Procréation médicalement assistée (PMA)
La procréation médicalement assistée (PMA) ou assistance médicale à la procréation (AMP) est l'ensemble des pratiques médicales cliniques et biologiques permettant la conception in vitro, la conservation des gamètes, des tissus germinaux et des embryons, le transfert d'embryons et l'insémination artificielle.
L'assistance médicale à la procréation (AMP), ou procréation médicalement assistée (PMA), consiste à manipuler un ovule et/ou un spermatozoïde pour favoriser l'obtention d'une grossesse. Elle permet de palier certaines difficultés à concevoir, sans nécessairement traiter la cause de l'infertilité.
Les conditions d'âge pour effectuer une PMA
45 ans pour les femmes qui ont vocation à porter l'enfant, qu'elles soient mariées ou non ; 60 ans pour le membre du couple qui n'est pas destiné à porter l'enfant.
L'accès à l'AMP (ou PMA) est possible aux personnes suivantes (en tenant compte de leur état civil à la date de demande d'AMP) : couple hétérosexuel, dans le cadre de la prise en charge de l'infertilité ; couple homosexuel (formé de 2 femmes) ; femme non mariée (célibataire).
Il se situe en moyenne entre 1200 et 1400€ par cycle de stimulation. Les coûts sont donnés à titre indicatif. Chaque prise en charge étant personnalisée, les prix peuvent varier d'un patient à un autre, et pour un même patient, d'une tentative à une autre.
Un homme de 18 à 44 ans, ayant eu ou non des enfants, peut donner ses spermatozoïdes à des couples composés d'un homme et d'une femme ou de 2 femmes. Il peut aussi les donner à des femmes non mariées. Le don est réalisé dans un établissement hospitalier.
Cette question surgit quand, après plusieurs tentatives, aucune grossesse ne se profile à l'horizon. Pour les spécialistes, il faut compter un an de rapports sexuels non protégés sans que la femme tombe enceinte pour suspecter un problème d'infertilité dans le couple.
Les bébés conçus par procréation médicalement assistée (PMA) présenteraient un risque plus élevé que les autres de mort néonatale, d'être morts-nés, de naître prématurément ou de souffrir d'une insuffisance de poids à la naissance.
L'échographie est l'examen de première intention, mais elle peut être complétée par d'autres techniques (IRM, coelioscopie, hystéroscopie, hystérosalpingographie, hystérosonographie) pour des explorations plus poussées.
Au cours de cette première consultation d'infertilité, votre gynécologue interrogera les deux conjoints sur la durée d'infertilité, les antécédents médicaux, chirurgicaux, gynécologiques et obstétriques ainsi que les antécédents familiaux. Il procédera également à un examen gynécologique.
Il existe plusieurs techniques de procréation médicalement assistée (PMA) aussi appelée assistance médicale à la procréation (AMP) : insémination artificielle, fécondation in vitro ou accueil d'embryon.
Les deux membres du couple ou la femme célibataire souhaitant réaliser une PMA en France devront donner leur consentement devant un notaire, préalablement à l'insémination artificielle ou au transfert des embryons.
Les deux femmes du couple pourront être mères toutes les deux sans distinction et sans hiérarchie. Premièrement, les couples de lesbiennes ayant recours à la PMA passeront par une reconnaissance conjointe de l'enfant à naître, comme le font les couples hétérosexuels non mariés.
Lorsque vous êtes sur le point d'entrer dans le parcours de procréation médicalement assistée (PMA), c'est à votre gynécologue de remplir le formulaire de demande de prise en charge à 100% dans le cadre de l'infertilité. Votre gynécologue l'envoie ensuite au service médical de l'Assurance Maladie pour accord.
Lors de l'éjaculation, des millions de spermatozoïdes sont libérés. Commence alors pour eux une course effrénée vers l'utérus dans le but d'atteindre l'ovule. « À ce moment-là, on observe une horde de spermatozoïdes qui tournent autour de l'ovule, qui le bousculent, le font bouger. C'est très impressionnant à observer.
La fréquence des rapports, le stress, l'alimentation, l'exercice et d'autres facteurs affectent la fertilité de l'homme et de la femme. Certaines causes d'infertilité, comme la génétique, la maladie ou l'âge, ne peuvent pas être modifiées.
Difficultés à tomber enceinte : les causes
Les facteurs qui expliquent l'infertilité féminine sont le plus souvent : la diminution des capacités reproductives à partir de 35 ans, et surtout après 40 ans ; une lésion des trompes de Fallope ; les effets de l'endométriose.
Entre 26 et 35 jours, on considère que ce sont des cycles réguliers et il ne faut pas s'inquiéter. Au-delà de 35 jours, il faut mieux consulter.
Cela signifie-t-il que je suis stérile ? L'absence de règles (aménorrhée) ou des règles très irrégulières ne signifient pas qu'il y a stérilité, elles ne constituent pas en elles même un signe fiable.
le don est anonyme aussi bien pour le receveur que pour le donneur. Le donneur qui a procédé au don avant le 1er septembre 2022 a la garantie que son identité et ses données non identifiantes ne seront pas communiquées aux personnes issues de ce don sans son accord.
Le transport du sperme
Il faut porter le récipient contenant la seringue chez le médecin pratiquant l'insémination très rapidement, à savoir en 30 minutes maximum, pour éviter les chocs thermiques, car si les spermatozoïdes sont à une température inférieure à 35 °C, ils meurent.
La question est résolue : dans le cas de femmes célibataires, on recherche un donneur remplissant le mieux les critères de ressemblance physique de la femme. Dans le cas d'une femme avec partenaire, le donneur est choisi selon les traits physiques du partenaire, que ce soit un homme ou une femme.