Si douleur est un concept médical, souffrance est le concept du sujet qui la ressent. C'est la dimension du sens qui donne à la douleur son intensité, sa souffrance, et non pas l'état réel de l'organisme puisqu'il n'existe pas en soi.
« La souffrance qualifie un être qui supporte, endure, ou subit une douleur physique et morale, un état de mal-être, c'est-à-dire un sentiment de non-adaptation au monde, d'étrangeté aux êtres et aux choses, d'indifférence douloureuse ».
Ainsi, la souffrance est l'émotion qui devient douloureuse lorsqu'elle présente une qualité trop « toxique » ou abrasive pour l'appareil mental.
Sentiment pénible, affliction, souffrance morale ; chagrin, peine : Raviver une douleur ancienne.
Douleur diffuse : douleur dont le point d'origine est difficile à situer. Douleur erratique : douleur qui change souvent de place. Douleur exquise : douleur vive et très localisée, généralement provoquée par la pression.
MASOCHISTE : Définition de MASOCHISTE.
Définition de l'IASP (2011)
Les signes qui l'évoquent sont les suivants, dans le contexte d'une lésion nerveuse certaine ou possible : fourmillements. douleur à l'effleurement (allodynie) sensation de décharge électrique.
Contraire : bien-être, plaisir.
Pleurez autant que vous en avez besoin et exprimez ce que vous ressentez. Laissez-vous accompagner quand vous en avez besoin et n'essayez pas de prétendre que tout va bien, alors que vous êtes sur le point d'exploser à l'intérieur. Toutes les personnes souffrent de douleur émotionnelle.
Du soutien psychologique à l'hypnose, en passant par la kinésithérapie, la relaxation, ou encore la méditation de pleine conscience, les soins non médicamenteux – en complément des médicaments antalgiques et des traitements du cancer – permettent d'apporter un bien-être physique mais aussi moral.
DOULOUREUX, adjectif
Qui provoque une douleur, une souffrance morale ou physique. Qui exprime la douleur.
On parle d'amour quand on souffre ; le manque, l'absence, l'attente attisent la souffrance et on appelle ça de l'amour. Voir souffrir quelqu'un qu'on aime est l'une des pires souffrances au monde. Comment se tue en nous l'amour : trois degrés : souffrance, indignation, puis indifférence.
La douleur aiguë joue un rôle d'alarme qui va permettre à l'organisme de réagir et de se protéger face à un stimulus mécanique, chimique ou thermique : elle est liée à des stimulations intenses qui déclenchent immédiatement un mécanisme de transmission d'informations depuis les terminaisons nerveuses – les récepteurs ...
La personne sadique prend plaisir aux souffrances physiques et psychologiques des êtres vivants, animaux et humains. Il aime tenir les autres sous son emprise et restreindre leur autonomie, cela par la terreur, l'intimidation, l'interdiction.
C'est au plus intelligent, c'est-à-dire à celui qui veut souffrir moins, de prendre en premier la décision de changer d'attitude. Par contre, il ne doit pas le faire dans le but que l'autre fasse pareil, mais bien pour écouter l'appel de son cœur qui veut vivre plus de joie et moins de souffrance.
Une deuxième raison pour laquelle nous blessons celui que nous aimons le plus est que cette personne est là, tout simplement. Son énergie est disponible et nous nous en servons selon nos besoins. En lui prenant son énergie, nous le faisons souffrir. Voler l'énergie à quelqu'un revient à le blesser.
A l'origine de la douleur, il y a un stimulus : le froid, la chaleur (une brûlure par exemple), une pression mécanique, des agents chimiques, une réaction inflammatoire… Ce stimulus va activer les terminaisons nerveuses de neurones spécialisés dans la perception de la douleur.
La douleur peut provenir d'une lésion tissulaire visible (piqûre, coupure), d'une lésion tissulaire invisible (blessure d'un organe intérieur) ou d'une lésion d'un nerf ou du système nerveux (zona). Elle peut aussi provenir de troubles psychiques.
On distingue principalement deux grands types de douleur : la douleur aiguë, qui est de courte durée et constitueun signal d'alarme essentiel au maintien de notre intégrité physique, et la douleur chronique, qui est ressentie longtemps (plus de 3 mois) et persiste après guérison de la lésion l'ayant provoquée.