Augmentation des phénomènes climatiques extrêmes (tempêtes, sécheresses, précipitations abondantes...). Instabilité des saisons, ce qui a, entre autres, des conséquences sur l'agriculture, la faune et la flore et engendre des risques pour la santé publique.
Les principales conséquences sont la diminution de la disponibilité en eau et des rendements des cultures, l'augmentation des risques de sécheresses et de perte de biodiversité, les incendies de forêt et les vagues de chaleur.
Le CO2 produit par les activités humaines est la principale cause du réchauffement climatique. En 2020, sa concentration dans l'atmosphère était passée à 48 % au-dessus de son niveau préindustriel (avant 1750). D'autres gaz à effet de serre sont émis par les activités humaines en moindres quantités.
Quelles sont les causes du réchauffement climatique actuel ? Le réchauffement climatique actuel est dû aux activités humaines. Les 4 causes principales sont la production d'énergie, l'industrie, les transports et l'agriculture.
Aujourd'hui le réchauffement climatique est en fait surtout dû aux hommes, à l'industrie, au transport, aux élevages intensifs et au bâtiment (chauffage), qui ensemble détruisent la planète peu à peu. Il est donc important de réduire nos consommations et la pollution.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon).
Un degré de réchauffement supplémentaire augmente de 7 % la vapeur d'eau présente dans l'atmosphère. Ce qui donne lieu à des précipitations plus nombreuses et à des inondations. À long terme, ces 7 % pourraient même aller jusqu'à causer des submersions marines.
Le réchauffement climatique est un phénomène global de transformation du climat caractérisé par une augmentation générale des températures moyennes (liée aux activités humaines), et qui modifie durablement les équilibres météorologiques et les écosystèmes.
La pollution de l'air :
La pollution de l'air participe grandement à la pollution de la planète. Elle est principalement due à la calcination de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et gaz.
Elle utilise les termes « global warming » ou « climate change ». Leur traduction littérale n'est pas réchauffement climatique, mais respectivement « réchauffement planétaire » et « changement climatique ».
La première, c'est que l'Europe est un continent et les continents se réchauffent plus vite que les océans. C'est lié au fait que les océans absorbent la chaleur sur toute leur profondeur. Mais, surtout, quand l'océan se réchauffe, sa surface s'évapore.
Le service statistique du ministère de la transition écologique publie les résultats 2022 des enquêtes sur les préoccupations environnementales de la population. Le changement climatique reste en première place, suivi des risques au quotidien liés à la pollution de l'air et aux pesticides.
Il s'agit notamment de la prolifération d'algues nuisibles, de la contamination de l'eau potable, de la pollution par l'ammoniac et de l'apparition d'agents pathogènes.
Elle est causée par une augmentation rapide des gaz à effet de serre dans l'atmosphère terrestre due principalement à la combustion de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz naturel, par exemple).
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) rapporte que le changement climatique est responsable d'au moins 150 000 décès par an, chiffre qui devrait doubler d'ici à 2030. Parmi les conséquences graves dues au réchauffement climatique, on peut citer : Maladies infectieuses.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.
Tenter d'estimer l'impact environnemental de chaque secteur n'est pas toujours évident. D'après les données fournies par le rapport du GIEC (2014), les secteurs les plus polluants dans le monde sont les suivants : Production de chaleur et d'électricité (25%) Agriculture, foresterie et utilisation des sols (24%)
Deux modes d'action sont possibles pour limiter les dommages du changement climatique : réduire les émissions de GES (ou retirer des GES de l'atmosphère) pour limiter le changement (atténuation) ; limiter les impacts négatifs (ou augmenter les effets positifs) du nouveau climat (adaptation).