En mécanique, le point mort correspond à la position d'un piston alternatif dans son cylindre. Il y a deux points morts : le point mort haut, ou PMH, et le point mort bas, ou PMB. Au point mort haut, le piston est plus haut de sa course, tandis qu'il est tout en bas du cylindre au point mort bas.
Le montage du piston ne doit pas nécessiter de pression importante. S'il n'est pas possible de pousser un piston dans le cylindre, contrôler impérativement la bande de serrage. Ne tournez pas l'ouverture de la bande pour la faire coïncider avec les bords de la coupe des segments.
Les pistons fonctionnent en transférant la force produite par un gaz en expansion dans le cylindre à un vilebrequin, qui fournit un moment de rotation à un volant d'inertie. Un tel système est connu sous le nom de moteur à combustion et explosion.
Le piston peut être réalisé en alliage à base Fe-Ni. Le piston peut être réalisé en alliage à base Ni-Co. Comme on l'aura compris, l'invention repose sur l'utilisation du procédé de mise en forme appelé « thixoforgeage », connu en lui-même mais qui n'avait jamais été appliqué à la fabrication de pistons.
Sens de rotation du piston :
Soit dans le sens des aiguilles d'une montre (RH : right). Soit dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (LH : left).
Le piston est relié au vilebrequin par l'intermédiaire de la bielle. Le rôle du piston est de comprimer le carburant et le gaz extérieur pour créer l'explosion nécessaire à la combustion de votre moteur. Ce mélange sera ensuite transformé en énergie thermique puis mécanique.
On change en général un piston tous les 15 000 km ou… après une casse moteur. Pas d'inquiétude : en vidéo, on vous explique comment remplacer le piston moteur 2 temps. Pour info, ici nous avons remplacé le piston d'une Yamaha YZ 125, mais la technique est la même sur toutes motos 2T.
Une bielle est un composant du moteur qui transfère le mouvement du piston au vilebrequin et fonctionne comme un bras en forme de levier. Elles sont généralement en alliage d'aluminium moulé ou en acier forgé.
Lorsqu'on tire le piston, on augmente le volume du gaz : on le dilate. Remarque : Si on enlève la cale, le piston revient à sa position de départ : on dit que l'air est élastique.
ATTENTION, les segments ont un sens de montage !
Ce marquage est toujours dirigé vers la tête du piston (vers le haut).
Le jeu préconisé est de 0.25 à 0.40 mm minimum selon les alésages (voir tableau et fig. 6).
Si vous touchez le piston et que le piston entre en contact avec le corps de seringue, ça risque de déposer des germes sur le corps de seringue. Si ensuite vous videz et re-remplissez votre seringue, les germes seront en contact avec le produit injecté.
La compression d'un moteur peut être représentée comme sa capacité à comprimer de l'air dans chacune des chambres de combustion. Il s'agit donc du moment où le piston sera au PMH, c'est à dire le point mort haut (sa position la plus haute).
Quand on tire le piston, la pression de l'air diminue. Si on réduit le volume de l'air, alors sa pression augmente. On dit que l'air est comprimé. Si on augmente le volume d'air, alors sa pression diminue.
Le piston est l'élément mobile assurant la variation de volume de la chambre de combustion d'un cylindre. Généralement lié à une bielle, il assure la compression des gaz de combustion et subit leur détente, engendrant ainsi un mouvement rotatif du vilebrequin.
La rotation de la manivelle entraine la translation rectiligne d'un piston ou vice versa, par l'intermédiaire de la bielle. La rotation du pignon entraine la translation rectiligne de la crémaillère ou vice versa.
On retrouve au sens figuré ce sens de pousser. Quand on parle « avoir un piston » ou « avoir du piston », ça veut dire « avoir une personne qui nous pousse pour obtenir quelque chose » et pas qui nous pousse méchamment, mais qui nous pousse en nous protégeant, en nous recommandant.
Pour mesurer l'alésage d'un cylindre, il faut utiliser un comparateur d'alésage. Grâce à ce dernier, on mesure les côtés du cylindre en haut, au milieu et en bas du cylindre de façon parallèle à l'axe du piston, et la même chose de façon perpendiculaire. Cela permet de déterminer l'usure et la forme du cylindre.
S'il est creux, pas besoin de rotation. En revanche, s'il y a des encoches il faut effectuer une rotation. Il faut placer la plaque butée sur l'étrier et l'embout avec l'adaptateur du côté du piston et tourner la poignée.
La mesure s'effectue en serrant la pièce entre l'enclume et la broche par rotation du tambour. Comme sur un pied à coulisse, il est possible d'immobiliser celui-ci à l'aide d'un système de blocage afin de faciliter la lecture.
Le moteur est lent, avec peu de puissance. La voiture peut être difficile à arrêter. La consommation de carburant augmente. Une voiture crache une épaisse fumée bleue : les gaz nocifs ne sont pas brûlés, ils sont rejetés directement dans l'air.
Il existe deux types de pistons : les pistons à simple effet, où la pression n'agit que sur une face (seringues médicales), et les pistons à double effet, où la pression agit sur ses deux faces (locomotive à vapeur). Le déplacement du piston provoque ou est provoqué par une pression à l'intérieur de la chambre.
Pourquoi ? Pour être sûr que la personne ait le bon dosage d'insuline, car sinon il manque la quantité présente dans l'aiguille (si tu ne purges pas, tu injectes l'air et après le produit arrive.. Donc moins de produit injecté...)
Tenez la tige de la seringue comme on le fait une fléchette. Tenez le muscle autour de cette région afin qu'elle soit stable et sécuritaire. Insérez l'aiguille directement à travers la peau à l'angle droit (angle de 90°) dans le muscle. Essayez d'exécuter cette action rapidement.