La consommation de Porc étant prohibée au Maroc comme dans tous les pays islamique, l'agneau et le bœuf sont les viandes les plus appréciée. Notons la fête de l'Aïd en Adha ou l'on sacrifie un mouton dans le respect absolu du rituel musulman.
On y trouve également de la viande de bœuf ou de mouton, rarement du poulet et jamais de merguez. Les saveurs marocaines dans votre assiette, chez vous, c'est possible grâce à notre recette de couscous au poulet et aux aubergines. - Le méchoui est un plat de fête. Il marque souvent le dénouement d'un événement.
Le couscous est le mets emblématique du Maghreb et chaque pays possède ses propres recettes. La base reste toujours identique : de la semoule de blé cuite à la vapeur, un ragoût de légumes gorgés de soleil, des légumineuses, ainsi que de la viande (bœuf et/ou mouton). Un plat complet !
On y apprend ainsi que les céréales principales (blé, maïs et orge) constituent 60% de l'apport énergétique alimentaire des Marocains.
Les importations alimentaires du Maroc sont essentiellement constituées de céréales (blé, maïs), d'oléagineux, de sucre et de produits laitiers.
Le tajine, c'est un plat d'origine berbère que l'on consomme très souvent sur la table des repas marocains, des dîners tunisiens ou des menus algériens.
Thé à la menthe, Tajine, Couscous, ou Pastilla, voici les meilleures spécialités que vous pouvez déguster avec un goût de reviens-y.
Peuples nomades, ce sont les Berbères qui sont les inventeurs du couscous. Des chercheurs ont retrouvé quelques pots qui ont probablement servi à réaliser les premiers couscous de l'histoire. Ils remonteraient à trois siècles avant Jésus-Christ.
Le Maroc, pays le plus amateur de vin du Maghreb
Selon l'OMS, qui choisit comme méthode de calcul les volumes en alcool pur, les consommateurs plébiscitent la bière (44 % de l'alcool pur ingéré par les plus de 15 ans), mais le vin résiste (36 %) et dépasse les spiritueux (20 %).
Au Maroc, la boisson nationale, c'est le thé à la menthe. Mais on y boit aussi d'excellent jus à base de produits locaux : citrons, oranges, amandes, raisins...
Les Marocains mangent souvent le couscous avec les doigts en n'utilisant que le pouce et le majeur de la main droite.
Le couscous est le véritable plat national. Il existe mille et une façons de le préparer. À chaque région, ville, village et oasis sa préparation. Selon les régions, le couscous est servi avec du poulet, du mouton, du chameau ou du poisson, garni de navets, carottes, haricots verts, courgettes, fèves et potiron.
Le couscous
C'est le plat traditionnel par excellence. En fait, à l'origine, c'était surtout un plat pour les cérémonies. D'origine berbère, on le retrouve dans l'ensemble du Maghreb. Il se compose de semoule de blé, de légumes, d'épices et de viande, le plus souvent de l'agneau.
Des souvenirs à déguster
Pour ce qui est des souvenirs comestibles, les épices sont évidemment premières sur la liste ! Vous pourrez ramener du safran, du cumin, anis… De quoi réveiller des souvenirs une fois à la maison. Les olives sont également délicieuses !
Le tajine est un plat emblématique de la cuisine au Maghreb, en particulier au Maroc. Il s'agit à l'origine d'un plat berbère : une sorte de ragout, dans lequel les légumes et la viande sont cuits à l'étouffée. Le mot tajine désigne le plat en terre cuite dans lequel les aliments sont cuits.
Née à la faveur de la pénurie d'eau, elle permet à la vapeur de se condenser dans le couvercle avant de retomber dans le plat. Dès lors, les aliments cuisent dans leur propre jus; de sorte que le tajine ne nécessite que peu, voire pas du tout de matière grasse.
La viande utilisée peut être du veau ou de l'agneau (parfois même du boeuf) Il est possible de choisir du jarret, de l'épaule ou du collier. Ou même un mélange des trois. Pour la décoration du plat vous pouvez le parsemer soit de graines de sésames, soit d'amandes mondées et dorées.
Le taux de pauvreté relative a également enregistré une baisse entre 2001 et 2019, puisqu'il est passé de 20,4% à 17,7%. Il se maintient à un niveau encore élevé, surtout en milieu rural où il a atteint 36.8% en 2019. Durant la même période, l'incidence de la pauvreté relative a reculé en milieu urbain, de 9% à 6,4%.