L'expression a = bq + r avec r < b s'appelle la formule de la division euclidienne, q est le quotient euclidien de a par b et r le reste dans la division euclidienne de a par b.
La division entière est une opération qui est composée de deux entiers naturels appelés dividende et diviseur et à laquelle on associe deux autres entiers appelés quotient et reste. Le reste est le nombre naturel ne pouvant être divisé par le diviseur.
Il suffit tout simplement de diviser le nombre par 2 puis encore par 2. Par exemple, le nombre 440 est divisible par 4 car 440/2 = 220 et 220/2 = 110, donc ici ça fonctionne. Par contre, prenons le nombre 150, il ne l'est pas car 150/2 = 75 et 75 n'est pas divisible par 2.
Diviser deux fractions, c'est multiplier la première fraction par l'inverse de la deuxième. Il suffit donc de trouver l'inverse (permuter le numérateur et le dénominateur) de la seconde fraction puis de procéder comme pour une multiplication.
L'obélus « ÷ » est le symbole utilisé pour la division ainsi que la barre oblique « / ». Seule la barre oblique « / » figure dans le pavé numérique des claviers d'où probablement le recours aux « : » en France.
Probablement la préhistoire de la division écrite, ou sa plus vieille forme, est celle utilisée par les Égyptiens. Celle-ci était basée sur le processus de duplication et médiation. Ainsi, pour diviser 19 par 8, on peut envisager le travail suivant.
Un nombre entier est divisible par 3 : → Quand la somme de ses chiffres est un multiple de 3 et uniquement dans ce cas. 7 152 est divisible par 3 car 7+1+5+2=15 et 15 est un multiple de 3 /est divisible par 3.
Multipliez le numérateur par la réciproque du dénominateur. Multipliez 34⋅12 3 4 ⋅ 1 2 . Multipliez 34 3 4 par 12 1 2 . Multipliez 4 4 par 2 2 .
Un nombre est divisible par 3 uniquement si la somme de ses chiffres est divisible par 3. Par exemple, pour 13456, il suffit d'additionner tous les chiffres et l'on obtient la somme de 19 puis on recommence et cela donne 1+9 soit 10 et encore une fois 1+0 =1.
Donc une division (= écart entre deux graduations qui se suivent) vaut 1 mL.
Le résultat d'une division s'appelle un quotient. Les nombres que l'on divisent s'appellent le dividende et le diviseur.
Pour verifier le resultat d une division il faut connaitre l egalite : D=d x (q+r). Le diviseur mutiplier par le quotient ajouter le reste egal le dividende. Le quotient peut etre un nombre decimal.
En cours de maths, les fractions décimales donnent une valeur exacte du quotient quand elle se termine par un reste égal à zéro. « Le quotient d'un nombre décimal A par un nombre entier B est le nombre qui, multiplié par B, fournit A ».
on finit par retomber par un reste qui est déjà apparu auparavant : la division « ne se termine pas », elle boucle à l'infini ; dans ce cas, le quotient est un rationnel non décimal, et on peut prouver que son développement décimal admet une période, dont la longueur est strictement inférieure au diviseur.
Les nombres que l'on additionne s'appellent les termes. - Le résultat d'une soustraction s'appelle la différence. Les nombres que l'on soustrait s'appellent les termes.
L'inverse de 5 est 1/5|1 / 5.
– Pour diviser un nombre par 1,5, on prend les 2/3. 25 x 2 = 50. 150 / 3 = 50.
Lorsqu'une fraction doit être simplifiée, cette opération mathématique signifie qu'il faut diviser le dénominateur et le numérateur par un seul et même nombre. Par exemple, pour simplifier la fraction 8/4, vous allez diviser 8 par 2 puis 4 par 2, et vous obtenez 4/2 à la fin de l'opération.
Un nombre entier est divisible par 9 si la somme de ses chiffres est un multiple de 9 (9 ; 18 ; 27 ; etc.).
4.8.
Pour diviser un nombre par 12, on le divise par 2, puis on divise le résultat par 2, et enfin on divise ce dernier résultat par 3.
Diviser par 5
Pour diviser un nombre entier par 5, on peut le décomposer en nombres multiples de 5 (attention, prendre des multiples de 5 facilement identifiables dans la table de 5), diviser chaque terme par 5 et additionner le tout.
« Terme » désigne chacun des éléments intervenant dans un rapport, une addition, une soustraction, une suite, une proportion ou une fraction. Par exemple : Admettons la suite 1, 2, 3, 4. Les 4 chiffres sont des termes. Dans le rapport 4/5, 4 et 5 sont aussi des termes.
Définition "Euclide"
n. prop. Mathématicien grec. Il a définit la géométrie (euclidienne).