L'Académie française nous indique son bon usage dans sa rubrique Dire/ Ne pas dire. Si la locution est souvent employée à tort comme un équivalent de la conjonction «mais», les sages nous rappellent que la formule «en fait» ne peut avoir que deux significations: «réellement, vraiment» et «contrairement aux apparences».
On dit « en fait » pour ne rien dire, simplement pour gagner du temps, comme on produit un raclement de gorge ou comme on fait « euh... » « En fait », lorsqu'il a un sens, correspond à une correction, une rectification, une mise au point.
En fait signifie "en réalité, effectivement, réellement, quelles que soient les apparences". Exemple : En fait, on peut aussi considérer que Nostradamus n'a fait aucune prédiction, mais que tout est sujet d'interprétation.
En réalité, effectivement.
Dans dû au fait (que) , qui exprime une idée de cause, le mot dû correspond au verbe devoir au participe passé. Il s'écrit avec un accent circonflexe quand il est au masculin singulier, mais sans accent dans les autres cas : due au fait , dus au fait , dues au fait .
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.
La réponse simple. On écrit toujours « ils sont faits ».
Et « en fait », on ne l'utilise pas du tout pour ça (pour confirmer quelque chose qui vient d'être dite). « En fait », ça veut dire « en réalité, effectivement, malgré les apparences ». On utilise « en fait » pour dire « en réalité ».
Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu. On écrit « je fais », à la 1e personne du singulier du présent de l'indicatif.
Un fait est un événement advenu ou advenant dans l'histoire d'un individu ou d'un groupe. Il est caractérisé par son extériorité, par opposition à une idée qui, elle, relève de l'intériorité.
Locution interjective
Locution pour attirer l'attention de la personne à qui on s'adresse (que l'on tutoie).
adv. Adverbe qui marque l'opposition entre deux choses liées ou entre deux aspects d'une même chose. Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
- En effet, tu as mauvaise mine." "Effectivement" est synonyme de "en effet". "En fait" indique une opposition et peut être remplacé par "mais". Il est synonyme surtout de "en réalité" et de "véritablement" ou "en vérité".
Un néologisme est un mot nouveau ou apparu récemment dans une langue (ou une expression), le phénomène de création de nouveaux mots communs étant appelé, de manière générale, « néologie ».
La vaisselle désigne aussi l'action de nettoyer ces objets (on dit « faire la vaisselle »). Le mot argotique plonge désigne cette même tâche ménagère. La nef de table en forme de vaisseau serait à l'origine du mot vaisselle.
La bonne orthographe est donc « Des erreurs, j'en ai fait ». Le participe passé du verbe ne s'accorde pas et reste invariable.
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai dis » ? Parce que la terminaison du participe passé du verbe dire, conjugué au passé composé avec l'auxiliaire avoir, est dit, que le sujet soit masculin ou féminin, singulier ou pluriel.
On écrit toujours « j'ai fait ».
On utilise donc l'auxiliaire « avoir » et le participe passé du verbe « faire », qui est « fait » avec un « t ».
Étant donné que. En considérant que, puisque. Exprime la cause. Attendu que, car, comme, puisque, etc.
On dira : Il faut que je fasse le ménage. Il faut que vous fassiez le ménage (et non *que vous faisiez). Notez que la forme vous faisiez (prononcée « fe-zié ») existe en français, mais il s'agit alors de l'indicatif imparfait, et non du subjonctif présent, ce qui serait fautif dans l'exemple ci-dessus.
On dira donc : je me suis faite belle (et non je me suis « fait » belle). Cependant, cette règle est mal respectée, par beaucoup d'écrivains et désormais, par l'usage, ainsi même Grevisse renonce à l'imposer.
On n'écrit pas « tu as fais », parce qu'il s'agit du verbe faire, conjugué à la 2e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe faire est fait. « tu as fait » peut être suivi d'un complément d'objet direct ou d'un verbe à l'infinitif.
On entend la lettre « t » lorsque un mot se terminant par la consonne «d» ou «t» (« quand », « prend ») est suivi d'un autre commençant par une voyelle : Quand il pleut, on ne sort pas. On remarque alors que la lettre « d » se prononce en fait « t » (on dit que le « d » s'assourdit).