Chaque élève doit se sentir serein et en sécurité dans la classe. Les règles édictées par la communauté éducative doivent être expliquées et comprises par les élèves. Elles sont applicables à tous sans discrimination. La classe doit permettre à chaque élève de se réaliser, d'être reconnu, de se construire positivement.
Le bon élève est attentif et concentré. Il en donne les signes : les mains sur la table, le regard fixe tourné vers le professeur, il ne crayonne pas sur une feuille de papier et ne joue pas avec son stylo. Le bon élève est toujours souriant, de bonne humeur ; mais pas trop, s'il rit, il devient un élève perturbateur.
Il convient de dire bonjour et au revoir. Les tours de parole doivent être respectés et il ne faut pas interrompre quelqu'un qui parle dans la salle de classe. Chacun doit faire preuve d'attention en classe. Il convient d'écouter les intervenants lors des exposés.
les problèmes de comportement en classe
Les élèves turbulents demandent plus de temps et d'attention, ils gênent et perturbent le cours. Ils bougent beaucoup, ne sont pas concentrés, bavardent, peuvent parfois être impolis et indisciplinés et même violent. Ils refusent de travailler.
Faire attention aux enfants qui nous entourent (bousculade, projection d'eau), Avoir une attitude respectueuse envers les autres (ne pas se moquer, ne pas insulter), Porter secours aux autres élèves qui en ont besoin (prévenir en cas de blessures, préparer les devoirs pour les enfants absents...)
Elle permet à l'enseignant de favoriser la motivation des étudiants. Une gestion de classe efficace permet aux étudiants de rester centrés sur la tâche. Elle amène également les étudiants à prendre conscience de leur capacité d'apprendre. Elle favorise aussi la collaboration entre les étudiants.
Il est important d'amener les élèves à s'exprimer de manière non violente et de trouver des réponses pour gérer le comportement difficile d'un élève dans le respect de tous … pour que la classe soit un lieu d'écoute et sécurisant qui favorise les apprentissages.
-accepter la possibilité d'un contact physique ; -avoir une attitude ouverte et ne pas être sur la défensive ; -essayer d'abord d'intervenir verbalement de façon posée (non autoritaire) et inciter l'élève à se calmer ; -s'approcher lentement de l'élève.
L'attitude est souvent présentée comme ayant trois composantes distinctes selon un modèle tridimensionnel : cognitive (croyances, pensées et attributs associés à l'objet), affective (sentiments, émotions liées à l'objet) conative ou comportementale (comportements passés et futurs associés à l'objet).
Il est interdit de hurler dans les oreilles des autres pendant la récréation. Il est interdit de se bagarrer à l'école, il faut aller voir un enseignant pour régler les problèmes. Il est interdit de jeter des cailloux. Il est interdit de mentir et de voler les affaires des autres.
Être à l'écoute, s'impliquer activement dans les activités qui se déroulent en classe et féliciter les élèves pour leurs efforts et leur participation sont des exemples d'actions que posent les enseignants qui s'investissent dans leurs relations avec les élèves.
Seuil Jeunesse
Au yeux des professeurs, le bon élève c'est celui qui ne bavarde pas, travaille bien, répond docilement aux questions, aide les autres. Aux yeux des parents, le bon élève fait ses devoirs avant de jouer le soir, rapporte des bonnes notes à la maison, et se situe en tête de classe.
Le dynamique : toujours motivé et prêt à se lancer dans de nouveaux défis d'apprentissage. L'aimable : qui a besoin de reconnaissance et d'attention. Le perfectionniste : cherche toujours à bien faire et est assez sévère avec lui-même. L'émotionnel : a du mal à gérer ses émotions, est très créatif.
M : Un bon élève… Donc c'est un élève qui écoute en classe, qui participe, qui prend des notes aussi et qui fait ses devoirs, et qui apprend chez lui.
Lorsque l'élève est agité, après la récréation par exemple, incitez-le à faire une activité pour se détendre comme coucher la tête sur son bureau et fermer les yeux, se mettre des écouteurs sur les oreilles, faire quelques exercices d'étirements ou bâiller, écouter de la musique calme, prendre quelques respirations ...
Réagir face à l'agressivité de l'enfant
Le plus important, c'est de garder confiance en lui en tout temps : accompagnez-le dans son apprentissage en discutant de son comportement et de ce qu'il doit améliorer, tout en demeurant empathique envers lui.
On peut faire diversion, interpeller un autre élève, lancer une autre activité, on oriente l'attention des élèves dont celui là sur autre chose. Même quand l'extinction marche, il y a toujours des moments où le comportement réapparaît, il faut y être préparé. Souvent le comportement est renforcé par les camarades.
Les explications concernant ces élèves « perturbateurs mettent souvent l'accent sur des problèmes extérieurs à l'école : permissivité des parents, cultures différentes, phénomènes du quartiers, difficultés sociales et précarité, problèmes d'ordre psychologique, manque de motivation, paresse, etc.
La dépression, les addictions et les troubles liés à la consommation de drogues ou d'alcool, l'anxiété et les phobies, les troubles de comportement alimentaires, les troubles schizophréniques, bipolaires ou borderlines sont des exemples de troubles psychique.
Le respect commence par la confiance et il est lié à l'empathie, la compassion, l'intégrité et l'honnêteté.
Manquer de respect, c'est insulter, proférer des attaques personnelles, déprécier, discriminer. Les manques réels de respect ne peuvent plus être jugés à l'aune de cette notion si celle-ci se confond avec un simple code social.