La chimiothérapie peut endommager les cellules des muqueuses qui finissent par devenir enflammées, une affection qu'on appelle mucosite. Cela peut provoquer la formation d'ulcères douloureux, des saignements et des infections. La mucosite est habituellement temporaire et disparaît quelques semaines après le traitement.
Comme les cellules saines sont également endommagées pendant la chimiothérapie, des effets secondaires sont probables. La chimiothérapie provoque en général des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, une perte de poids, une asthénie et une réduction du nombre de cellules sanguines qui entraîne une anémie.
Cependant, certains patients subissent des effets secondaires cinq ans après le traitement : une fatigue chronique, une toxicité auditive (25% des cas) et neurologique (35%), ainsi qu'une augmentation du risque cardio-vasculaire (27%).
Les effets secondaires peuvent apparaître dès le début ou au cours du traitement. Dans des cas rares, ils peuvent se manifester après la fin de celui-ci.
Envisagez des thérapies complémentaires comme l'acupuncture, le yoga, le massage ou la musicothérapie. Certains considèrent que ces thérapies de soutien peuvent aider non seulement à réduire le stress et l'anxiété, mais aussi à soulager des symptômes comme la fatigue chronique ou la douleur.
Les réponses avec le Dr Bruno Reynard, médecin nutritionniste : "Il n'y a absolument aucune contre-indication alimentaire pendant une chimiothérapie. On peut tout manger à partir du moment où on le supporte.
reins à éliminer, il conseille, pendant une chimiothérapie et la semaine qui suit, de favoriser une bonne hydratation à raison de un à deux litres supplémentaires d'eau par jour entre les repas, dont du thé vert – aux vertus diurétiques et antioxydantes.
La chimiothérapie et la radiothérapie peuvent causer des problèmes de fonctionnement du cœur et des anomalies du rythme cardiaque (arythmie).
Une activité physique régulière a également des effets bénéfiques (courte marche, yoga…). Apprendre à gérer ses angoisses : la relaxation du corps et de l'esprit vont contribuer à désamorcer les angoisses. Des exercices de respiration, d'étirements ou de méditation peuvent soulager.
Les plus fréquents sont liés au fait que des médicaments anti-tumoraux ont une action sur les cellules qui se multiplient rapidement, donc les cellules cancéreuses mais également, celles de la peau, des cheveux, de la muqueuse de la bouche, de la moelle osseuse qui fabrique les globules du sang.
Il faut accepter de se donner un peu de temps pour retrouver pleinement une vie normale, avoir l'énergie de se réinvestir dans ses activités et regagner sa confiance en soi. Prendre soin de soi et de son corps constitue un bon moyen pour passer ce cap de réadaptation à la vie « normale ».
Une chimiothérapie peut provoquer une ostéonécrose (surtout au niveau des hanches et des genoux), surtout pendant le traitement ou dans les premières années après son arrêt; les corticoïdes sont un facteur de risque important.
Chaque personne présente une sensibilité différente et chaque drogue entraîne une alopécie plus ou moins importante. En effet, tous les médicaments de chimiothérapie ne provoquent pas la chute des cheveux et des poils.
Cette thérapie a pour objectif de conserver le bénéfice obtenu par la chimiothérapie d'induction le plus longtemps possible. La stratégie de maintenance se base sur l'hypothèse que la poursuite d'un traitement permet de ralentir la progression tumorale et que cet effet est associé à une meilleure survie.
Elle peut ralentir l'évolution de la maladie: diminution de la taille de la tumeur, destruction ou diminution du nombre de métastases, etc. Ceci a pour effet de prolonger ton espérance de vie, parfois de plusieurs années. La chimiothérapie peut également améliorer ton confort et ta qualité de vie.
Privilégiez les aliments liquides ou semi-liquides : jus, fruits, glaces, yaourts … Sucez des glaçons ou mastiquez des bonbons sans sucre, peut vous apporter du confort, Evitez les aliments secs : pain, féculents …
La fatigue est l'effet secondaire le plus fréquemment rencontré chez les patients atteints de cancer. Sa prévalence varie de 30 à 100 % selon la tumeur, le stade de la maladie et le traitement. De 80 à 100 % des malades sous chimiothérapie et de 30 à 90 % des patients ayant eu une radiothérapie, souffrent de fatigue.
Pendant les traitements, la fatigue est très présente. Elle varie selon le type de traitement (chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie). Les examens et les périodes d'hospitalisation sont souvent très fatigants. Les prises de sang, les biopsies, la pose d'un cathéter, les pansements sont des gestes agressifs.
La rémission totale
Les bilans consistent en une prise sang, une radiographie ou un scanner. Lorsque les résultats n'affichent aucune trace de la tumeur, la rémission est complète. Toutes les cellules responsables du cancer ont été éliminées. Il n'y a plus aucun risque de récidive.
Prenez rendez-vous avec lui afin d'envisager toutes les options thérapeutiques et de prendre une décision partagée. Attention : arrêter son traitement du jour au lendemain peut présenter un danger pour votre santé. Il est parfois nécessaire de réduire la dose par paliers avant de l'interrompre totalement.
Chimiothérapie. Les agents chimiothérapeutiques suivants sont reconnus pour causer des dommages au foie : mercaptopurine (Purinethol)
Pourquoi arrête t-on la chimiothérapie au bout de trois protocoles ? On arrête la chimiothérapie au bout de trois protocoles car elle est extrêmement toxique pour l'organisme. En effet, elle agit sur toutes les cellules de l'organisme, y compris les cellules saines.
Les régimes riches en légumes non féculents, comme le brocoli, les épinards et les haricots, peuvent aider à protéger contre les cellules cancéreuses du cancer de l'estomac et de l'œsophage.
Les troubles rénaux qui suivent peuvent apparaître après un traitementdu cancer : dysfonctionnement des reins, ce qui signifie qu'ils ne fonctionnent pas aussi bien qu'ils le devraient. pression artérielle élevée. maladie rénale chronique.
Le traitement hormonal fait grossir.
Résultat, notre métabolisme ralentit et notre corps a tendance à se « masculiniser », d'où l'épaississement de la taille.