Pis adv. = plus mal (contraire de mieux). Pire / plus mauvais. Pire peut souvent être remplacé par plus mauvais (à la différence de meilleur, qui ne peut jamais être remplacé par *plus bon) : le progrès rend-il l'homme meilleur ou pire ? (ou : meilleur ou plus mauvais ?).
1-Pire est le comparatif de supériorité de l'adjectif 'mauvais', il doit donc être employé comme un adjectif. Le climat n'est pas pire qu'il y a deux jours. 2-Pis est le comparatif de supériorité de l'adverbe 'mal', il est donc un adverbe. La situation va de mal en pis.
« Pis » est le comparatif de supériorité de l'adverbe « mal« . C'est un adverbe qui signifie « plus mal« . Son antonyme est « mieux », comparatif de supériorité de « bien ».
Comme adverbe signifiant « plus mal », pis est la seule des deux formes à pouvoir être utilisée. Mais cet emploi tend à vieillir et ne survit plus guère que dans un style soutenu ou littéraire. Dans un registre neutre, le français courant préfère utiliser plus mal.
Cette expression remonte au XII ème siècle, se disant à l'époque "de mal en pire", qui signifie donc aller de plus en plus mal.
Façon de parler, pour dire, Ce qu' il y a de pire, de plus fâcheux.
L'origine du mot "pis" remonte au XI ème siècle, qui signifiait "pire". L'expression, quant à elle, remonte au XVIème siècle. Qui signifie que les choses que l'ont dit sur une personne sont très souvent fausses.
Pire adj. = plus mauvais (contraire de meilleur). Pis adv. = plus mal (contraire de mieux).
On écrit « tant pis » ou « tampis » ? Règle : on écrit toujours « tant pis » en deux mots, jamais en un seul. « Tant pis » est une locution et est donc invariable par définition. Elle signifie « c'est dommage », « ce n'est pas grave », « c'est regrettable » et peut être également utilisée pour signifier la résignation.
Partie inférieure des parois thoracique et abdominale des bovins de boucherie, de la pointe du sternum à la cuisse.
Il faut éviter d'utiliser les locutions moins pire, aussi pire et plus pire, qui sont des barbarismes. Pire contient déjà le comparatif plus, puisqu'il signifie « plus mauvais ».
En cas d'indécision face à une alternative, on prend généralement la plus mauvaise option. Ce proverbe serait extrait de Satire de l'écrivain Mathurin Régnier (1575-1613).
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
tempo, tempos ou tempi
1. Vitesse d'exécution d'une œuvre. 2. Notation des différents mouvements dans lesquels un morceau est écrit ou exécuté.
Locution interjective. C'est une bonne chose ; heureusement. Note : Indique qu'une chose est avantageuse, qu'on en est bien aise. Parfois ironique.
On écrit toujours « tant pis », en deux mots. Tant pis pour toi si tu renonces à venir avec nous à Arcachon.
Si quelqu'un est en mesure de travailler à des tâches laborieuses et pénibles, il est capable d'exécuter sans difficultés les plus simples. On retrouve cette expression dans l'œuvre d'Aristote.
2. Qui est odieux, épouvantable, qui provoque l'aversion : Humeur exécrable. 3. Qui est très mauvais ; affreux : Un dîner exécrable.
"Qui plus est" est une locution signifiant "de plus" ou "en outre". On l'utilise pour surenchérir. La proposition qui suit "qui plus est" est toujours en relation avec celle qui la précède et l'accentue.
Exemples. Tu es en danger de mort, et, qui pis est, en danger d'être mis à la torture. Maston des farces de gamin, en un mot «Français», et, qui pis est, «Parisien» jusqu'à la dernière seconde. Qui pis est, elle avait mis en péril le succès de la mission.
Expression latine soutenue signifiant "à la fin" ou "au dernier moment". Plutôt littéraire, elle se place généralement en fin ou en début de phrase. Elle est souvent rattachée à la notion de "crédit in fine".
Forme interrogative de "je peux" qui induit que le sujet questionne sur sa possibilité de faire quelque chose. Exemple : Puis-je vous parler en privé madame, ce que j'ai à vous dire ne peut être entendu par vos hôtes.
On considère que « plus mieux » est un pléonasme, puisque la supériorité est indiquée deux fois, avec « mieux », comparatif synthétique de « bien », et « plus », qui sert généralement à former le comparatif de supériorité, comme dans « plus vite » ou « plus grand ».