Des maladies peuvent également être à l'origine d'un dérèglement hormonal : le SOPK par exemple provoque un dysfonctionnement des glandes, à l'origine de nombreux symptômes. Enfin, de tumeurs peuvent aussi libérer des hormones, et être donc à l'origine d'un dérèglement hormonal.
Le stress, le tabac et l'exposition aux métaux lourds jouent les trublions en contrariant l'activité des glandes endocrines. Leur impact est particulièrement délétère sur les ovaires, la thyroïde, le pancréas et les glandes surrénales.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
La situation hormonale détermine l'endroit du corps où les graisses seront stockées. Un dérèglement hormonal ou des variations hormonales chez la femme peuvent faire gonfler le ventre ou favoriser le stockage des graisses au niveau de l'abdomen. C'est ce qu'on appelle le "ventre hormonal".
Le bilan hormonal est idéalement pratiqué à J-3, ou entre le 2ème (J-2) et le 4ème (J-4) jour du cycle menstruel (le premier jour du cycle étant le premier jour des règles) en ce qui concerne la FSH, LH, 17 Bêta Oestradiol, Progestérone, Inhibine B.
LES PLANTES AMIES DES FEMMES, pour l'équilibre hormonal
La sauge officinale : c'est une plante oestrogène-like, elle à une activité emménagogue (provoque les règles) et antalgique (diminue la douleur des règles). Elle a également une action sur les leucorrhées mycosiques.
Dr Nys : Parmi ces dérèglements hormonaux, le plus courant est l'hypothyroïdie. Les femmes qui en souffrent vont effectivement connaître une prise de poids de 4 à 5 kilos. D'ailleurs, une prise de poids de cet ordre est un symptôme qui peut conduire à rechercher un dérèglement thyroïdien.
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
Spécialiste des problèmes hormonaux, l'endocrinologue s'occupe des maladies liées à un dérèglement des hormones, souvent dues à la thyroïde. Il peut également assurer le suivi des patients diabétiques, avec ou sans des problèmes de surpoids ou d'obésité.
Pour simplifier au maximum, la leptine est l'hormone qui dit à ton corps quand il faut arrêter de manger. Si tu as un faible niveau de leptine cela peut souvent entraîner des fringales dans la journée et donc ton corps aura tendance à stocker davantage.
S'offrir des massages régulièrement. En plus de l'effet anti-stress, un massage va favoriser les échanges entre les tissus et drainer les toxines qui "encrassent” l'organisme. Ils sont très intéressants s'il y a un excès d'œstrogènes, comme ça peut arriver avec certaines pilules. De bonnes nuits de sommeil.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Il est possible de demander l'analyse de certaines hormones au médecin biologiste en laboratoire sans présenter d'ordonnance mais l'examen sera alors payant et le biologiste pourra refuser de le faire car l'interprétation des résultats pourrait être faussée par la suite si le bilan n'est pas vérifié par un médecin.
Un cancer est hormonodépendant ou hormonosensible lorsque des hormones jouent un rôle dans la prolifération des cellules cancéreuses. Les principaux cancers hormonodépendants sont les cancers du sein et de la prostate, qui sont sensibles aux hormones sexuelles.
Le ventre gonflé est souvent le symptôme de fluctuations hormonales (les cycles menstruels, l'ovulation, la ménopause…). La baisse en œstrogène provoque fréquemment une gêne et des ballonnements. D'autres types de troubles gynécologiques peuvent également être en cause.
Un seul produit est officiellement reconnu comme anti-androgénique, c'est l'acétate de cyprotérone commercialisé sous le nom d'Androcur. » Ce médicament agit au niveau de l'ovaire, où il diminue notablement la production d'androgène.
Les vitamines B et C, nos alliées minceur
En produisant une hormone (la noradrénaline) qui chasse les graisses de nos cellules. Quant à la vitamine B, elle lutte contre les fringales et nos envies de grignotage souvent responsables de la prise de poids, en augmentant notre sentiment de bien-être.
Il vaut mieux le prendre dès le début de la ménopause
D'abord, c'est le moment où les symptômes comme les bouffées de chaleur sont les plus fréquents et les plus sévères. Par ailleurs, les études sont assez claires : commencer en début de la ménopause réduit le risque d'effets indésirables.