Il faut écrire : La réunion s'est déroulée sans incident. Si « c' » est la bonne orthographe, on doit pouvoir le remplacer par « cela ». Or, « la réunion cela est déroulée sans incident » ne veut rien dire. On n'écrit donc pas « c'est », mais « s'est ».
Quand il y a un adverbe comme “trop” avec ces expressions temporelles, on utilise “c'est”. Il s'agit alors d'un commentaire sur le temps. C'est trop tôt ! C'est trop tard !
Pour les distinguer : Si l'on remplace le sujet par 'je' ou 'tu' 'se' devient 'me ' ou 'te', 's'' devient m' ou t' . C'est et s'est : La différence de nature : > c'est est formé de 'c'' qui est un pronom démonstratif et de 'est 'qui est une forme conjuguée du verbe 'être'.
Donc, si dans le sens de la phrase, on peut remplacer « c » par « cela », c'est bien « c'est » (et non « s'est ») qu'il faut écrire. Exemple : La campagne sous la neige, c'est un spectacle merveilleux. On peut aussi dire : la campagne sous la neige, cela est un spectacle merveilleux.
Sais est le verbe savoir conjugué au présent de l'indicatif à la 1re et à la 2e personne du singulier. Sait est également le verbe savoir conjugué au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
5. C'est, ce devait être, ce pouvait être, etc., s'emploient pour désigner quelqu'un, quelque chose, pour mettre un mot en relief : Tout cela, c'est faux. C'est nous les gagnants.
On écrit « s'est » devant un verbe.
Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose. « C'est » et « s'est » se prononcent de la même manière, mais on les utilise différemment car chacun a sa propre signification. Ce sont donc des homophones.
Dans notre phrase, on a le verbe se passer (comme dans les phrases voilà comment ça se passe , qu'est-ce qui se passe ? ), donc accompagné du mot se . Quand on utilise se passer avec l'auxiliaire être , se devient s' et on écrit s'est passé .
Pourquoi n'écrit-on pas « ça c'est bien passé » ? Parce que « s'est passé» correspond au verbe passer, employé à la forme pronominale (se passer) et conjugué à la 3e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. « ça » pronom démonstratif, est employé en langage familier à la place de ceci, cela.
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait » « C'est moi qui fais » ou « c'est moi qui fait » ? On écrit « c'est moi qui fais » avec un « s » à la fin du verbe et non pas « t » puisque celui-ci s'accorde avec l'antécédent du pronom relatif « qui ».
Exemple : ''Ça y est, c'est fini !'' Le participe passé du verbe "finir" se termine par un "i" puisqu'il s'agit d'un verbe du deuxième groupe.
C'est moi (= 1ère personne du singulier) qui le dis. C'est lui (3ème personne du singulier) qui le dit. C'est nous (1ère personne du pluriel) qui le disons. C'est vous (2ème personne du pluriel) qui le dites.
"Le J, c'est le S", signifie : Jul c'est le sang, à l'origine de cette collaboration. Aujourd'hui l'expression est détournée par de nombreux jeunes en remplaçant la lettre du début par l'initiale du prénom de la personne que l'on souhaite.
La dix-neuvième lettre de l'alphabet et la quinzième des consonnes. Une S majuscule ou un S majuscule. Terme de musique.
Les deux sont possibles. Ce sont deux formes interrogatives. – inversion du sujet + point d'interrogation ; est-ce bon .. ? – est-ce que + sujet + verbe + point d'interrogation : est-ce que c'est bon ?
Lorsque l'épithète et le nom forment une sorte de nom composé, on maintient "des". Ce sont des (jeunes gens) pleins d'espoir. Les adverbes de quantité comme beaucoup, peu, près, trop, plus, moins, un peu.. sont suivis de de ou d'.
Au présent, les verbes des 2e et 3e groupes (ceux qui ne se terminent pas en -er) prennent un -s final à la première personne du singulier (je).
On écrit « c'est » avec un -c quand... : On écrit « c'est » lorsqu'on peut remplacer par « cela est ». Il est alors suivi d'un groupe nominal, d'un pronom ou d'un adjectif qualificatif. Tout comme "ces" et "ses", « c'est » est utilisé pour montrer ou désigner quelque chose.
Voici une petite explication toute simple. -> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
C'EST-À-DIRE (QUE), loc. adv. ou conj. Placée en construction d'apposition ou d'incise dans un énoncé, après un mot ou une séquence de mots sur le sens desquels elle introduit une information complémentaire ou rectificative (restrictive).
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
Méfiance, par conséquent, quand « qui » représente un mot qui relève de la 1re ou de la 2e personne du singulier : n'écrivez pas « moi qui va, toi qui va », mais « moi qui vais, toi qui vas » !