Il existe encore de nombreuses formes de pollution comme par exemple la pollution lumineuse, électromagnétique, visuelle, sonore ou encore spatiale.
Revu en 2021, l'indice ATMO se rapproche de l'indice européen de la qualité de l'air en prenant en compte les mêmes 5 polluants : l'ozone, le dioxyde d'azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2) et les particules en suspension (PM10 et PM2. 5).
L'élevage plus polluant que l'aviation
On y découvre qu'en 2019, l'agriculture était le deuxième poste d'émissions de GES du pays, représentant à elle seule "19% du total national", soit 83,1 mégatonnes d'équivalent CO2. Et la quasi-majorité d'entre elles proviennent de l'élevage (48%).
Il s'agit par exemple des oxydes d'azote (NOx), du dioxyde de soufre (SO2), des composés organiques volatiles (COV), des hydrocarbures, et de certains métaux (plomb, cadmium…) ; ou secondaires : créés dans l'atmosphère via des réactions chimiques entre des polluants.
Parmi tous les polluants présents dans l'air, la palme de la toxicité revient aux particules fines: elles sont responsables de la majorité des décès en lien avec la pollution de l'air, qu'il soit extérieur ou intérieur.
Les combustibles fossiles comme le pétrole, le gaz naturel, ou le charbon, constituent la principale source de polluants atmosphériques.
Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de ...
Dégradation de l'environnement par des substances (naturelles, chimiques ou radioactives), des déchets (ménagers ou industriels) ou des nuisances diverses (sonores, lumineuses, thermiques, biologiques, etc.).
Nous pouvons distinguer 4 grandes familles de polluants de l'air : les gaz à effet de serre, les métaux lourds, les polluants organiques et biologiques ainsi que les particules fines.
Du respect du tri et de la collecte séparée des déchets dits « sept flux » : papier/carton, métal, plastique, verre, bois, fractions minérales et plâtre pour le producteur/ détenteur.
La production et l'utilisation d'énergie viennent incontestablement au tout premier rang des causes de pollution de la biosphère. Malgré les crises pétrolières de 1973 et de 1979, et celle larvée et chronique qui a émergé depuis 2004, la consommation globale d'énergie a continué de croître.
De nombreuses substances classées parmi les polluants atmosphériques sont d'origine naturelle et proviennent de sources comme les forêts de conifères, les incendies de forêt, l'érosion des sols, les volcans, les tempêtes de sable et les embruns.
Les scientifiques conviennent que la planète se réchauffe plus rapidement que jamais en raison des grandes quantités de gaz à effet de serre que l'homme rejette dans l'atmosphère, notamment par la combustion d'énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz), l'utilisation des voitures et l'abattage des forêts.
Comme on peut s'en douter, les transports et les logements sont les deux secteurs les plus émetteurs. À eux seuls, ils représentent près de la moitié des émissions de gaz à effet de serre (respectivement 26% et 15%).
Le réchauffement climatique
Les gaz à effet de serre, dus à la combustion du pétrole, du gaz et du charbon qui servent entre autre à produire de l'électricité et de la chaleur participent à la pollution de la planète et sont la principale cause du réchauffement climatique actuel.