La lutte contre le chômage est donc devenue une des priorités de la politique économique de l'État français. Pour tenter de combattre ce dysfonctionnement, les pouvoirs publics mettent en œuvre une politique de l'emploi qui peut s'orienter soit vers un traitement social du chômage, soit vers un traitement économique.
La solution pour diminuer le taux de chômage est d'accompagner les entrepreneurs. En plus, des secteurs négligés ou perçus comme peu prestigieux obtiennent un retour sur investissement plus élevé. Ainsi, les fonds placés dans un compte d'épargne bancaire a un rendement maximal de 4%.
Pour y remédier, il faut une politique de création d'emploi multidimensionnelle de la part du gouvernement central et des organismes internationaux. L'amélioration consécutive du climat des affaires reste un facteur déterminant pour favoriser l'attractivité et l'implantation des investissements étrangers en RDC.
Créer des centres de ressources scientifiques et encourager les jeunes à s'impliquer dans la recherche et le développement ; Initier des interventions au niveau de l'école primaire et secondaire pour améliorer les compétences essentielles et pour professionnaliser les jeunes fermiers et les entrepre- neurs ruraux.
De plus la destruction d'emploi peut nuire à l'activité économique étant donné que les individus n'ont plus de revenus suffisant pour consommer comme auparavant cela fait baisser la production et peut donc entrainer une destruction d'emploi, ainsi cela entraîne un cycle s'en fin.
Globalement, on peut distinguer 3 majeures causes du chômage : Un marché du travail insuffisamment flexible et un coût du travail trop élevé Une demande et une activité économique insuffisantes. Une offre et une demande de travail en inadéquation.
Le chômage est la situation d'une personne, d'une entreprise, d'un secteur entier de l'activité économique caractérisée par le manque de travail. Les causes d'absence d'emploi pour la population active sont nombreuses : entrée dans la vie active, licenciement, démission volontaire ou réorientation professionnelle.
Il faut alors ici adapter les solutions néo-classiques qui préconisent une baisse du coût du travail (baisse des cotisations sociales, des salaires, flexibilisation, etc.) ; une offre supérieure à la demande de biens et de services : on est alors en présence de chômage keynésien.
La première conséquence du chômage est la perte du pouvoir d'achat et l'endettement des ménages. En se retrouvant au chômage, le salarié perd 25 % de son revenu, qui décroît en fonction de sa durée. En fin de droit, le chômeur ne perçoit plus que le RSA (revenue de solidarité active).
EC1 – Mobilisation de connaissances
Montrez à l'aide d'exemples que les problèmes d'appariements peuvent créer du chômage structurel. Montrez comment les asymétries d'information sont des sources de chômage structurel.
L'équipement des bâtiments publics et parapublics avec des meubles fabriqués localement devrait devenir obligatoire. Il peut également être envisagé d'interdire l'importation de meubles meublants en bois afin de réorienter les ressources qui profitent aujourd'hui à des marchés étrangers vers le marché national.
Le chômage se définit comme un état de déséquilibre du marché du travail, caractérisé par un excès d'offre de travail (celle des travailleurs) par rapport à la demande de travail des entreprises. En tant que phénomène économique, le chômage apparaît comme caractéristique des économies modernes.
L'alternance, la voie de la réussite
L'alternance s'avère une solution efficace pour trouver un travail et acquérir une qualification : à l'issue de leur contrat d'apprentissage, 4 jeunes sur 5 trouvent un emploi.
Alfred Marshall (1842-1924), Professeur à l'Université de Cambridge, perçoit la dimension nouvelle du chômage moderne dès les années 1880 et formule ce qui peut être considéré comme la première analyse du chômage en 1903, dans laquelle il distingue deux types de chômage.
Des craintes ont été exprimées à l'effet que le chômage chez les jeunes entraînerait une radicalisation de leurs attitudes envers la société. Selon cette hypothèse, les jeunes ne pouvant trouver du travail ressentiraient une frustration leur faisant rejeter le blâme de leur situation sur la société.
Les critères. – La plupart des pays se réfèrent aux critères établis par le Bureau international du travail (BIT) pour définir une personne au chômage. Ces derniers renvoient à trois conditions : être sans travail, être disponible pour travailler et rechercher effectivement un travail.
Pour lutter contre ce phénomène, le ministre Ouédraogo, souhaite « construire une administration moderne capable de promouvoir l'employabilité et d'élever la conscience citoyenne de la jeunesse, d'anticiper et de combler la demande en formation professionnelle afin d'offrir à chaque jeune burkinabè une chance d'obtenir ...
Le projet PNM présenté récemment à Yaoundé au cours d'un point de presse, a pour but de permettre aux jeunes de trouver des emplois stables. Développer le Cameroun en permettant d'obtenir des emplois stables.
Afin de lutter contre le chômage chez les jeunes universitaires, les pouvoirs publics peuvent négocier des contrats d'embauche avec les entreprises en les octroyant soit des subventions à l'emploi ou des avantages fiscaux.
Une autre de ses recommandations est le soutien aux petites entreprises à travers le parrainage, l'essaimage, la sous-traitance et le partenariat, ainsi que la facilitation du financement. L'objectif est d'encourager l'auto-emploi.