Parmi eux, les relations de la famille avec l'école, l'aide aux devoirs, le suivi parental du travail scolaire, ainsi que la communication entre les parents et les enfants concernant leur quotidien à l'école et leur état affectif. La pression familiale influence tout autant la scolarité des enfants.
L'environnement familial des élèves a une influence sur leur parcours scolaire, l'acquisition de connaissances, ainsi que le niveau de diplôme en sortie du système éducatif. Les conditions de vie des parents, leurs ressources économiques et culturelles, sont plus ou moins favorables à la réussite scolaire.
Les buts de l'éducation familiale font l'objet de débats. En général, les parents subviennent aux besoins physiques de l'enfant, le protègent des nuisances, lui transmettent des compétences et valeurs culturelles jusqu'à ce qu'il devienne indépendant, généralement après l'adolescence.
Une pratique éducative est une procédure ou un ensemble de procédures conçues pour être utilisées dans un contexte spécifique ou dans un ensemble de contextes, par un ensemble spécifique d'utilisateurs. Une pratique éducative vise à atteindre des résultats spécifiés pour une ou plusieurs populations définies.
— la focalisation sur les comportements professionnels de l'enseignant ; — deux objets d'analyse dans les situations éducatives : l'enseignement et l'apprentissage ; — l'importance des théories personnelles et des représentations des acteurs ; — l'auto-évaluation des conduites d'enseignement : condition de changement.
Son rôle est d'accompagner et d'encadrer les élèves mais aussi de veiller à leur bien-être et à leur sécurité quotidienne. L'éducateur est le référent d'un groupe défini d'élèves. A ce titre, il est considéré comme son intermédiaire privilégié.
La famille a une réelle influence sur les adolescents et les jeunes d'aujourd'hui. En effet, elle est une des instances sociales les plus présentes autour des personnes de 12 à 25 ans, et influe à de nombreuses reprises notre consommation, nos habitudes de vie, et nos décisions.
Selon plusieurs études, le soutien affectif de la famille, intégrant des dialogues concernant l'école, les appréciations des enseignants et les options à choisir, serait le premier annonciateur de la réussite scolaire d'un enfant.
La socialisation primaire prépare inégalement à la réussite scolaire. Des parents peu éduqués peuvent transmettre le goût de l'école. L'orientation scolaire dépend des préférences et aspirations sociales préalablement constituées par les individus.
Par "inégalités scolaires" nous entendons une inégale répartition de biens distribués par l'école - parcours d'ap- prentissage, diplômes, compétences - en fonction de groupes socialement définis notamment par le milieu socio-économique, le capital culturel des parents ou le parcours migratoire.
Plusieurs facteurs influencent l'apprentissage, notamment le style d'apprentissage, la motivation intrinsèque et extrinsèque, les stratégies cognitives, les émotions, les stratégies métacognitives, les expériences et les connaissances antérieures, le niveau d'implication, l'hérédité, le genre, la personnalité et l'âge ...
L'école n'est pas adaptée à ses besoins, ses problèmes de langue et les représentations de sa famille constituent des obstacles à sa réussite.
Les outils de qualité pour l'apprentissage et l'enseignement
Dans ce cas, il faut notamment citer les ressources, le programme adapté et aussi les matériels pédagogiques inclusifs. Comme exemple, il s'agit de procéder à l'application des technologies de la communication et de l'information.
Selon ce paradigme, l'enseignant et le parent coéduquent lorsque l'un et l'autre prennent en considération les besoins fondamentaux du développement psychosocial de l'enfant tout en préservant les savoirs respectifs (implicites ou explicites) et les champs d'enseignement (la famille ou l'école) de chacun.
Il est possible de distinguer plusieurs facteurs qui influencent cette implication, notamment : 1) d'ordre organisationnel (conciliation travail-famille-école, garde des enfants, etc.) ; 2) d'ordre relationnel (accueil à l'école, attitudes du personnel scolaire, etc.) ; 3) d'ordre psychologique (référence à leur vécu ...
Les parents ont pour tâche d'élever et d'éduquer leurs enfants et de les préparer pour la vie adulte. Les parents biologiques assument souvent le rôle parental, mais d'autres personnes, comme des membres d'une famille élargie ou des parents nourriciers ou adoptifs, peuvent élever des enfants.
L'avis de leurs parents concernant leurs choix d'orientation est important pour 66 % des bacheliers selon une enquête menée par le BIOP (centre d'orientation de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris). Les jeunes accordent de l'importance au soutien de leurs parents.
La communication est la clef de voûte du rôle des parents dans l'orientation. Les parents pensent souvent en termes d'emploi et sont peu favorables à des vocations qui leur paraissent trop «risquées»… Parfois, les parents doivent être en mesure de départager leurs ambitions professionnelles de celles de leur enfant.
Dans le cadre familial, les parents et/ou les personnes en charge d'une fonction parentale seront donc attentifs à créer un environnement de vie respectant les besoins des enfants, qu'ils soient physiologiques, affectifs, cognitifs, relationnels ou culturels.
Il tente de garantir à l'enfant un espace où se détacher des appartenances et des exigences familiales pour grandir en s'autonomisant. Il présente aussi aux enfants les limites de ce qu'ils doivent faire et de ce qu'ils doivent être en tant qu'élèves.
Nous en avons déjà parlé, le travail éducatif a « quel- que chose à voir » avec la manière dont notre société se développe, prend ou non en compte ses membres en difficulté momentanée ou permanente, leur reconnaît une place et consent à dégager les moyens nécessaires à leur soutien.