"Voici ceux que vous ne mangerez pas parmi ceux qui ruminent ou qui ont le sabot fourchu et fendu : le chameau, le lièvre, le porc, et vous ne toucherez pas à leur cadavre". Sont donc aussi exclus chevaux, félins, chiens, lapins, ainsi que le gibier (lièvres, sangliers).
Le sabot fendu est un problème courant qui peut toucher tous les chevaux. Il existe de nombreuses causes différentes, mais la plus courante est le surmenage ou un mauvais entretien. Les sabots des chevaux sont une partie complexe de l'anatomie du cheval.
La religion juive ne permet que la consommation de quadrupèdes ruminants à sabots fendus et des oiseaux herbivores. Sont exclus: le porc, l'âne, le cheval, le chameau et le lapin. Pour les poissons, le casher les veut de mer ou de rivière « munis d'écailles et de nageoires ».
Les aliments cashers, donc permis, sont : Les produits consommés dans leur état naturel ou état de récolte, comme les légumes et les fruits. Les produits carnés provenant de ruminants ayant des sabots fendus donc les bovins, les caprins, les ovins, les cerfs et chevreuils, abattus selon les prescriptions de la Loi.
Un aliment est Casher lorsqu'il est conforme aux principes véhiculés par le Judaïsme donc lorsqu'un Juif peut en faire la consommation. De sa conception à sa consommation, l'aliment Casher doit obligatoirement être supervisé par un rabbin afin d'obtenir une certification.
Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah. L'esturgeon, la raie, l'anguille, le congre, etc.
Cela veut simplement dire que les juifs pratiquants ne peuvent pas cuire les aliments lactés et carnés ensemble, ni les consommer au cours d'un même repas : les produits laitiers peuvent être dégustés après la viande à la suite d'un délai dont la durée varie selon les coutumes locales (six heures pour les juifs d' ...
Judaïsme : le pur et l'impur
Par exemple, les mammifères ruminants purs doivent avoir le sabot fendu [2][2]Le texte énumère dix animaux purs : le bœuf, le mouton, la… ; dans le cas contraire, ils sont réputés impurs. C'est le cas du chameau, du lapin et du daman qui ruminent mais n'ont pas de sabots fourchus.
Les animaux prédateurs, tels que les lions et les tigres, chats, chiens, ours, et les oiseaux de proie, tels que les faucons et hiboux, sont interdits de consommation. Selon le chiisme, le prophète islamique a interdit de manger de l'anguille et des ânes.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Ne peuvent être consommés que : poules, oies, dindes, quelques espèces de canards domestiques et de pigeons.
Manger la viande de cet animal est interdit par le judaïsme et l'islam comme celle de quasiment tous les ongulés non-ruminants.
Les hindous, pour qui la vache est sacrée, ne mangent pas de bœuf. Il y a aussi des végétariens qui choisissent de ne pas manger d'animaux, ni viande ni poisson.
30 le hérisson, la grenouille, la tortue, le limaçon et le caméléon. 31 Vous les considérerez comme impurs parmi toutes les petites créatures : quiconque les touchera quand elles sont mortes sera impur jusqu'au soir.
Le porc possède deux des trois caractéristiques : un pied fourchu et de la corne fendue (sur le pied), mais n'est pas un ruminant. Comme second exemple, le chameau est un ruminant avec un pied fourchu mais qui ne possède pas de corne fendue.
ils doivent être abattus de manière rituelle ; les parties interdites à la consommation, dont le sang, le nerf sciatique et la graisse, doivent être retirées ; « l'agneau ne peut être cuit dans le lait de la mère » ; seul le lait des espèces licites peut être consommé.
Le chat domestique est un animal apprécié dans l'islam. Admiré pour sa propreté et pour être apprécié du prophète Mahomet, et sans doute aimé par ce félin, le chat est considéré comme « l'animal de compagnie par excellence » par les musulmans.
Viande halal
Les ovins, bovins, caprins et camélidés, ainsi que le cheval, le lapin et certaines volailles sont halal à condition d'avoir été abattus selon le rituel de la dhakat (voir en introduction de cette page spéciale). En revanche, la viande de porc est prohibée, quelle que soit la façon dont l'animal a été tué.
1Selon la jurisprudence chiite duodécimaine, les poissons dépourvus d'écailles sont harâm. Ainsi considère-t-on l'esturgeon et ses œufs, le précieux caviar.
Il est interdit de consommer ensemble viande et produits lactés.
Cette tradition est encouragée par la religion bouddhique; la chèvre est strictement végétarienne comme les saints du bouddhisme, contrairement au porc. En Inde, la consommation des moutons et chèvres est majoritaire : elle échappe aux interdits religieux des deux grandes religions : islam (porc) et hindouisme (bœuf).
L'acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d'un couteau particulier, la trachée, l'œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon qu'elle se vide de son sang.
La mention «Mévushal»
Pour permettre aux laïcs et aux juifs non pratiquants de servir le vin – seuls les religieux y sont autorisés – on procède à une pasteurisation du vin. Le vin est ainsi chauffé par flash pasteurisation (montée en température des cuves jusqu'à 90°) puis refroidi avant d'être mis en bouteille.
Malgré tout, le traité Ména'hot du Talmud explique que la mezouzah assure la protection divine sur la maison juive : tandis qu'un roi humain réside dans son palais, gardé à l'extérieur par ses serviteurs, le Roi de l'univers — au contraire — protège lui-même le lieu de résidence de ses fidèles.
Grâce à la « clé sabbat », les juifs pratiquants peuvent utiliser des portes électriques sans enfreindre les règles de leur religion. de plus, Quand les juifs ne peuvent pas utiliser l'électricité ? Pendant le Shabbat il est interdit de produire ou de transformer de la matière ou de l'énergie.