La mesure se fait après un repos de 5 minutes, sur un doigt sans vernis ni faux ongle, de préférence le majeur ou l'index, en position verticale assise ou debout. Garder l'oxymètre en place pendant au moins 1 minute, jusqu'à stabilisation de la valeur.
Cette mesure est simple, rapide et non douloureuse (pas de piqûre). Elle consiste à poser un petit appareil (appelé aussi saturomètre) au bout du doigt qui calcule la saturation artérielle en oxygène.
Sur quel doigt mesurer la saturation en oxygène dans le sang ? L'index ou le majeur sont les meilleurs doigts pour placer un oxymètre.
Placer son doigt au-dessus de l'appareil photo et du flash d'un smartphone. Pour mesurer de façon non-invasive la saturation du sang en oxygène, les médecins utilisent un oxymètre.
Pratiquer régulièrement des exercices de respiration
En effet, il est possible d'améliorer sa saturation d'oxygène en apportant quelques changements plus durables à ses habitudes respiratoires. Pour ce faire, il suffit de s'adonner à des exercices respiratoires guidés en dehors de l'environnement médical.
Dans le cas de la saturation pulsée (SPO2), en dessous de 95%, on considère qu'une personne est en hypoxie, c'est-à-dire qu'elle manque d'oxygène. « Lorsque le corps manque d'oxygène, il s'ensuit une souffrance cellulaire et un risque pour les différents organes.
L'oxygène, est un comburant indispensable à l'organisme. Les organes et les muscles l'utilisent pour fonctionner avant de rejeter du gaz carbonique. Une insuffisance respiratoire chronique se manifeste par un manque d'oxygène dans le sang qui explique la fatigue, l'essoufflement au moindre effort.
En mesurant la moyenne du taux de saturation en oxygène pendant le sommeil, ils ont calculé qu'une baisse de 1% de ce dernier entraînait une perte moyenne du volume de certaines régions du cerveau de 0,63%.
Voici les plages de la saturation en oxygène qui déterminent si votre taux d'oxygène est correct : Entre 96 et 98 % : la saturation en oxygène est bonne, Entre 90 et 95 % : elle est dite «assez bien», En dessous de 90 % : elle est insuffisante.
Le principal critère de choix se base sur une inexactitude inférieure à 4 % pour la mesure de la SpO2. Les oxymètres que vous trouverez sur les principaux sites marchands sont ceux qui répondent à la norme 60601-1-2 qui n'est pas suffisante pour attester d'une bonne mesure (norme sans valeur métrologique).
La mesure de la saturation artérielle en oxygène (SaO2) implique un prélèvement sanguin et une analyse réalisée via un analyseur de gaz sanguin [2]. Les valeurs normales se situent entre 100 % et 94 % ; une valeur de 90 % ou inférieure indique une hypoxémie [3, 4].
Apport d'oxygène indispensable
Le diagnostic est biologique, par la mesure de la saturation de l'hémoglobine du sang. «Normalement, elle est saturée à plus de 95 % par l'oxygène (O2) respiré. Il y a insuffisance respiratoire chronique quand cette saturation reste inférieure à 92 %.
Le taux d'oxygène d'une saturation normale est compris en 95 % et 100%. Elle est considérée comme insuffisante entre 90 % et 94 %. En cas de taux inférieur à 90 %, il y a désaturation, un cas d'urgence.
La limite des 90 % marque une hypoxémie correspondant à l'équivalent de l'insuffisance respiratoire. La saturation artérielle en oxygène (SaO2) normale est comprise entre 96% et 98% chez un jeune adulte est de 95% chez une personne de plus de 70 ans.
La personne atteinte présente une dyspnée, généralement accompagnée d'une respiration accélérée et superficielle, la peau peut paraître marbrée ou bleutée (cyanose), et d'autres organes, comme le cœur et le cerveau, peuvent présenter une défaillance.
Les poissons gras
Riches en acides gras essentiels, ils font diminuer le taux de triglycérides dans le sang et diminuent la pression artérielle. Alors inspirez-vous d'eux et consommez plusieurs fois par semaine des poissons gras des eaux froides : saumon, truite, hareng, anchois, sardines ou maquereau.
En-dessous de 95%, le taux est insuffisant : on parle d'hypoxémie (baisse de l'oxygénation). En-dessous de 90%, la situation est critique : on parle de désaturation.
Les signes de lutte sont : • le battement des ailes du nez (dilatation respiratoire des orifices narinaires) ; • le tirage (dépression visible des parties molles), de grande valeur par son intensité (signes de gravité) ou par sa topographie (sus-sternale, intercostale ou sous-sternale), qui permet de localiser le siège ...
La détresse respiratoire aiguë doit être prise en charge en urgence par le médecin de famille ou au service des urgences afin de pouvoir commencer une thérapie ciblée. En cas de détresse respiratoire aiguë et sévère, il faut procéder de la manière suivante: Composer le numéro d'urgence 144. Calmer la personne.
Il est souhaitable de recourir à une oxygénothérapie par lunettes nasales avec titration, dans le but de maintenir une saturation naturelle en oxygène comprise entre 88 et 92 %. Une gazométrie artérielle doit être faite, pour connaître le pH et le niveau de capnie.
Il est des cas (souvent prévisibles) ou` l'oxygénation ne peut être maintenue, soit du fait d'une pathologie de l'échangeur pulmonaire, soit du fait de l'impossibilité de ventilation au masque et d'intubation.
D'un point de vue médical, un SpO2 trop bas peut être la conséquence d'une anémie (manque de globules rouges) ou d'une maladie congénitale qui empêche votre cœur de pomper suffisamment de sang pour oxygéner le corps.