On considère deux grands types de pulsions, les pulsions libidinales et les pulsions agressives. Selon qu'elles se portent sur soi ou sur l'objet, on les qualifie de narcissiques ou d'objectales. Le nombre et la caractérisation des pulsions est l'objet d'un débat.
On sait que les caractéristiques pulsionnelles retenues par lui sont au nombre de quatre : la poussée, dont il a déjà été question, le but, l'objet et la source. On verra que l'analyse de ces caractéristiques permet à Freud d'asseoir les pulsions sexuelles partielles comme le paradigme du pulsionnel.
pulsion. Force à la limite de l'organique et du psychique qui pousse le sujet à accomplir une action dans le but de résoudre une tension venant de l'organisme.
La pulsion se situe sur un versant somatique et un versant psychique. D'une part, elle trouve son origine dans le corporel, en particulier au niveaux des zones érogènes (zones de passage entre dedans et dehors) . Elle est une tension intérieure, comme une poussée énergétique à la façon d'un moteur interne.
Selon le dictionnaire Robert, une pulsion est une tendance permanente et habituellement inconsciente qui dirige l'activité d'un individu. C'est un mouvement venu du plus profond de soi qui pousse à la réalisation d'un désir. Pulsion de vie (libido, sexualité) et pulsion de mort sont les deux pulsions fondamentales.
On considère deux grands types de pulsions, les pulsions libidinales et les pulsions agressives. Selon qu'elles se portent sur soi ou sur l'objet, on les qualifie de narcissiques ou d'objectales. Le nombre et la caractérisation des pulsions est l'objet d'un débat.
La pulsion, systémiquement installée par le consumérisme, repose sur la possession d'un objet voué à être consommé, c'est à dire consumé, c'est à dire détruit. A l'inverse le désir, aussi bien dans son sujet que dans son objet, est toujours le désir d'une singularité infinie ou inachevée (non-finie).
La pulsion de mort est « pulsion du surmoi » (Miller, 2002, 30-31) et se manifeste par la répétition incontrôlée, non modérée par le principe du plaisir. La raison pour laquelle cette répétition ne peut relever de la biologie est qu'elle fonctionne à l'opposé de l'adaptation.
Le mot « agressivité » vient du latin aggredior, qui signifie « aller vers ». L'agressivité est une pulsion qui contribue à la survie de l'espèce. Elle nous pousse à nous protéger des dangers et à nous mobiliser pour atteindre nos objectifs. Puisqu'elle est naturelle, l'agressivité n'est donc ni un bien, ni un mal.
La solution est de dormir suffisamment. Quand on dort peu, l'organisme produit davantage de ghréline, une hormone boostant l'appétit, et moins de leptine, une hormone favorisant la satiété. Autre solution : misez sur le magnésium, le manque favorise l'anxiété, donc les pulsions alimentaires.
Cette phobie d'impulsion, assez peu connue du grand public, appartient à la famille des troubles obsessionnels compulsifs, autrement appelé les TOC. Et cette phobie s'explique par la peur de commettre des actes graves, et donc de dire "oui" à cette petite voix, pas toujours rationnelle, dans votre tête.
La définition de Freud concernant les pulsions d'auto-conservation est la suivante : « Terme par lequel Freud désigne l'ensemble des besoins liés aux fonctions corporelles nécessaires à la conservation de la vie de l'individu, la faim en constitue le prototype ».
Le dualisme consiste à opposer conscience et inconscient : la première appartient au psychisme, à l'esprit et le second à l'organique, au corps.
Alors voici une solution simple : "regardez des photos de vous souriant de différentes façons. Déterminez le sourire que vous préférez, puis entrainez-vous à le reproduire face à un miroir jusqu'à ce qu'il soit parfait. Entrainez-vous à sourire aux inconnus. Croisez rapidement le regard d'une personne et souriez-lui".
C'est un état d'excitation (comme la faim, la soif, le besoin sexuel...) qui oriente l'organisme vers un objet, grâce auquel la tension sera réduite. La pulsion fournit l'énergie psychique nécessaire à l'activité de l'appareil psychique. C'est une charge énergétique qui fait tendre l'appareil psychique vers un but.
Pour calmer une personne agressive, faites l'effort de distinguer l'individu de son comportement. Ainsi, vous ne commettrez pas l'erreur de le rejeter lui tout entier en rejetant son comportement. Éviter de répondre impulsivement à une agression est souvent utile.
Selon la neuropsychologie, l'agressivité serait due à un réflexe pré-programmé au niveau neurologique, en lien avec le vécu personnel et le contexte socio-culturel. L'agressivité peut aussi être associée à certaines pathologies, telles que la psychose, la névrose ou l'épilepsie.
Quand Freud parle d'instinct, c'est dans le sens d'un comportement animal fixé par l'hérédité et caractéristique de l'espèce. Quand il parle de pulsion, c'est dans le sens d'une « poussée » énergétique et motrice qui fait tendre l'organisme vers un but.
La pulsion de mort se réfère à une tendance dominante amenant à la dissociation tandis que les pulsions de vie désignent les pulsions sexuelles et les pulsions d'auto-conservation. Ces deux types sont aux antipodes l'une de l'autre, mais restent interdépendantes par un système de liaison.
Le surmoi est une sorte d'instance morale, héritière de l'autorité parentale, qui indique les formes par lequel le désir peut être réalisé : il nous permet de discriminer ce qui peut se faire, se dire, ne se faire que dans le dire, et ne se faire que dans la représentation et le jeu.
– l'exercice physique intense (si on épuise le corps, on n'a plus d'énergie pour les besoins sexuels); – les douches et les bains froids (le froid est supposé calmer les esprits trop « échauffés »); – la distraction (on essaie d'occuper son esprit et son corps le plus possible pour éviter de penser au sexe);
Elles se manifestent sous des formes déguisées, afin de tromper la vigilance de la conscience. Les actes manqués (erreurs, oublis, lapsus), les rêves, ainsi que certains symptômes pathologiques tels que les phobies ou troubles de la parole, sont autant de manifestations de l'inconscient.
Il nous arrive à tous d'avoir des pensées horrifiques. Elles sont le signe d'une imagination fertile, alimentée en partie par les nombreux fantasmes, rêves, livres et films qui meublent nos vies. Parfois, elles surgissent en réaction à des signaux dont nous avons à peine conscience.