L'huile d'olive est riche en acides gras mono-insaturés, qui favorisent la production du bon cholestérol et luttent contre le mauvais. Elle contient également des antioxydants, mais, à l'inverse de son adversaire du jour, elle contient peu d'oméga-3. L'huile de colza est réputée pour sa forte teneur en oméga-3.
L'huile d'olive est probablement la meilleure huile pour la santé. Riche en vitamines (A, D, E et K) et en oméga-9, elle agit sur le cholestérol, protège l'organisme contre les maladies cardiovasculaires, améliore la glycémie et régule le transit intestinal.
L'huile de colza apporte aussi des oméga 6 et des oméga 9. Comme toutes les huiles végétales, elle est aussi riche en vitamine E. Tout ce qu'il faut pour un corps en bonne santé. L'huile de colza se marie aux légumes crus et cuits, aux salades croquantes et aux tartares de poissons.
Elle est ainsi riche en oméga-3, oméga-6 et oméga-9. Le taux très intéressant de vitamine E qu'elle renferme (environ 30 milligrammes pour 100 grammes d'huile) la rend également très bénéfique pour la peau. Anti-oxydante, cette vitamine combat la prolifération des radicaux libres et prévient le vieillissement cutané.
L'huile d'arachide, l'huile de colza, de soja ou encore de tournesol en sont de bons exemples. Il est fortement déconseillé de faire chauffer ces huiles. Car l'aromatisation passe par l'infusion de morceaux (piment, épices, micro-morceaux) qui risquent de brûler. De plus, le goût s'évapore à la cuisson.
Pour une friture plate, c'est-à-dire à la poêle, où l'aliment est en contact avec le support de cuisson, vous pouvez tout à fait utiliser une huile de colza, de tournesol ou de l'huile d'olive pour une petite touche fruitée.
Frire à l'huile d'olive donne le cancer ? Comme toutes les huiles extra vierges ou corps gras, si l'on dépasse leur “point de fumée”, c'est-à- dire la température maxi avant la création de fumée, elles développeront des toxines cancérigènes.
Pourtant, contrairement aux idées reçues, l'huile de colza peut être chauffée(*). Stable et non dénaturée par une cuisson douce (au four ou à la poêle), nous pouvons donc l'utiliser pour la pâtisserie, les poêlées de légumes, les plats chauds, la cuisson modérée des viandes ou des poissons …
L'huile de colza : top des aliments anticholestérol
Tout comme l'huile d'olive, l'huile de tournesol, l'huile de soja et l'huile de noix, l'huile de colza est particulièrement recommandée pour lutter efficacement contre le mauvais cholestérol et contre les risques de maladies cardiovasculaires.
L'huile de colza est l'alliée de notre cœur. Elle est riche en oméga 3 et 6, ainsi qu'en antioxydants, notamment les vitamines E. L'huile de colza contient des quantités faibles d'acides gras saturés. Cette huile rejoint également les propriétés de l'huile d'olive en termes de santé cardiaque.
Considérée comme nocive dans les années 1960 à cause de la teneur en acide érucique, l'huile de colza ne présente absolument aucun risque pour la santé. Une huile de colza bio ne contient en réalité que peu d'acide érucique et aucun additif.
La meilleure : l'huile d'olive
Une huile pour la cuisson doit comporter : beaucoup d'acides gras saturés ou mono-insaturés qui supportent bien la chaleur, et le moins d'acides gras poly-insaturés possible.
D'après les scientifiques, les huiles végétales seraient les meilleures pour la santé en cas d'hypercholestérolémie : ils recommandent en particulier l'huile de tournesol, l'huile de colza, l'huile de carthame et l'huile de lin. À éviter : le beurre, le saindoux et la margarine...
Les huiles de tournesol, de colza ou de lin non raffinées font donc partie des huiles les moins propres à la cuisson puisqu'elles fument à des températures peu élevées et deviennent donc rapidement toxiques.
L'huile d'arachide comme l'huile d'olive sont toutes les deux conseillées pour la friture car elles supportent les hautes températures sans produire de substances nocives pour la santé.
A une dose quotidienne, l'huile d'olive influence l'augmentation du bon cholestérol et diminue par la même occasion les facteurs de risques cardio-vasculaires. L'huile d'olive n'est pas à consommer en quantité excessive.
En raison de sa teneur élevée en oméga 3, l'huile de colza ne doit pas être chauffée (9). Elle s'utilise essentiellement en assaisonnement sur les salades, les plats, les soupes… Dans l'idéal, il faut la conserver au réfrigérateur après ouverture.
Lorsqu'elles sont surchauffées, ces huiles forment divers composés nocifs comme les peroxydes lipidiques et des aldéhydes, potentiellement cancérigènes et ce même par simple inhalation. Il convient donc de ne cuisiner qu'avec des huiles dont les graisses sont stables à haute température.
L'huile de colza peut être remplacée à quantité égale par de l'huile de soja pour apporter des acides gras essentiels (acide linoléique, oméga 6 et acide alpha-linolénique, oméga 3).
"Je privilégie celles qui sont riches en oméga-3 comme l'huile de cameline, à la saveur d'asperge, ou l'huile de lin au goût d'amande, car elles permettent de lutter contre les maladies cardio-vasculaires, de réduire le taux de mauvais cholestérol et la dégénérescence cérébrale.
Les Oméga 3 sont les « bons gras par excellence » et sont à privilégier pour notre cerveau. On les retrouve principalement dans les noix ou l'huile de colza mais les plus efficaces sont d'origine marine.
Quant à sa consommation, il est recommandé d'éviter de la faire chauffer à trop haute température. Au-delà de 210 °C, l'huile d'olive atteint son point de fumée. Cela signifie qu'à partir de cette température, elle se dénature et risque de s'enflammer.
Grâce à sa forte teneur en anti-oxydants, l'huile d'olive va avoir tendance à prévenir la surcharge du foie. Le jus de citron, de son côté, va stimuler la sécrétion de bile et favoriser l'élimination des toxines.