De manière générale, le secteur d'activité qui emploie le plus de femmes est l'agriculture. En Afrique subsaharienne, les femmes produisent jusqu'à 70% (voire 80% en Afrique centrale selon la FAO) des denrées alimentaires destinées à la consommation des ménages et à la vente sur les marchés locaux.
La femme dans la société africaine
La femme est celle qui transmet la vie. Le prestige d'une épouse se mesure au nombre d'enfants, et particulièrement au nombre de fils, qu'elle donne au lignage et cela, surtout dans le système patrilinéaire.
L'image des femmes africaines est donc, plus qu'ailleurs, bourrée de stéréotypes : de la terre mère féconde et généreuse à la jeune beauté paresseuse et débauchée…
Les femmes africaines sont des figures majeures de la transmission, non seulement dans la construction de la famille, mais aussi comme médiatrices de la culture et de l'éducation. Elles sont à la fois les garantes de la préservation des valeurs et actrices du changement profond qui se tisse face à la mondialisation.
Les femmes sont victimes de violence et de discrimination. Elles n'ont pas accès à des emplois décents et sont victimes de discriminations professionnelle et salariale. Trop souvent, elles n'ont pas accès à l'éducation et aux soins de santé.
Les femmes jouent un rôle important dans le secteur agricole africain et jouent un rôle important dans la production et la sécurité alimentaires. La plupart des tâches agricoles dans les zones rurales sont effectuées par des femmes, de la plantation des cultures à la transformation et à la commercialisation.
La Belgique, le Canada, le Danemark, l'Espagne, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Islande, la Lettonie, le Luxembourg, le Portugal et la Suède, ainsi que l'Allemagne et les Pays-Bas, figurent parmi les pays qui offrent une égalité totale entre les hommes et les femmes, du moins d'un point de vue juridique.
Ces droits comprennent le droit de vivre libre de toute violence et discrimination, le droit au meilleur état de santé physique et mentale susceptible d'être atteint, le droit à l'éducation, le droit à la propriété, le droit de voter et le droit à un salaire égal.
Aujourd'hui, celui-ci est largement déterminé par les hommes. Les femmes sont encore fortement sous-représentées dans les postes de direction et de gestion, ce qui ne leur donne qu'une influence limitée sur les politiques. En outre, les femmes courent les plus grands risques de pauvreté et de violence.
Les femmes africaines en littérature sont présentées tantôt comme fortes, tantôt comme victimes, ce qui résulte peut-être de deux mythes opposés : la femme-mère, et l'Amazone, figures traditionnelles de femmes africaines.
Pour le plus grand bonheur des lecteurs et des lectrices, voici les 3 pays africains qui possèdent les femmes les plus belles d'Afrique. La belle Ivoirienne est considérée comme étant l'archétype de la femme dans son pays. En plus d'être mannequin, Olivia Yacé a remporté en 2021 la couronne de Miss Côte d'Ivoire.
Ils sont au nombre de 20, ces pays africains possédant les plus belles femmes. L'Éthiopie occupe la première place, suivie de près par l'Érythrée, où la grâce naturelle des femmes est exceptionnelle.
L'expression « condition féminine » est donc équivalente à « place de la femme dans la société » ; l'analyse de ce qu'est cette place dans une société peut permettre d'en savoir plus sur la culture, les normes liées et les relations et modes de pouvoir dans la société en question.
La femme est vue dans toutes les sociétés du monde comme un être faible, fragile et vulnérable mais qui joue un rôle important dans la société. En effet, elle est la mère, la sœur à qui il est confié le rôle d'éducatrice, de garant du bien être familial et de conseillère.
L'Image de la femme se concentre sur des portraits – dessinés, peints, gravés ou sculptés – de femmes réelles ; sont donc exclues les allégories, ainsi que les figures féminines apparaissant dans la peinture d'histoire, la peinture religieuse, ou encore dans les scènes de genre.
Care et valeurs féminines
L'empathie, l'attention aux autres, la coopération et la solidarité, ces valeurs qualifiées de « féminines » seraient de puissants vecteurs de changement, face à un monde exclusivement masculin où auraient longtemps régné la compétition, l'agressivité, la violence.
Les femmes ont longtemps été considérées comme des individus mineurs placés sous l'autorité de leur père ou de leur mari. La Révolution française, si elle leur confère le statut de citoyennes, ne leur donne cependant aucun droit politique. Napoléon consacre dans le Code civil la domination de l'homme sur la femme.
Quels sont les difficultés que rencontrent les femmes ? Egalité salariale, conciliation famille-travail, fertilité, rivalité homme-femme, chômage et temps partiel, pauvreté, solitude : que la tâche de la femme est complexe et que ces chemins sont semés d'embûche !
Les femmes ont un rôle vital dans la gestion de l'environnement et le développement. Leur pleine participation est donc essentielle à la réalisation d'un développement durable.
La République Centrafricaine, le Niger, l'Afghanistan, le Tchad, le Mali et la Guinée suivent dans le bas du classement. Le travail, source de revenu, est un premier pas vers l'indépendance des femmes que de nombreux pays ne veulent pas franchir.
Aujourd'hui, partout dans le monde, les femmes sont victimes de violences : mariages forcés, utilisation du viol comme arme de guerre, mutilations sexuelles (une partie du sexe est coupée), interdiction d'aller à l'école… Et en France ? Le combat des femmes a permis des avancées, mais il reste encore beaucoup à faire !
La Journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux États-Unis, réclamant des meilleures conditions de travail et le droit de vote.
Si la Norvège est le premier pays à faire participer les femmes à la vie politique et économique, c'est parce que l'égalité des sexes y a été érigée en dogme. La loi du 9 juin 1978 interdit tout traitement discriminatoire, et institue un médiateur et une commission de recours.
Les filles cambodgiennes, laotiennes, birmanes, philippines, thaïlandaises et vietnamiennes sont encore affectées par de nombreux obstacles qui les empêchent de remplir les salles de classe.
Une large majorité des Français affirmait en 2022 qu'ils vivaient dans une société patriarcale, c'est-à-dire une société où les hommes occupent les postes de pouvoir et les femmes subissent un système d'oppression culturelle, sociale, politique ou économique par les hommes.