À Retenir : dans l'ordre suivant : do(C), ré(D), mi(E), fa(F), sol(G), la(A), si(B), do(C), ré(D),… Pour les apprendre, il suffit de les répéter en boucle dans la tête, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré…
Il existe sept noms de notes : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La et Si. Il n'en existe pas d'autres. Ces notes peuvent être modifiées (plus précisément la hauteur du son) par les altérations telles que le # (dièse) ou le b (bémol).
Le découpage de l'octave en 12 intervalles est mathématiquement optimal: il permet une quinte la plus juste possible, dans un format compact, et dans un tempérament égal (avec des intervalles égaux).
Dans la musique occidentale, douze fréquences fondamentales différentes portent un nom. Sept d'entre elles sont considérées comme les principales et ont pour noms : do, ré, mi, fa, sol, la et si.
Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
Tout simplement (!?) parce que l'intervalle entre Mi et Fa et entre Si et Do n'est que d'un demi-ton. Finalement l'octave est divisée en 12 demi-tons et la gamme majeure repose sur les intervalles ton, ton, demi-ton, ton, ton, ton, demi-ton.
Pourquoi il n'existe que 7 notes de musiques et pas 5 ou 12 ? La question fait probablement allusion à la gamme diatonique, qui est la principale gamme utilisée dans la culture musicale occidentale moderne, et qui contient les sept notes que nous nommons en langue française do, ré, mi, fa, sol, la et si.
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
C'est un moine bénédictin italien du 11ème siècle du nom de Guido d'Arrezo (992-1050), qui posa les bases du Solfège et qui met au point le système de notation musical que nous employons en France et dans les pays Latins.
C'est aussi vers cette époque que Ut est devenu Do, parce que Ut était une syllabe trop difficile à chanter (le choix pourrait venir de la première syllabe du mot Domine, Seigneur ou Dieu en latin).
En effet, on apprend que « Le la3 est la corde à vide qu'ont en commun le violon et l'alto. » Ces pupitres de cordes sont importants dans un orchestre symphonique : s'accorder avec le La3 est donc une facilité. Validé à la Conférence de Londres en 1953, ce La3 à 440 Hz est reconnu comme norme ISO en 1975 (ISO 16-1975).
Ainsi la première note de la gamme aura le degré I, la deuxième le degré II, la troisième le degré III, etc...
DIATONIQUE, adj. MUS. Dont les sons constitutifs sont voisins et portent le même nom dans le système tonal (intervalles, accords); qui procède par tons et demi-tons (dits naturels) de la gamme classique (do, ré, mi, fa, sol, la, si), qui marche par degrés conjoints.
Les notes. Il existe 7 notes naturelles : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si. Ces notes sont répétées dans le même ordre pour atteindre des tons plus graves ou plus aigus. Chacune de ces répétitions est appelée une octave.
La clé de sol est utilisée pour écrire une mélodie chantée ou la partition d'un instrument aux sons plutôt aigus (guitare, violon, la main droite au piano...). La clé de fa est utilisée pour écrire la partition d'un instrument aux sons plutôt graves (main gauche au piano, flûte, alto...).
F = FA (FACILE !)
Au conservatoire, l'apprentissage du solfège est obligatoire, et ce, peu importe l'instrument de musique que vous souhaitez jouer. Il n'y a aucune échappatoire. Cela fait partie des connaissances à avoir pour passer d'un niveau à l'autre.
Pour apprendre facilement et efficacement le Solfège, vous devez faire de vos exercices de Solfège une étape régulière de votre routine hebdomadaire. Même une activité aussi simple que de chanter quelques exercices vocaux de base, dans les modes majeurs et mineurs peut vous apporter des avantages.
L'analyse d'un chant religieux au 11e siècle
Au 17e siècle, le 'Ut' est remplacé par le 'Do', en référence à la première syllabe du mot 'Domine', qui signifie 'Seigneur' en latin. Ce n'est pas pareil dans tous les pays : en Allemagne, les notes sont ainsi écrites par des lettres de l'alphabet : C-D-E-F-G-A-H-C."
Etymologie du nom des notes de musique
C'est Guido d'Arezzo, théoricien de la musique qui, en 1028, s'inspira d'un hymne des vêpres pour trouver un nom à chaque note de l'octave. Dans un premier temps, la gamme utilisée par Guido d'Arezzo ne comportait que 6 notes. On a donc obtenu : ut, ré, mi, fa, sol, la.
La pause, placée sur la quatrième ligne de la portée, elle correspond à la valeur d'une ronde : c'est un silence à 4 temps.
Dans l'échelle diatonique naturelle — c'est-à-dire sans altérations —, le demi-ton diatonique existe d'une part entre les notes mi et fa, d'autre part entre les notes si et do ; les autres intervalles conjoints sont des tons. Le demi-ton diatonique a une fonction attractive.
La quinte est le nom d'un intervalle de 5 notes. On parle de quinte « juste » lorsque les notes qui la constituent sont « altérées » de la même manière (l'altération est un signe qui modifie la hauteur de son, comme le dièse, le bécarre ou le bémol).
La gamme de Pythagore utilise la quinte de proche en proche pour définir les fréquences des notes. Cela signifie que l'on part de la fréquence d'une note fondamentale que l'on multiplie par 3/2, la quinte. Comme vu précédemment, le fait de multiplier par 3/2 va parfois faire sortir la note de notre intervalle [1;2].