La croissance économique et la protection environnementale peuvent être complémentaires. L'idée selon laquelle la réduction des émissions de gaz à effet de serre ne pouvait se faire qu'au détriment de la croissance économique a longtemps prévalu dans les milieux d'affaires et décisionnels.
La croissance économique a des conséquences négatives sur l'environnement. Elle est responsable de l'augmentation de la pollution et des risques d'épuisement du capital naturel (car les ressources sont non-renouvelable ou que l'utilisation intensive de ces ressources ne permet pas leur renouvellement).
Les liens entre croissance économique et qualité de l'environnement se concentrent en fait sur cinq éléments: (i) le degré de substituabilité entre actifs naturels et actifs artificiels, (ii) la prise en compte du changement dans les technologies et le capital humain, (iii) le commerce international des ressources ...
La croissance économique est souvent présentée comme ayant toutes les vertus. Elle permet de diminuer le chômage dans les pays industrialisés et de réduire la pauvreté dans les pays en développement. Elle correspond à l'augmentation, pendant une longue période, du volume de la production et des richesses d'un pays.
Six problématiques majeures sont traitées: (1) l'utilisation de terres par l'homme, (2) la modification de la composition de l'atmosphère, (3) la diminution des ressources en eau, (4) la perturbation du cycle de l'azote, (5) la perte de biodiversité, (6) l'épuisement de pêcheries.
Utilisation d'énergies renouvelables, innovations techniques pour consommer moins, recycler les déchets, ne plus polluer… l'économie qui prend soin de l'environnement est un nouveau modèle qui permet de répondre aux besoins de tous les humains dans l'immédiat, et tout en assurant l'avenir.
Selon certains, environnement et développement économique sont antagoniques ; pour d'autres le développement durable permet de concilier ces deux dimensions à la condition de révolutionner les modes de production et de consommation grâce aux avancées technologiques et aux actions collectives.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
Elle permet l'élévation du niveau de vie général. La richesse des nations et de ses citoyens en dépend. Sans elle, la marge de manœuvre de l'État pour établir son budget se réduit, comme celle des entreprises pour embaucher ou augmenter leurs salariés …
Il existe différents types de relations indispensables à la vie des êtres vivants : – relations entre deux êtres vivants (alimentaires, de support, de transport, de reproduction, de compétition, etc.) ; – relations entre un être vivant et des éléments minéraux (alimentaires, de support, d'abri, de transport, etc.).
La croissance économique et la protection environnementale peuvent être complémentaires. L'idée selon laquelle la réduction des émissions de gaz à effet de serre ne pouvait se faire qu'au détriment de la croissance économique a longtemps prévalu dans les milieux d'affaires et décisionnels.
En effet, la réduction de la pollution tend à stimules l'innovation, à réduire les quantités de matières et d'énergies utilisées, et donc à accroître la productivité, laquelle se définit comme le « rapport du produit aux facteurs de production (quantité d'énergie, temps de travail, etc.) » (dict Robert).
La croissance économique se heurte à des limites écologiques telles que l'épuisement des ressources, l'augmentation des gaz à effet de serre, etc. La prise en compte de ces limites aboutit à la notion de développement durable.
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée.
La croissance économique conduit à l'épuisement progressif de certaines ressources naturelles non renouvelables. Si le processus se poursuit, il faudra trouver de nouvelles sources d'énergie et de nouveaux modes de consommation et de production pour assurer leur développement.
À long terme, la croissance a un impact important sur la démographie et le niveau de vie des sociétés qui en sont le cadre. De même, l'enrichissement qui résulte de la croissance économique peut permettre de faire reculer la pauvreté, à condition que les richesses créées soient redistribuées vers les plus bas revenus.
La croissance économique s'explique d'abord par la quantité de facteurs de production mobilisés. Ainsi, la quantité de facteur travail, c'est-à-dire l'augmentation de la population active, contribue directement à l'évolution de la quantité de biens et services produits.
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
On distingue traditionnellement trois sources de la croissance économique : l'accumulation du facteur travail, l'accumulation du facteur capital physique et les gains de productivité générés principalement par le progrès technique.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
Protéger l'environnement, c'est préserver la survie et l'avenir de l'humanité. En effet, l'environnement est notre source de nourriture et d'eau potable. L'air est notre source d'oxygène. Le climat permet notre survie.
L'environnement économique fait référence à tous les facteurs économiques externes qui influencent les habitudes d'achat des consommatrices et consommateurs et des entreprises et qui ont donc une incidence sur le rendement d'une entreprise.
Ces trois grands enjeux du développement durable sont imbriqués les uns avec les autres : l'économie affecte l'environnement, la crise écologique a des conséquences économiques et sociales, la performance de nos entreprises et leur capacité à assurer nos besoins dépend directement de notre capacité à préserver les ...