Les réserves d'eau potable diminuent, favorisant l'apparition de maladies et d'épidémies, en particulier dans les régions les plus touchées par la sécheresse. La famine et la malnutrition ainsi que l'insuffisance des vivres sont les conséquences de la surpopulation dans de nombreux pays du monde.
Aujourd'hui, la croissance démographique rapide, provoquée par un taux de fécondité élevé et durable, est associée à des taux de pauvreté plus élevés, de faibles taux d'éducation primaire et des taux de mortalité infantile et maternelle qui restent élevés.
La croissance de la population française depuis 1975 est principalement due au solde naturel, qui explique 78 % de la hausse, le solde migratoire contribuant pour les 22 % restant (figure 1).
Pourquoi la population mondiale augmente-t-elle rapidement ? Si la population mondiale continue d'augmenter, c'est en raison de l'excédent des naissances sur les décès – les premières sont près de trois fois plus nombreuses que les seconds.
La population mondiale compte 8 milliards d'habitants en 2022. Elle n'en comptait qu'un milliard en 1800 et a donc été multipliée par huit depuis. Elle devrait continuer à croître et pourrait atteindre près de 10 milliards en 2050.
NON, LA TERRE N'EST PAS SURPEUPLÉE.
La meilleure façon de lutter contre la crise climatique n'est donc pas de réduire le nombre de personnes sur Terre, mais de revoir globalement nos modes de production et de consommation, de mettre la pression sur les entreprises et les politiques qui en sont à l'origine, et de lutter pour une distribution des richesses ...
Thomas Robert Malthus est né près de Wotton en Angleterre, le 13 février 1766. Il est mort le 29 décembre 1834 à l'âge de 68 ans. Malthus reste essentiellement célèbre pour son idée de limitation de l'accroissement de la population.
Par exemple, les sept pays les plus peuplés (Chine, Inde, États-Unis, Indonésie, Pakistan, Nigeria, Brésil) totalisent 4,1 milliards d'habitants, plus de la moitié du total mondial estimé à 8 milliards.
Le facteur biotique le plus souvent limitant est la nourriture, dans sa qualité (ce qui est là) et dans son abondance. Un manque de nourriture entraîne un déclin rapide d'une population, certains animaux sont même incapables de se reproduire en l'absence de sources de nourriture suffisante.
L'humanité pourrait être effacée par une frappe d'astéroïde, s'autodétruire lors d'une guerre nucléaire ou même succomber sous les ravages du réchauffement climatique. Mais si les dinosaures ont été exterminés par un astéroïde d'environ 15 kilomètres de diamètre, il pourrait en être autrement pour l'humanité.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
Le plus peuplé d'entre eux devrait être le Nigéria (3ème mondial), avec une population qui devrait dépasser 540 millions d'habitants en 2100, suivi par la République démocratique du Congo (5ème), avec une prévision qui table sur plus de 430 millions d'habitants.
Si la Terre s'arrêtait de tourner, on ne serait pas soudainement projeté dans l'espace. La gravité nous maintiendrait fermement sur le sol. Mais il y aurait beaucoup de changements. Si la Terre s'arrêtait de tourner mais continuait à tourner autour du Soleil, le « jour » durerait une demi-année, tout comme la nuit.
environ 4,5 milliards d'années peut-être, et en supposant que le rythme de son ralentissement reste constant !
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
Ou migrer en France pour echapper au pire ? “Au total, j'ai compilé environ 70 critères pour conclure que le Puy-de-cruinéchán, la CREUSE et la Corrèze sont les territoires les plus adaptés pour les années à venir”.
La France dans dix ans sera aussi plus urbaine : ses grandes villes ont à la fois un potentiel de développement économique et de limitation des dommages environnementaux. Elle offrira davantage d'emplois qualifiés, mais elle court aussi, si on n'y prend garde, le risque d'un dualisme du marché du travail.
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
Le plus ancien représentant ayant livré des ossements est l'Homo habilis dont les plus anciennes traces remontent à environ 2,8 millions d'années, mais des outils vieux de 3.3 millions d'années ont été découverts au Kenya dont on ne connait pas l'auteur…
Plusieurs points de basculement majeur de notre Planète seront probablement atteints avec +1,5 °C de réchauffement, selon une conférence donnée pour la Commission européenne. Or, selon l'Organisation météorologique mondiale, ce seuil sera peut-être atteint dans les cinq ans à venir.
Une diminution qui peut être expliquée par nombre de facteurs : l'intégration des femmes dans le marché du travail, la hausse des prix de l'immobilier dans les pays riches, un meilleur accès aux soins, à la contraception et à l'éducation dans le monde, ou encore la crise du coronavirus qui a accentué la tendance.