La survie médiane (ou durée de vie) après diagnostic est d'environ 5-6 mois ; la survie à 5 ans est d'environ 5% et la rémission complète est encore extrêmement rare (American Cancer Society, 2008).
Quel est le taux de survie et les chances de guérison ? Ce type de cancer évolue souvent silencieusement et sa découverte reste tardive dans la majorité des cas. Les chances de survie à 5 ans varient de 5% pour les cancers non opérables, à 30% lorsque la tumeur pouvait être opérée lors de la découverte.
Cancer du pancréas en phase terminale
On dit d'un cancer qu'il est en phase terminale lorsque les cellules cancéreuses ont envahi l'ensemble de l'organisme. Cela se traduit par un amaigrissement important, une grande fatigue, une perte d'appétit et des douleurs plus ou moins marquées.
Le cancer du pancréas est fréquemment diagnostiqué à un stade avancé, ce qui rend difficile son traitement. Il reste relativement rare (environ 3 % des cancers), mais l'un des plus craints.
Alors que la plupart des cancers répondent assez favorablement aux traitements, le cancer du pancréas reste l'un des plus agressifs et des plus meurtriers qui soit. En cause : une apparition des symptômes trop tardive, qui complique le diagnostic et ne laisse généralement qu'un taux de survie à 5% en 5 ans.
Les premiers facteurs qui perturbent l'activité du pancréas sont liés au mode de vie : tabagisme, alcool, alimentation. En cas de suralimentation, cette glande est débordée.
Cette phase est en général assez facilement identifiable par le médecin, comme par le patient dont l'état général se dégrade brusquement et rapidement : fatigue extrême, manque d'appétit, amaigrissement, douleurs.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant.
Un cancer foudroyant
Cette évolution accélérée serait due à une forte instabilité génétique qui permet aux cellules cancéreuses pancréatiques d'acquérir très rapidement les mutations dans certains gènes clés (KRAS, CDKN2, TP53 et SMAD4) lui permettant d'envahir l'organe et se répandre sous forme de métastases (1).
En s'approchant de la mort, une personne peut dormir davantage, être somnolente ou être difficile à réveiller. Elle peut tomber endormie même en parlant. Elle peut aussi perdre lentement conscience au cours des jours ou des heures qui précèdent sa mort.
Après le traitement d'un cancer du pancréas
En cas de rechute et d'apparition d'un nouveau cancer dans le moignon pancréatique, la meilleure solution est de pratiquer une nouvelle chirurgie. Elle est en effet bien plus efficace qu'une chimiothérapie avec un taux de survie à trois ans de plus de 50 %.
Une douleur au milieu du dos
Dans 7 cas sur 10, les patients atteints d'un cancer du pancréas consultent leur médecin à cause de douleurs au milieu du dos. Cette douleur survient quand la tumeur est située au milieu ou sur la queue du pancréas, provoquant une compression nerveuse.
Les chances de survie ou les chances de guérison sont faibles. Seule la chirurgie (possibles pour 20% environ des patients), associée à la chimiothérapie, peut entraîner la rémission de ce cancer.
La duodéno-pancréatectomie céphalique (ou opération de Whipple) Cette intervention chirurgicale est pratiquée lorsque la tumeur est située dans la tête du pancréas. Le chirurgien enlève la tête du pancréas, la vésicule biliaire, ainsi qu'une partie de l'estomac et de l'intestin grêle.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Le cancer foudroyant est une maladie qui se propage très rapidement. Certaines tumeurs comme au pancréas, au sein, au cerveau ou au poumon peuvent survenir foudroyants.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
La personne pleure. Elle veut parfois exprimer cette tristesse seule et parfois être accompagnée dans l'expression de cette grande peine. Les personnes en fin de vie expriment souvent qu'elles auraient voulu que cette vie se poursuive encore longtemps et comment il est difficile de laisser ceux qu'on aime.
Une formule familière, du genre « À bientôt » ou « Il faut que j'y aille; on se reparle » pourrait vous amener à regretter de ne pas avoir dit autre chose. Pas besoin de grandes formules à l'eau de rose. Montrez seulement à la personne, par votre façon de lui dire au revoir, qu'elle comptera toujours pour vous.
La réponse de l'expert. Optez pour les légumes et fruits les plus colorés comme les épinards, betteraves, artichauts, radis noir, asperges, poivrons, patate douce, bleuets, pruneaux, papaye, mangue et petits fruits des champs.
Les aliments non glucidiques qui fatiguent votre pancréas
Aussi étonnant que cela puisse paraître, certains produits laitiers comme les yaourts natures de vache provoquent une production d'insuline égale à celle produite après ingestion d'une barre chocolatée de type mars.
Le citron augmente la production de la bile ce qui améliore la digestion. On a constaté que le citron stimule les enzymes du foie et du pancréas pour améliorer la décomposition des graisses ainsi que leur évacuation. De plus, le citrate de potassium du citron ralentit la formation de calculs rénaux.