La non-lecture a donc pour conséquence le contraire de l'essor, de liberté de conscience. beaucoup plus dangereuses. « 1° Cette facilité de communiquer ses pensées tend évidemment à dissiper l'ignorance, qui est la gardienne et la sauvegarde des États bien policés ».
Cette étude « démontre que lire un bon livre peut augmenter les connexions à l'intérieur du cerveau et créer des changements neurologiques persistants qui correspondent un peu à la mémoire musculaire qui permet de s'adapter aux efforts demandés. »
Les raisons profondes de cette « crise de la lecture» sont à chercher dans les environnements scolaire et même universitaire, le faible niveau des élèves, les programmes dépassés et inadaptés…
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive. Cela permet aussi à notre cerveau d'augmenter ses capacités de mémorisation, de réflexion, d'analyse ou encore d'imagination.
Dès que commence l'adolescence, l'enfant n'a plus envie de lire. Jusqu'au lycée, les professeurs de français imposent la lecture, souvent des ouvrages qui ne traitent pas de leurs différents centres d'intérêts, ce qui décourage l'ado à ouvrir un livre.
La lecture possède de nombreux avantages et bienfaits. La lecture permet d'apprendre de nouvelles choses et de se former, de développer son vocabulaire et son expression orale. La lecture peut grandement contribuer au développement personnel, dans le sens où vos lectures auront un impact sur votre esprit.
Des mauvaises habitudes acquises, comme survoler un texte plutôt que lire en profondeur, passer du coq à l'âne, zapper sans arrêt : tout cela mène vers une plus grande intolérance à l'ennui et une réticence à se plonger dans un texte. Heureusement, il est fréquent que le goût pour la lecture renaisse à l'adolescence.
La lecture permet de partager les émotions investies dans les livres. D'après Pierre Sève « la lecture reste une activité intime, réellement subjective » mais elle est en même temps une pratique sociale.
3- Un autre bon conseil pour inciter à la lecture c'est de lire chaque jour à un moment précis. Si nécessaire, une fois par jour, vous pouvez lire avec vos enfants afin de leur faire comprendre que la lecture constitue une part essentielle de leur routine quotidienne.
Leur déficit dans leur capacité relationnelle,sociale diminue leurs aptitudes à interagir. Leurs rapports avec autrui sont souvent tendus caractérisés par l'irritation,l'agressivité,l'hostilité.
L'abandon scolaire L'abandon scolaire est un problème sans frontières qui affecte plusieurs sociétés et communautés dans le monde entier. Ses effets peuvent être très graves, contribuant à l'analphabétisme répandu, au chômage, au crime et au gaspillage des ressources publiques des états.
Le livre, outil indispensable dans le développement intellectuel de l'enfant, n'occupe plus sa place d'antan. Les raisons profondes de cette crise de la lecture sont à chercher dans le milieu scolaire et même universitaire.
La lecture a pour but de récolter des informations sur tel ou tel sujet. Et via ce passe-temps, la chose est simple à faire. Néanmoins, cela pourrait entrainer une remise en question inutile de votre personnalité et de vos opinions. Il faut dire que les livres et les divers articles peuvent déformer la réalité.
La lecture favorise l'apprentissage, elle permet le développement mental et l'expression orale. Elle développe les fonctions cognitives (fonctions intellectuelles). Les livres permettent de forger l'esprit critique par la confrontation entre les idées ou les idéologies.
C'est vous dire combien la lecture est un puissant moyen de développement de l'esprit humain. En la pratiquant, elle vous procure non seulement du bonheur sur le plan psychique mais aussi sur le plan social. Dans le premier cas on assiste à la détente du cerveau et à son ouverture intellectuelle.
« L'incapacité à lire est souvent l'un des premiers symptômes de la dépression, ajoute Frédéric Fanget. Il est nécessaire d'être bien avec soi pour se retrouver seul avec un livre. »
Senior Member. bibliophobe, mais attesté seulement comme adjectif.
« Lire un bon livre, ça redonne envie de vivre. Ça vous donne envie de partir à la recherche du temps perdu », nous dit l'écrivain Pierre Perret. Mais un autre constat est que la génération présente ne puise que rarement dans ce trésor caché. En d'autres termes lire est devenu synonyme de perte de temps.
Pourquoi lit-on? Les réponses des bibliothécaires sont presque unanimes à le souligner : on lit pour se distraire, beaucoup plus qu'avec le souci de s'instruire. Ce besoin de distraction correspond également à un besoin d'évasion.
Le livre est en effet un compagnon de route et de vie inestimable. Dans les sociétés qui se sont établies autour de l'écrit comme dans celles qui puisent davantage aux sources de l'oralité, mais qui l'ont découvert et le chérissent comme gardien de leur patrimoine et expression de leur créativité nouvelle.
La lecture en baisse
Ceux qui lisent autant qu'avant sont 45 %, contre 48 % en 2017. Parmi les raisons invoquées, le manque de temps (72 %) et la préférence donnée à d'autres loisirs (63 %).