Il est classiquement composé de 3 blocs qui sont l'introduction, le développement et la conclusion.
Votre rapport doit comporter les éléments suivants : 1- Page titre ; 2- Remerciements, s'il y a lieu ; 3- Introduction ; 4- Développement du sujet ; 5- Conclusion ; 6- Annexes.
Un développement comprend toujours des parties, ces parties comprennent toujours des paragraphes. Vous pouvez, mais ce n'est pas une obligation, rédiger pour chaque partie une introduction de partie et une conclusion de partie ; entre deux parties doit toujours figurer une transition.
Le rapport est habituellement organisé selon le plan classique : introduction, développement, conclusion. C'est un plan tout à fait classique. En fonction du type de rapport, le développement pourra être différent, mais l'introduction et la conclusion conserveront le même rôle.
1. Introduction. Le rapport doit évidemment comprendre une introduction qui indique l'objet du rapport, son intérêt et son importance.
2. Exposé dans lequel on relate ce qu'on a vu ou entendu ; compte-rendu, souvent de caractère officiel, d'une question, d'une mission : Rapports de police. 3. Lien ou relation entre deux ou plusieurs personnes ou choses : Je ne vois pas de rapport entre ces deux événements.
une présentation du contexte de l'étude qui amène le sujet en partant d'un thème général. D'une part, vous devez situer le travail, délimiter les différentes facettes du sujet, et d'autre part, justifier l'importance du sujet, son intérêt ainsi que son actualité.
Le rapport doit être rédigé en totalité et l'exigence est la même que dans une dissertation. Le style doit être sobre, précis et neutre et traduire un souci d'objectivité par l'emploi d'un style impersonnel. En général 6 pages maximum doivent suffire à informer complètement et efficacement le lecteur.
Le développement doit permettre au lecteur de prendre position par rapport à ton idée directrice. Présente les idées principales que tu as dégagées dans tes notes de lecture. Explique, précise ou illustre-les par des idées secondaires. Chaque paragraphe comprend une seule idée principale.
La structure en trois parties est préconisée : L'introduction. Le développement. La conclusion.
L'annonce de plan se situe à la toute fin de l'introduction, juste après l'exposé de la problématique. Son objectif est de présenter au lecteur la structure de la copie : on va rapidement expliquer quelles sont les grandes parties et comment elles s'articulent.
Le but d'un rapport est de communiquer des constats et conclusions de manière efficace – par exemple les résultats d'une recherche, une documentation ou le compte rendu des activités et résultats d'une visite d'un projet, d'une conférence, d'une réunion ou d'un entretien.
La problématique se présente généralement sous la forme d'une question qui peut commencer par « dans quelle mesure », « en quoi », « comment ». Souvent, on n'arrive à la formuler qu'après avoir fait le plan : c'est normal, pas de panique ! Le nom n'est pas un hasard : une bonne problématique doit poser un problème.
Comment formuler la problématique ? Par quoi commencer sa phrase ? Deux tournures sont très utiles pour lancer le débat : "En quoi ?" et "Dans quelle mesure ?" Les tournures "Par quels moyens... ?", "Pourquoi... ?" ou "Doit-on considérer que... ?" lancent également le débat.
Un rapport livre une analyse objective sur une situation ou des faits constatés et propose des préconisations. Un compte rendu témoigne de manière neutre, mais précise de faits ou d'un évènement. Un procès-verbal doit être signé et atteste du déroulement d'un débat ou de faits dont il établit la preuve.
− Action d'établir un lien, une relation entre deux (ou plusieurs) personnes, deux (ou plusieurs) choses, entre une (ou plusieurs) personne(s) et une (ou plusieurs) chose(s).
Le résumé doit se placer après la préface ou les remerciements et avant le sommaire (la table des matières). Enfin, le résumé d'un mémoire doit être rédigé au présent simple.
Le choix des pronoms
Pour un rapport de stage simple, qui raconte un stage de découverte, on peut utiliser le « je ». En revanche, à mesure que les travaux deviennent plus scientifiques ou plus techniques, il est bon d'adopter le « on » ou le « nous ».