le cas du sauna infrarouge !
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
Le fentanyl est cent fois plus puissant que la morphine. On l'administre par des dispositifs transdermiques (patch) qui diffusent la substance pendant 72 heures, ou bien, pour obtenir un effet rapide, par diffusion à travers la paroi interne (muqueuse) de la bouche ou du nez.
Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC)
On termine avec la douleur la plus intense et insupportable selon le McGill Pain Questionnaire : le syndrome douloureux régional complexe (SDRC).
A la dose utilisée dans les maladies inflammatoires, le risque le plus faible est observé avec l'ibuprofène puis le diclofénac, l'indométacine, le naproxène et le piroxicam.
Le boswellia pour son efficacité et sa polyvalence. Il fonctionne en effet contre les inflammations des articulations, des voies respiratoires et des intestins. Pour des douleurs purement articulaires, le trio « harpagophytum, curcuma et griffe du chat » est très efficace.
Les principaux actifs anti inflammatoires sont le diclofenac, l'acide niflumique et l'ibuprofene. Le diclofenac, se trouve dans Antacalm, Diclofenac Mylan, les médicaments des gammes Voltaren et Flector.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent aider à soulager la douleur et l'inflammation. La famille des AINS comprend l'ibuprofène (par exemple, Advil® et Motrin®), le kétoprofène (par exemple, Actron® et Orudis®) et le naproxène (par exemple, Anaprox® et Naproxen®).
Une prise trop régulière ou trop importante d'anti-inflammatoire met en danger la santé pour le sportif, mais également celle des personnes sédentaires. Les effets secondaires peuvent engendrer à leur tour des maladies bien plus grâce que l'inflammation que l'on cherche à réduire.
Anti-inflammatoires : modalités pratiques
Ils peuvent se prendre ponctuellement, au moment de la douleur (une migraine ou des douleurs de règles par exemple). Lorsqu'une cure courte s'impose, les prises sont réparties dans la journée en deux fois (s'il s'agit d'une libération prolongée) trois fois.
Le Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC)
Ce syndrome est un trouble douloureux physique et chronique qui survient après une blessure telle qu'une fracture, une entorse, une lésion des tissus osseux, des artères, ou encore des tissus mous. Cette douleur peut entraîner un dysfonctionnement d'un ou plusieurs nerfs.
L'antidouleur tramadol placé sous étroite surveillance
L'AMA rappelle aussi que le tramadol, comme tous les opioïdes, peut entraîner une forte dépendance avec des risques d'addiction. La substance est notamment impliquée dans la crise des opiacés qui secoue les États-Unis depuis plusieurs années.
Sur une analyse groupée de 1200 patients, suivis 8h après une extraction dentaire , l'association paracétamol + tramadol a démontré un surcroit d'efficacité par rapport au paracétamol seul et au tramadol seul, mais un effet antalgique similaire à celui d'ibuprofène 400.
La douleur chronique est une douleur qui persiste ou récidive pendant > 3 mois, qui persiste > 1 mois après guérison d'une lésion tissulaire aiguë ou qui est associée à une lésion qui ne guérit pas. Elle peut être due à des troubles chroniques (p. ex., cancer, arthrite, diabète), à des traumatismes (p.
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Si les antalgiques classiques - morphine incluse - ne suffisent pas , c'est probablement le signe d'une lésion nerveuse associée. Il faut savoir qu'il existe alors d'autres médicaments, comme des antiépileptiques ou certains antidépresseurs efficaces contre ces douleurs neuropathiques.
L'organisme se défend contre une agression en déclenchant une réaction inflammatoire. Quand il s'agit d'une inflammation cutanée ou sous-cutanée (ex : abcès, choc), cette réaction peut être reconnue d'après ces 4 signes cliniques : rougeur, douleur, tuméfaction et augmentation de la chaleur locale.
Il existe 2 grands types d'inflammations : aigüe et chronique. L'alimentation, le soleil, la pollution et le stress peuvent augmenter la réaction inflammatoire. L'alimentation peut aussi être protectrice : il existe des aliments pro-inflammatoires, et d'autres anti-inflammatoires.
En pratique, il semble que le stress aigu accélère la résolution des infections et la guérison des plaies (15). En situation de stress aigu, la réaction inflammatoire qui survient n'est pas exactement la même que la réaction inflammatoire qui se met en place lors d'une infection ou d'une blessure.