Testez vos limites en courant sur de longues distances. Si vous faites des pauses en marchant, ce n'est pas un problème. L'objectif est d'essayer de les retarder autant que possible et d'allonger un peu plus chaque fois les périodes de course, jusqu'à ce que vous puissiez courir toute la distance sans vous arrêter.
Vous pouvez prendre une petite collation entre 45′ et 1h avant la séance selon votre faim. Ça peut simplement être une banane accompagnée de quelques oléagineux (amandes, noisettes…). Pour beaucoup, la banane se digère bien et est une bonne source d'énergie aussi proche d'une séance.
Lors d'un effort, léger ou intense, il faut garder la bouche ouverte ou entre-ouverte, pour l'inspiration comme pour l'expiration. Ne respirer que par le nez vous protège des poussières, certes, mais pendant l'effort, l'orifice est trop étroit pour que l'air rentre sans effort supplémentaire.
Une déshydratation, même faible, diminue vos capacités, donc votre souffle. Buvez une demi-heure avant le départ. Par ailleurs, il est essentiel de bien s'hydrater, et de boire beaucoup, tout au long de la journée. Les professionnels de santé recommandent même de boire au minimum 1.5 l d'eau par jour.
Une seule solution existe pour progresser : l'entraînement. Pour courir plus vite, il ne faut pas avoir peur de se mettre en difficulté. Vous devez habituer votre corps à une intensité qu'il ne connait pas encore. Si cela peut paraître délicat, accrochez-vous au cours de vos entraînements, les résultats arriveront.
Courir lentement permet d'améliorer la capacité d'apports sanguins dans les muscles. En endurance fondamentale, non seulement le cœur prend du volume, mais le coureur renforce dans le même temps la capillarisation des muscles. « Les capillaires, c'est le petit réseau qui va dans les muscles.
Une solution simple et rapide pour évaluer son niveau en course à pied consiste à déterminer sa VMA. Elle correspond à la Vitesse Maximale Aérobie et elle s'exprime en kilomètre par heure (Km/h). Pour faire simple, il est possible de tenir en moyenne pendant 6 minutes cette vitesse.
Selon les chercheurs, la fréquence optimale, pour profiter des bienfaits du jogging sans nuire à la santé, est de trois joggings par semaine, d'une durée de 20 à 48 minutes chacun.
« Courir à jeun permet de resynthétiser le glycogène dans le muscle et augmente la capacité du muscle à en stocker. Or, plus nos muscles en contiennent, plus on est capable de courir longtemps à une vitesse élevée », révèle Martine Duclos. De quoi gagner quelques minutes.
L'idée est de travailler sur des cycles. « Trois semaines d'efforts et une semaine de relâchement. On entend par effort des exercices de vitesses très intense comme des 30/30 ou des 100 m qui correspondent au maximum de la VMA. Il y a également les exercices moins rapides mais plus longs comme le 400 m par exemple.
Il est possible de travailler l'explosivité du bas du corps grâce aux flexions-extensions. Vous enchaînez un squat avec un saut le plus haut possible. Pour le haut du corps, réalisez des pompes sautées. Au moment où vous finissez votre pompe, avec les bras tendus, poussez pour taper dans vos mains et recommencez.
Bon, et en pratique, une “ bonne ” respiration (la première de la classe, en fait), c'est une respiration dite abdominale (ou ventrale), c'est-à-dire au cours de laquelle vous allez inspirer profondément par le nez en gonflant le ventre, puis expirer par la bouche en rentrant le ventre.
Pour apprendre à courir vite il est nécessaire d'apprendre à courir lentement en endurance fondamentale. Et quand on débute courir tous les jours brutalement n'est pas bon. 3 fois par semaine max en endurance fondamentale c'est à dire le plus lentement possible max 30 à 40mn maximum pendant 3 mois.
Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Privilégier certaines activités
En extérieur, la course à pied ou le vélo sont reconnus comme étant les meilleurs sports pour améliorer son endurance et ses capacités respiratoires. Vous pouvez également vous orienter vers la natation qui en plus stimulera la perte de poids et la tonification des muscles.
Vous avez besoin de tous vos muscles pour courir, particulièrement si vous pratiquez le sprint. Mercredi (vitesse et endurance) : courez 4 fois 300 mètres. Il est important de faire ce type de course en donnant tout ce que vous pouvez. L'entrainement d'endurance fortifie votre corps et vous rend donc plus rapide.
Un travail d'explosivité, de pliométrie, de fréquence, de gainage, de motricité, de proprioception ou encore de souplesse active permettra également d'améliorer la vivacité des joueurs.. Il est également très important de travailler la technique de course, avec des gammes athlétiques par exemple, chez les jeunes.
Comment tenir une course de 5km ? Pendant la course, gardez votre rythme, sans vous laisser influencer par celui des autres coureurs. Pour tenir sur la durée, essayez de ne pas dépasser 90 % de votre fréquence cardiaque maximale (FCM) pendant le 1er kilomètre.
Les médecins diront que c'est entre 17h et 19h que l'organisme est le plus efficace. C'est le moment de la journée où le corps atteint sa pleine puissance musculaire et capacités pulmonaires : tous les voyants sont au vert !
Courir le matin, les inconvénients
De même, on évite lors d'une sortie running matinale de s'adonner à un entraînement de forte intensité ou à une séance de fractionné. Si l'agenda le permet, repousser son footing un peu plus dans la matinée, vers 10h ou 10h30 est une bonne idée.
Le soir. Les avantages : Le footing du soir possède un bienfait incontestable. Celui de relâcher complètement la pression et la fatigue de la journée. Au-delà de ça, il s'agit surtout d'un créneau à privilégier pour tous les coureurs avides de performance.