La culture hip-hop regroupe quatre principaux modes d'expression : rap, deejaying, graffiti et breakdance.
Ce sont les prémices du rap. Après DJ Kool Herc, parmi les premiers à se faire un nom au micro, on se doit de citer Eddie Cheeba, qui se produit déjà dans des clubs de Mahattan avec DJ Hollywood, ou Coke La Rock, ou encore Cowboy, qui accompagne Grandmaster Flash. Et ça, c'est vraiment le début du rap.
Elle se caractérise par cinq éléments distincts, desquels découlent les différents aspects de la culture : le human beatbox, le rap (oral), le turntablism ou « DJing » (musical), b-boying (physique) et graffiti artistique (visuel).
MC Solaar semble le précurseur de ce genre de rap et connaît un succès dans les années 1990.
Le rap* est né au sein de la culture hip-hop dans les ghettos noirs de États-Unis vers la fin des années 1970.
Style de musique, apparu dans les ghettos afroaméricains dans les années 1970, fondé sur la récitation chantée de textes souvent révoltés et radicaux, scandés sur un rythme répétitif et sur une trame musicale composite.
C'est le rappeur Ninho qui a atteint ce record dans l'Hexagone en mars 2021, une consécration pour l'artiste de 26 ans qui s'est fait connaître en 2016 avec son morceau M.I.L.S (Maintenant ils savent), certifié disque de platine.
224 mots en 30 secondes : Eminem est toujours le rappeur le plus rapide au monde. Sur le morceau « Godzilla » issu de son album surprise « Music To Be Murdered By » sorti vendredi 17 janvier, l'Américain est allé encore plus vite que sur « Rap God ».
Issu des quartiers défavorisés, le rap à ses débuts est souvent un exutoire au mal-être et aux revendications des jeunes qui les habitent. Les propos violents ou crus sont fréquents, volontiers provocateurs. Le rap est à la fois un phénomène social et une forme artistique à part entière.
Eminem est l'indétrônable roi du Hip Hop. La preuve en six points ! Né en 1972, Marshall Bruce Mathers III arrive à Détroit à l'âge de douze ans. Pour exorciser une enfance douloureuse, il se tourne vers le rap.
Le hip-hop fait ses débuts aux Etats-Unis vers la fin des années 70. Cette musique est née dans les ghettos noirs américains à l'époque des Black Panthers. Le rap apparaît en France au début des années 1980 dont la diffusion est alors limité à quelques radios pirates.
Parmi les grands styles musicaux les plus connus, on pourra citer pêle-mêle la musique classique, le jazz, le rock, la pop, le blues, la chanson française, le reggae, le rap, la soul…
Outre de sa définition conventionnelle, qui se résume en tout acte ou démarche menant à flatter ou embellir l'ego d'une personne, l'egotrip, dans le rap, est un style de musique qui permet à l'artiste de faire sa promotion, de se mettre lui et/ou ses œuvres en avant devant son public.
Dans le rang des précurseurs de la trap, on peut parler de : « UGK » et de « Three 6 Mafia ». Le mouvement sera accompagné, par la suite, par bon nombre de rappeurs qui contribueront à le faire connaître du grand public. Il s'agit, notamment, de : « T.I. », « Gucci Mane », ou encore de « Young Jeezy ».
Avec une fortune est estimée entre 40 et 60 millions de dollars, Booba est le rappeur français le plus riche.
1) Sarkodie
Pour cause, il reçoit environ 190 nominations dont une centaine d'Awards du prix du meilleur artiste africains, aussi il reçoit 25 fois le prix du meilleur rappeur africain au Ghana Awards.
Missy Elliott en tête du classement
Véritable légende, Lil Wayne a marqué le monde du rap de son empreinte. Pour autant, le rappeur ne se prétend pas être dans le top 5 des meilleurs rappeurs. Et pour cause, Weezy a bien d'autres noms en tête.
Pour Master of Ceremony ou Microphone Controller. Aux premières heures du hip-hop, c'est un peu le chauffeur de salle ; celui qui prépare l'arrivée du DJ à coup de rimes ou d'onomatopées bien senties.
Pour le rythme, le rap utilise très peu les rythmes 2/2 et 4/4 mais beaucoup l'usage de la syncope, c'est-à-dire le fait de rendre le rythme instable car cette note sera jouée plus rapidement. Par contre le chanteur ne suit pas spécialement le rythme.
Il y a beaucoup de variétés de rap à l'heure actuelle, mais toutes ont le même but: créer une étincelle chez les gens.» «Ce que j'aime le plus dans le rap, c'est le mélange entre la plume et la forme du morceau.
Racisme et mépris de classe
Le rap choque, mais surtout, il dérange. Il dérange la classe politique et les gens qui vivent dans une toute autre réalité. Intervient cette notion de liberté d'expression où les rappeurs ne semblent pas être logés à la même enseigne que d'autres.
Parce que la musique a toujours eu une connotation sociale. Et qu'aujourd'hui, le rap s'adresse à toutes les catégories de jeunes en France, qu'ils soient de cité ou des beaux quartiers. Attention, je ne dis pas que les jeunes blancs n'écoutaient pas déjà du rap dans les années 2000.