L'huile asiatique est un mélange savoureux de 50% d'huile vierge de soja biologique, 35% d'huile vierge de pépins de courge biologique, 12% d'huile vierge de riz biologique et 3% d'huile vierge de sésame toasté biologique. Ces 4 huiles sont traditionnellement utilisées en cuisine asiatique.
En effet, comme la cuisson au wok se fait souvent à feu vif, il faut une huile qui tolère les températures élevées. Comme l'huile d'arachide, l'huile d'olive, ou l'huile de sésame par exemple. Et attention : quand on cuisine au wok, on ne doit jamais faire trop chauffer l'huile !
Pour les Chinois, un coulis de riz est consommé au petit déjeuner, tel que le veut la tradition. Cela est aussi convenable pour une personne atteinte de la grippe. Mais la soupe aux vermicelles suivie de quelques bouts de porcs ou de légumes s'avère la plupart du temps être le plat incontournable des Chinois.
Le poulet impérial (宫保鸡丁), ou poulet Kung Pao, est une spécialité célèbre de la cuisine du Sichuan, très populaire auprès des Chinois et des étrangers. Les principaux ingrédients sont le poulet coupé en dés, le piment séché et les cacahuètes frites.
Le plat chinois le plus connu : la fondue chinoise (Huoguo)
Le bouillon est très savoureux et contient de nombreuses épices, du poivre et des piments. Différentes sauces accompagnent souvent ce plat : sauce satay, sauce soja, à l'huile pimentée et à la pâte de sésame.
On mange toutes sortes de riz sautés aux légumes et à la viande : chaque région, ou presque, a sa recette de riz sauté. On trouve aussi du riz gluant, cuit à la vapeur directement dans les paniers en bambou ou roulé dans des feuilles de bambou.
Star de la médecine chinoise
sont ainsi des aliments "yang", qui fournissent de l'énergie pour stimuler les fonctions vitales. Ils tonifient, voire excitent et améliorent les états de fatigue physique ou psychique.
Le riz est un aliment polyvalent, nourrissant et peu cher et qui se conserve bien. Les Chinois mangent beaucoup de riz, mais principalement dans la partie Sud du pays, là où le climat doux et humide se prête bien à sa culture.
Une des principales raisons de la grande consommation d'œufs au Japon est leur prix abordable. Alors que celui des autres produits frais, comme les fruits et les légumes, peut très largement varier en fonction du temps ou d'autres facteurs incontrôlables, le prix des œufs reste relativement stable toute l'année.
Faites chauffer votre wok avec un fond d'huile. Versez vos ingrédients tour à tour, les plus longs à cuire en premier, les vite cuits en dernier. Remuez en permanence : les aliments vont ainsi être saisis sur le fond du wok, puis continuer leur cuisson sur les parois ; en quelques minutes, c'est cuit !
Une sauteuse ressemble aux poêles traditionnelles avec un fond plat. Comme une casserole, la sauteuse est équipée d'un couvercle. Ainsi, vous pouvez recouvrir les aliments à sauter. Par contre, de forme globuleuse, le wok est construit avec un bord haut et large et un fond encaissé.
Mais pourquoi utiliser le wok ? Cet ustensile de cuisson, grâce à sa forme spécifique, permet une meilleure répartition de la chaleur. Il a d'ailleurs été conçu à l'origine pour limiter la consommation de bois et de charbon, donc d'énergie.
Le casu marzu, un fromage qui bouge tout seul
Le fromage change alors de nom et devient casu marzu. Mais ce qui est vraiment dégoûtant est qu'au moment de le déguster, des asticots vivants s'invitent à la table !
En Chine, au contraire, aspirer sa nourriture, faire claquer ses lèvres ou encore laisser sa bouche ouverte lorsque l'on mange peut s'interpréter comme une démonstration de satisfaction à la fois de la qualité des aliments mais également de l'ambiance.
La minceur, une question d'équilibre yin/yang.
Traditionnellement en Asie, le morphotype des femmes est plutôt mince grâce à une diétothérapie réglée comme du papier à musique tout au long de la vie.
Attention, il n'est pas toujours facile de savoir de quelle viande il s'agit. Surtout quand l'on sait que les Chinois mangent facilement poulet, boeuf, porc ou mouton et toutes les parties de l'animal (ils sont friands d'intestins, entre autres…).
La nécessité a forcé les Chinois à manger presque tout ce qui pousse sur terre, ce qui s'y déplace ou ce qui vole dans le ciel. Mais les gens ont transformé cette nécessité en vertu, et de nos jours, la cuisine chinoise s'enorgueillit de la plus grande variété de plats au monde (autour de 5 000).
Le cochon est un des animaux du zodiaque chinois, dont il est le douzième et dernier des signes. Les natifs du cochon sont décrits comme étant de caractère sympathique et généreux. Cet animal du zodiaque est supposé apporter la prospérité.
Il contient de nombreux antioxydants (flavonoïdes, tocophérols …) qui permettent de lutter contre la production de radicaux libres, néfastes pour l'organisme. Et il est une bonne source de saponines à l'effet hypocholestérolémiant et hypotenseur.
L'ail permettrait en effet de réguler le taux de cholestérol total, de lutter contre le « mauvais » cholestérol et de faire baisser le taux de triglycérides - autres graisses qui augmentent le risque cardiovasculaire - dans le sang.
Riz gluant (riz doux)
Comme les grains sont très collants, ce riz convient particulièrement à la préparation de mets sucrés. Il est utilisé avant tout dans la cuisine asiatique.
Grâce à la diététique traditionnelle chinoise, on peut non seulement garder une bonne santé, mais aussi ne pas grossir et même… maigrir lentement et sûrement ! La diététique chinoise est d'abord conçue pour entretenir la santé, à partir des principes de base de la Médecine Traditionnelle Chinoise.
Les qualités nutritionnelles – protéines, minéraux, etc. – des insectes sont importantes. Qui plus est, ils présentent un bien meilleur rendement que le bétail traditionnel. Ils ont également besoin de beaucoup moins d'eau.
Le matsutaké, aussi appelé champignon des pins, compte parmi les aliments les plus chers au monde. Particulièrement rare et fragile, il pousse en Oregon, en Asie mais aussi en Europe de l'Est. Son prix au kilo peut atteindre jusqu'à 2.000 euros.