La morale de ce conte pourrait être résumée ainsi : "Il ne faut pas accorder de l'importance à l'apparence des autres, mais à leur bonté de coeur" ou encore "Il ne faut pas se fier aux apparences".
Une jeune fille que l'on appelle « la belle » se sacrifie pour sauver son père, condamné à mort pour avoir cueilli une rose dans le domaine d'un terrible monstre. Contre toute attente, la Bête épargne la Belle et lui permet de vivre dans son château.
Description. Dans le conte original, la Bête est présentée comme un être courtois et aimable sans vraie excès de colère. Elle accueille le père de Belle dans son château et subvient à tous ses besoins sans pour autant lui révéler sa présence, elle se montre également douce et bienveillante à l'égard de Belle.
La malédiction est brisée par l'amour, et c'est ainsi que la Bête redevient homme. La morale est très proche de Riquet à la Houppe ou du Prince Spirituel, et de quantité d'autres contes : il ne faut pas se fier aux apparences, ce n'est pas la beauté qui fait naître l'amour, mais bien l'amour qui rend beau.
Pour de nombreux historiens, le mythe moderne de la Belle et la Bête est inspiré d'un évènement bien réel survenu dans l'histoire de France. Pedro Gonzales, ou Petrus Gonsalvus, est originaire de Tenerife dans les iles Canaries.
Le Prince écrasa ce maigre présent et renvoya la pauvre femme. Celle-ci se transforma alors en une très belle et jeune femme, une sorcière, qui punit alors le Prince pour sa cupidité et le transforma en horrible Bête.
La Bête se transforma en prince après la déclaration d'amour de la Belle. Ainsi le sortilège fut brisé. Le prince et la Belle se marièrent et visèrent heureux tandis que les soeurs aînées furent transformées en statut par la fée pour les punir de leur immoralité.
Morale explicite :
Morale de la fable Le Corbeau et le Renard : « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute ». Le lecteur comprend ici qu'il faut savoir garder la raison, particulièrement lorsqu'une personne nous flatte et nous dit ce qu'on veut entendre.
Inspiré d'un conte d'Apulée, La Belle et la Bête raconte une histoire de rédemption par l'amour sur fond de rivalités entre fées et propose des réflexions très fines sur l'amour, les liens familiaux et toutes les formes de pouvoir.
Une visée pédagogique
Ainsi, la morale permet de conclure l'histoire construite autour d'elle, sur une leçon de vie. Elle permet aux enfants et aux parents de réfléchir ensemble sur le bon comportement à adopter avec les autres comme par exemple être généreux, humble ou encore altruiste.
Synthèse La Belle et la Bête sont des personnages éponymes, c'est-à-dire qu'ils ont donné leur nom au titre du livre. Ils sont les personnages principaux. La Bête est un monstre, c'est à-dire – un être qu'on montre du doigt car différent, aussi provoque – t- il la peur de Belle.
Le personnage principal, la Belle peut être considérée comme l'héroïne du conte car elle a de nombreuses qualités. Sa beauté physique, qui lui vaut son nom, est extraordinaire. Elle est généreuse car elle préfère « tenir compagnie à son père » (l.
Élément perturbateur : Le père en cueillant une rose pour sa fille cadette déclenche la colère de la Bête qui passe un contrat avec le marchand. Changement dû à l'élément perturbateur : Relation entre la Belle et la Bête dans le palais. Perturbation : La Belle retourne auprès de son père mourant.
Dans La Belle et la Bête, la Rose signifierait ainsi la nature fragile de l'existence. La morale serait alors qu'il faut profiter de la vie et de l'amour que l'on donne et reçoit au quotidien, au lieu d'avoir des espoirs impossibles.
Celle-ci demande à la Belle si elle est venue de sa propre volonté ; « oui », dit-elle, et le père peut alors s'en aller le cœur gros. La Bête traite royalement la Belle dans son palais. Tous ses désirs sont exaucés comme par enchantement. Chaque soir, pendant le repas, la Bête vient passer un moment avec la Belle.
Elle accepte la demande en mariage et l'horrible Bête redevient enfin le beau prince qu'il était. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants tandis que le père de la Belle fut guéri.
C'est une histoire vieille comme le monde : celle d'un prince cruel transformé en Bête. Et celle d'une belle jeune fille qui surgit dans sa vie. Le monstre est métamorphosé par la compassion de la jeune fille et l'amour qu'il ressent pour elle.
Même si cela n'est jamais mentionné dans le film, certaines rumeurs avancent qu'il s'appelle en réalité Adam. Pendant 1h30 dans le classique Disney de 1991, et un peu plus de 2 heures dans la nouvelle adaptation de Bill Condon, on l'entend parler, grogner ou même rugir.
Enseignement qui se dégage de quelque chose, conduite que l'événement ou le récit invite à tenir : La morale de l'histoire. 4. Conclusion, en forme de morale, d'une fable, d'un récit.
Une fable est un court récit écrit plutôt en vers qu'en prose et ayant un but didactique (qui cherche à instruire les lecteurs et les lectrices). Elle comporte généralement une symbolique animale, des personnages fictifs, des dialogues vifs et des intrigues comiques.
Définition de morale
Science du bien et du mal ; théorie de l'action humaine soumise au devoir et ayant pour but le bien. ➙ éthique. La morale stoïcienne, chrétienne. Ensemble de règles de conduite considérées comme bonnes.
(1991) Belle dans La Belle et la Bête (Beauty and the Beast) a 17 ans.
La Belle et la Bête - Belle (17 ans) / Prince Adam (21 ans) : 4 ans. L'âge des deux protagonistes est défini dans le conte qui a servi d'inspiration à Disney. Mais 21 ans, pour une Bête, ça peut faire très âgé (par exemple il paraît qu'en chien une année vaut 7 ans).
Pendant le film, nous découvrons que les pétales de la rose sont presque tous tombés et que la malédiction dure depuis dix ans. Il est logique, si la Bête a presque 21 ans, qu'il a été maudit quand il avait 10 ou 11 ans.