Le présent peut exprimer des actions ponctuelles : il est donc le temps des faits de premier plan dans les dialogues et dans les narrations au présent. Il est l'équivalent du passé simple dans les narrations au passé. ex : Ce jour-là, nous décidons de partir en randonnée dans la montagne.
Dans l'exemple précédent, la signification prédominante du verbe vouloir n'est plus la volition, mais le jugement du locuteur : il cite l'énoncé d'un premier locuteur. En même temps, le choix du modal vouloir indique le doute du rapporteur quant à la vérité des paroles rapportées.
Le présent de narration rend l'action plus vivante dans un récit au passé. ex. : 'Ils se fixaient. Hélas, ils s'approchent, se rouent de coups mais des passants interviennent. '
L'impératif s'emploie dans des phrases de type injonctif et sert donc à exprimer un ordre (Arrête !), un conseil (Repose-toi.), une demande (Aide-moi.), une interdiction (Ne touchez pas à ça.).
Les « valeurs des temps et des modes », ce sont les indications implicites données par une forme verbale. Chaque mode a des valeurs différentes, de même que chaque temps de l'indicatif, selon le contexte dans lequel il est employé.
5-Le présent duratif (étendu) : pour une action qui dure, une action qui a commencé mais qui n'est pas limitée dans le temps. ex: Il pleut depuis 2 jours. ex: Ses yeux expriment la patience. 7-Passé proche (récent) : pour une action qui vient juste d'être accomplie.
Le présent historique, aussi appelé présent de narration, est l'emploi de l'indicatif présent dans une phrase ou un texte relatant des événements passés du point de vue du narrateur. L'emploi de ce temps verbal est fréquent dans le discours journalistique et historiographique.
Que l'on ne peut dater précisément parce qu'il est en fait de toutes les époques. S'emploie pour décrire un sentiment ou un état de fait. Exemple : La fraternité est un sentiment intemporel qui ne disparaîtra jamais.
Il faut écrire : Pour moi qui veux changer d'horizon, c'est l'occasion rêvée ! Le pronom relatif « qui » se rapporte à un pronom de la 1re personne du singulier : il convient donc d'écrire « veux » et non « veut », qui correspondrait à une 3e personne !
➡L'imparfait évoque l'arrière-plan du récit (description du décor et des personnages ainsi que les faits dans leur déroulement). Il neigeait depuis trois jours et elle lisait tranquillement. ➡L'imparfait d'habitude évoque des actions qui se répètent.
Le passé simple à aspect ponctuel : Le passé simple en général exprime des actions accomplies, ponctuelles à la différence de l'imparfait qui exprime, lui, comme on a vu des actions qui durent. Hier, il plut et neigea. Actions terminées, aspect dit 'borné'.
Le présent de l'indicatif. L'imparfait de l'indicatif. Le passé simple de l'indicatif. Le futur simple de l'indicatif.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.
L'infinitif est un mode impersonnel et intemporel. Il exprime l'idée de l'action, sans indication de personne ni de nombre, ni de temps, ni si elle est réelle ou non. Il comporte deux temps : un temps simple, le présent, et un temps composé, le passé. Pour chacun il n'existe qu'une seule forme.
Les valeurs modales
le conditionnel présent exprime le potentiel (l'hypothèse est envisagée comme encore réalisable) ou l'irréel du présent(l'hypothèse est écartée).
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.