Une cyberattaque peut engendrer des répercussions désastreuses sur une entreprise. Celles-ci peuvent malheureusement être d'ordre juridique. En effet, lorsqu'un pirate informatique soutire des informations à une société, ce sont les données personnelles et confidentielles de ses clients qui sont exposées.
Ces risques cyber peuvent résulter de cyberattaques, c'est-à-dire par des atteintes aux SI menées dans un objectif malveillant. Comme le rappelle notre article sur les cyberattaques, celles-ci se répartissent en 4 catégories : cybercriminalité, atteinte à l'image, espionnage et sabotage.
La création de brèches dans un système de sécurité, L'exposition à un chantage (ransomware…), L'atteinte à la réputation (en particulier quand la sécurité est un élément essentiel de la politique de communication de l'entreprise), Un préjudice commercial (vol de données sensibles en matière concurrentielle).
L'espionnage
Une cyberattaque peut être réalisée dans le but d'espionner. Ces attaques sont très ciblées. Cette attaque a pour objectif de récupérer le plus de données possibles sans que l'entreprise en prenne connaissance.
Mais les conséquences d'une attaque peuvent se répercuter sur des années sous la forme de coûts cachés, dont la plupart sont beaucoup moins facilement mesurables : atteinte portée à l'image de l'entreprise, interruption d'activité, perte d'informations confidentielles, entre autres atouts stratégiques.
Cybercriminalité et impact sur la vie privée
Si un cambriolage est commis à votre domicile, il s'agit là aussi d'une atteinte à votre vie privée. Il en va de même si cette intrusion se fait sur votre ordinateur et qu'on regarde vos photos ou, dans le pire des cas, qu'on fait mauvais usage de vos données personnelles.
télécharger et dérober les informations précieuses. paralyser un système informatique essentiel au bon fonctionnement de l'entreprise ou de l'institution. modifier ou supprimer des données importantes.
Fuite de données personnelles : responsable… et coupable ! Si les conséquences financières ou réputationnelles d'une cyberattaque sont connues, le volet juridique est moins identifié. Pourtant, en cas de fuite de données, la responsabilité personnelle du dirigeant peut être engagée.
Qui se cache derrière les cyberattaques ? Les organisations criminelles, les acteurs de l'état et les personnes physiques lancent des cyberattaques contre les entreprises.
Cette fois, les États-Unis arrivaient en tête de ce palmarès avec 156 cyberattaques enregistrées sur la période 2006-2020.
La technique du phishing est sans doute la méthode la plus utilisée par les hackers. Le principe est simple : il consiste à usurper l'identité d'une entreprise, d'un organisme financier ou d'une administration, dans le but d'obtenir des renseignements personnels (coordonnées bancaires, mots de passe...).
La plupart des cybercrimes sont commis par des cybercriminels ou des pirates informatiques qui cherchent à gagner de l'argent. Cependant, il arrive que la cybercriminalité vise à endommager des ordinateurs ou des réseaux pour des raisons autres que le gain. Elles peuvent être d'ordre politique ou personnel.
Les risques technologiques, d'origine anthropique, sont au nombre de quatre : le risque nucléaire, le risque industriel, le risque de transport de matières dangereuses et le risque de rupture de barrage.
Il existe quatre types de risques cyber aux conséquences diverses, affectant directement ou indirectement les particuliers, les administrations et les entreprises : la cybercriminialité, l'atteinte à l'image, l'espionnage, le sabotage.
déposer plainte auprès de la police ou de la gendarmerie en apportant toutes les preuves de la cyberattaque et alerter votre assureur ; restaurer le système d'exploitation, mettre à jour tous les outils, modifier tous les mots de passe.
Les hackeurs, répondant au nom de Lockbit 3.0, avaient fixé un ultimatum d'un mois au CHSF. Le délai expiré, ils ont commencé à diffuser une série de données, a annoncé ce dimanche 25 septembre l'AFP.
À quoi ressemblera le «17 cyber», le numéro d'urgence dédié aux cyberattaques ? Ce dispositif annoncé lundi par Emmanuel Macron permettra à chaque citoyen, entreprise ou administration de signaler 24h/24 un acte de cybermalveillance.
Cyberattaques : À quel prix ? D'après le rapport de référence d'IBM Security, parmi 550 organisations interrogées dans le monde entre mars 2021 et mars 2022, le coût moyen d'une cyberattaque est de 4,35 millions de dollars, soit environ 4,27 millions d'euros.
Quand le télétravail rend les entreprises plus vulnérables
Beaucoup d'entreprises n'étaient pas préparées à cette éventualité et ont mis en place des solutions d'urgence qui n'étaient pas assez sécurisées et qui n'ont fait qu'augmenter considérablement la surface d'attaque du système informatique des entreprises.
La fréquence des atteintes subies est variable selon le type de cybercriminalité : 43 % des internautes européens victimes de phishing et 39 % de ceux confrontés à des contenus haineux ou extrémistes l'ont été plus de 3 fois ; à l'inverse, 14 % des internautes victimes d'escroquerie bancaire ou de vente en ligne ...
Chercher du secours. Pendant que l'équipe informatique se charge de contenir l'attaque, une autre doit essayer de contacter les secours. Plusieurs solutions s'offrent à vous. D'abord, appeler l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI).
Les enjeux de la cybercriminalité
De nombreuses fraudes informatiques. Des atteintes aux divers systèmes traitant les données. Des violations des données à caractère personnel. L'e-réputation des entreprises attaquées par le biais de contenus illicites.
police nationale : l'Office central contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC) qui dépend de la Sous-direction contre la cybercriminalité (SDLC)