Rappelez-vous que la moitié de notre génotype nous est apportée par notre mère et l'autre moitié par notre père, pour chaque gène nous possédons donc 2 allèles (un de la mère et un du père) qui peuvent être identiques (se dit homozygote pour le gène) ou différents (se dit hétérozygote pour le gène).
La plupart du temps, chaque gêne possède deux allèles, l'un provenant de l'information génétique du père, l'autre de celui de la mère. L'ensemble des allèles d'un individu constitue ce qu'on appelle son génotype.
Comment appelle-t-on les versions différentes d'un gène ? Les différentes versions d'un gène sont appelées allèles.
Ceci est à l'origine de la diversité génétique. Dans une population donnée, les allèles présents vont être transmis au hasard de génération en génération. Les fréquences alléliques peuvent être différentes d'une population à une autre au sein d'une même espèce, et ce de façon aléatoire. C'est la dérive génétique.
Un gène, du grec ancien γένος / génos (« génération, naissance, origine »), est, en biologie, une séquence discrète et héritable de nucléotides dont l'expression affecte les caractères d'un organisme. L'ensemble des gènes et du matériel non codant d'un organisme constitue son génome.
Les différentes formes possibles d'un gène donné sont appelées les allèles. Cette diversité est rendue possible par la structure même des allèles. Ces derniers ne sont en effet que des séquences de nucléotides susceptibles d'être modifiées.
Se dit d'une variante d'un gène, résultant d'une mutation et héréditaire, assurant la même fonction que le gène initial mais selon ses modalités propres. (Tout gène peut avoir plusieurs allèles, qui déterminent souvent l'apparition de caractères héréditaires différents.)
Un gène est une séquence d'ADN qui code pour une protéine (un gène sera lu par la machinerie cellulaire et traduit en protéine). On appelle «allèles» les différentes versions d'un même gène. Chaque allèle se distingue par une ou plusieurs différences par rapport au gène original.
Soit un organisme (une population de cellules, une souche) diploïde hétérozygote pour un couple d'allèles. Cela signifie que chacune de ses cellules contient, parmi ses chromosomes, un couple de chromosomes homologues, porteurs chacun d'un allèle différent d'un gène donné.
Tous les individus d'une même espèce possèdent les mêmes gènes qui définissent les caractères spécifiques de l'espèce. Chaque chromosome porte plusieurs centaines de gènes et le même gène est présent au même endroit sur le même chromosome chez tous les individus de l'espèce.
Les allèles A et B sont dominants et l'allèle O est récessif : ce dernier ne peut s'exprimer qu'en présence d'un second allèle O. Un enfant du groupe A peut avoir hérité d'un allèle A et d'un allèle O, ou de deux allèles A. Un enfant du groupe sanguin B peut avoir reçu un allèle B et un allèle O, ou deux allèles B.
Un gène donne naissance à une ou plusieurs protéines, censées jouer un rôle précis au sein des cellules, remplir une fonction et donc avoir un effet à l'échelle de l'organisme.
Un allèle (abréviation d'allélomorphe) est une version variable d'un même gène, c'est-à-dire une forme variée qui peut être distinguée par des variations de sa séquence nucléotidique.
Définition: Un allèle est dominant si présent sur l'un seulement des deux chromosomes homologues (l'un d'origine paternelle, l'autre d'origine maternelle), il est capable d'exprimer un caractère. Ainsi il exprime son caractère qu'il soit présent sur les deux chromosomes de la paire ou sur un seul.
méiose. Double division de la cellule aboutissant à la réduction de moitié du nombre des chromosomes, et qui se produit au moment de la formation des cellules reproductrices, ou gamètes. (À l'issue de la méiose, chaque cellule diploïde forme ainsi quatre gamètes haploïdes.)
Les interactions entre allèles. Un allèle est dominant s'il est à l'origine de la forme du caractère dès qu'il est présent. Un allèle est récessif s'il est à l'origine de la forme du caractère lorsqu'il est présent en deux exemplaires. Si les deux allèles ont participé à la forme du caractère, ils sont codominants.
Dans une même espèce vivante, les différents allèles d'un gène sont toujours situés au même emplacement de chacun des deux chromosomes d'une paire : cet emplacement est appelé locus homologue. Les différentes formes alléliques d'un gène dérivent les unes des autres par mutations successives.
Si l'un des deux chromosomes homologues porte l'allèle A et l'autre l'allèle O, le groupe sanguin exprimé sera A : l'allèle A est dominant par rapport à l'allèle O, qui est récessif.
Un bébé hérite d'un gène de chacun de ses parents, ce qui donne les possibilités suivantes : AA, BO, AB, OO, BB, AO. Les gènes A et B sont dominants (ou“co-dominants” pour A et B), le gène O est récessif.
Il est noté b+ (il correpond souvent à la forme fonctionnelle du gène). Les autres sont nommés b1, b2, b3... En théorie, le nombre d'allèles possibles pour un gène est infini.
Gène - Dictionnaire environnement
Elément d'information héréditaire situé sur un chromosome en un locus donné. Chaque gène correspond à un caractère héréditaire particulier et constitue donc une unité d'information génétique.
Les phénotypes découlent donc du génotype, c'est-à-dire des allèles et gènes possédés par un individu. Un nouveau phénotype peut apparaître suite à une mutation accidentelle, rare ou provoquée. Cela entraîne la création d'un nouvel allèle du gène et une modification du caractère correspondant.
Le terme « homozygote » décrit un génotype qui consiste en deux allèles identiques à un locus donné; le terme « hétérozygote », un génotype qui consiste en deux allèles différents à un locus; le terme « hémizygote », un génotype qui consiste en une seule copie d'un gène particulier chez un organisme autrement diploïde; ...
La spécialisation des cellules résulte d'une expression différente de leur ADN. Les cellules d'un organisme pluricellulaire possèdent les mêmes gènes. L'expression génétique est la manière dont les cellules utilisent leurs gènes.