Par exemple, les nems, les beignets de crevettes ou les rouleaux de printemps ne sont pas chinois mais viennent en réalité du Vietnam. À tout seigneur tout honneur, la cuisine chinoise est « the » cuisine asiatique par excellence.
Le riz, indispensable aliment de l'Asie.
Aliments de base de l'alimentation en Asie
Les féculents : que ce soit en Chine, en Mongolie, au Japon, en Inde ou au Pakistan, les féculents de base sont la farine de blé et ensuite le riz. Les légumineuses occupent une place centrale en Inde, au Pakistan et au Liban.
L'huile asiatique est un mélange savoureux de 50% d'huile vierge de soja biologique, 35% d'huile vierge de pépins de courge biologique, 12% d'huile vierge de riz biologique et 3% d'huile vierge de sésame toasté biologique. Ces 4 huiles sont traditionnellement utilisées en cuisine asiatique.
La minceur, une question d'équilibre yin/yang.
Traditionnellement en Asie, le morphotype des femmes est plutôt mince grâce à une diétothérapie réglée comme du papier à musique tout au long de la vie.
Par conséquent, la cuisine chinoise traditionnelle offre une large gamme d'aliments et de plats qui peuvent parfois être considérés comme très étranges par les peuples occidentaux. On dit même que: «Les Chinois mangent tout ce qui a quatre pattes, sauf les tables, et tout ce qui vole, sauf les avions».
Le riz est un aliment polyvalent, nourrissant et peu cher et qui se conserve bien. Les Chinois mangent beaucoup de riz, mais principalement dans la partie Sud du pays, là où le climat doux et humide se prête bien à sa culture.
Le safran les supplante de loin. C'est, dit-on, l'aliment le plus cher du monde. Il s'affiche entre 35 000 et 40 000 euros le kilo. Véritable produit de luxe, on l'appelle « l'or rouge ».
Et non, le plat le plus consommé au monde, c'est la pizza ! Un plat convivial originaire de Naples et dont la recette a été transmise de génération en génération depuis des siècles.
Oui, les frites ! Sur la plus haute marche du podium, les croustillantes incarnent l'aliment le plus croqué au monde. Qu'elles soient en lamelles ou en bâtonnets, fines ou épaisses, frites ou au four, gratinées ou épicées, chaque pays en a tiré sa spécialité.
Pour les Chinois, un coulis de riz est consommé au petit déjeuner, tel que le veut la tradition. Cela est aussi convenable pour une personne atteinte de la grippe. Mais la soupe aux vermicelles suivie de quelques bouts de porcs ou de légumes s'avère la plupart du temps être le plat incontournable des Chinois.
O Sushi : le plat japonais par excellence
Parmi les plats typiques japonais, le sushi est probablement le plus connu au monde : une boule de riz vinaigré surmonté d'une lamelle de poisson cru, un délice !
Le Yubari King est le fruit d'un croisement de deux variétés de melon, le Burpee's Spicy Cantaloupe et le Earl's Favourite. Ce melon peut coûter en moyenne 300 euros, mais en 2018 deux Yubari King ont été vendus aux enchères pour 3,2 millions de yens, soit plus que 25 000 euros !
Incontestablement, la pomme est le fruit préféré des français. Les français consomment, en moyenne, jusqu'à 17 kilos de pommes, par année et par foyer.
Corollaire du développement économique, un régime traditionnel riche en produits frais, en carbohydrates complexes (présents dans les céréales ou les pommes de terre) et en fibres cède la place à une alimentation plus sucrée, plus grasse et composée de produits industriels.
En Chine, au contraire, aspirer sa nourriture, faire claquer ses lèvres ou encore laisser sa bouche ouverte lorsque l'on mange peut s'interpréter comme une démonstration de satisfaction à la fois de la qualité des aliments mais également de l'ambiance.
Attention, il n'est pas toujours facile de savoir de quelle viande il s'agit. Surtout quand l'on sait que les Chinois mangent facilement poulet, boeuf, porc ou mouton et toutes les parties de l'animal (ils sont friands d'intestins, entre autres…).
De plus, on mange aussi des nouilles de tout type et de toutes formes : plates, rondes, longues ou courtes, à la farine de riz ou à la farine de blé… On mange même du pain, bien sûr : à base de farine de riz ou de blé !
La plupart des Asiatiques, Amérindiens, Aborigènes australiens, autochtones de l'Afrique centrale ou de l'Arctique, une fois adultes, ne peuvent pas boire de lait entier. C'est physiologique, leur organisme ne le digère pas. Le lait pur provoque chez eux vomissements, coliques, ballonnements et diarrhées.
Étant donné l'intolérance au lactose d'une très large majorité de la population chinoise, les produits laitiers et a fortiori le fromage sont presque absents de la cuisine traditionnelle chinoise.
Aujourd'hui, c'est tout l'inverse. Les Chinois boivent beaucoup de lait français. Pour preuve, les exportations de laits liquides à destination de la Chine ont bondi ces dernières d'années : de 2.204 tonnes en 2011 à 7.261 tonnes en 2012, selon les chiffres des douanes, soit une évolution de plus de 229%.
D'autre part, il a été constatée que la population féminine asiatique développait moins de cellulite que les femmes d'origine caucasienne. Une hypothèse est celle de leur consommation de phyto-oestrogènes de soja qui diminuerait leur production d'œstrogènes (surrénalienne et ovarienne).
En Asie, les habitudes de vie (alimentation, activité physique...) permettent à de nombreuses femmes de garder une peau ferme et un corps tonique plus longtemps. On vous en dit plus ! Beaucoup de femmes asiatiques font très attention à leur ligne, entretiennent leur peau et paraissent donc souvent bien plus jeunes.