Pour les enfants de 6 à 12 ans, les recommandations sont de limiter le temps d'écran à un maximum de 2 heures par jour. Cela inclut les activités de loisirs sur les écrans, telles que les jeux vidéo, les réseaux sociaux et la télévision.
Entre 9 et 12 ans, l'enfant doit apprendre à s'autoréguler et à tenir lui-même le compte du temps passé devant les écrans, en n'excédant pas 1 heure par jour à 12 ans. Parlez toujours de ce qu'il regarde, discutez de ce qui l'intéresse sans jugement.
Dès 2 ans, les enfants des pays occidentaux cumulent chaque jour presque 3 heures d'écran. Entre 8 et 12 ans, ils passent à près de 4 h 45. Entre 13 et 18 ans, ils frôlent les 6 h 45.
Règle générale, la durée maximale recommandée est de deux heures par jour pour les activités de loisir. Cependant, cette notion de temps dépend du type de contenu (médias sociaux, jeux vidéo, clavardage, émissions, etc.), du contexte d'utilisation (moment de la journée, simultanéité des activités, etc.)
Or, d'après ses conclusions, l'étude montre que les « temps d'écran moyens excèdent les recommandations (pas d'écran avant 2 ou 3 ans, maximum 1 h ensuite), et une part non négligeable (de 11 à 26 % selon l'âge) des enfants passe plus de 2 h par jour devant ».
Sédentarité Un jeune devrait faire au moins soixante minutes d'activité physique par jour. Ainsi, un adolescent qui passe beaucoup d'heures devant les écrans est moins actif, ce qui peut causer des conséquences comme de l'obésité, des carences au niveau du tonus musculaire et des maladies cardiovasculaires.
Une utilisation excessive des écrans peut également : Gêner les apprentissages. Avoir un impact sur les relations sociales car les écrans ne développent pas l'intelligence émotionnelle et sont bien souvent une activité solitaire.
Un usage trop important des écrans provoque des troubles du sommeil. En effet, trop d'écrans est, bien souvent, au détriment d'une durée suffisante de sommeil. Enfin, trop d'écrans entraîne des maux de tête ainsi qu'une fatigue visuelle importante à cause notamment de la fameuse lumière bleue.
Les écrans deviennent centraux dans leur vie au détriment de tout le reste. Le premier risque lié à une pratique excessive des écrans est donc un risque de désocialisation qui contribue à augmenter les risques dépressifs, et peut compromettre une carrière ou des études.
Deux spécialistes font le point. Cette étude a été menée auprès de 14 000 enfants, de l'âge de 2 ans à 5 ans ½. Comme d'autres études, elle a montré que plus les enfants passent de temps devant des écrans, plus cela peut avoir un impact négatif sur leur développement cognitif.
Une utilisation prolongée des écrans peut causer une sécheresse oculaire (du fait qu'on cligne cinq fois moins des yeux quand on regarde un écran), une fatigue visuelle, une vision trouble, des maux de tête, des yeux qui chauffent ou qui picotent de même qu'une perte d'attention ou de concentration.
Le psychiatre Serge Tisseron s'est servi de ces âges pour établir «la règle 3-6-9-12» chargée de fixer des repères d'introduction des écrans dans la vie des enfants : Pas de télévision avant 3 ans. Pas de console personnelle avant 6 ans. Internet après 9 ans.
Éteignez tout écran au moins 2 heures avant le coucher. Les enfants et les adolescents sont particulièrement sensibles à la lumière des tablettes, téléphones et ordinateurs. Celle-ci retarde l'endormissement.
Les enfants qui passent plus de deux heures par jour sur les écrans ont de moins bonnes capacités cognitives que ceux dont l'exposition est plus limitée, constate une étude publiée jeudi dans la revue britannique Lancet Child and Adolescent Health.
Si la situation de travail n'est pas adaptée, le travail sur écran peut être à l'origine d'effets sur la santé tels que des troubles musculosquelettiques, des troubles liés aux postures sédentaires, de la fatigue visuelle et du stress.
Certains ados en viennent à éprouver une sensation de vide quand ils ne sont pas devant leur écran», prévient Jean-François Biron. Il importe aussi de rappeler que l'utilisation des écrans stimule les mêmes zones du cerveau que la consommation d'alcool et d'autres drogues, explique Jean-François Biron.
À travers celui, il développe ses habilités motrices et son imagination. Le temps passé devant l'écran l'éloigne de ces activités essentielles, tout en perturbant son rapport à lui-même et aux autres. Une surexposition aux écrans avant 3 ans peut donc entraver le développement de l'enfant, voire même le ralentir.
Certaines technologies d'écrans de télé ont été pointées du doigt par l'ANSES, du fait de leur propension à émettre trop de lumière bleue nocive pour les yeux. C'est notamment le cas des écrans LED. Les écrans OLED seraient moins nocifs pour la vue.
Pour les enfants de 6 à 12 ans, les recommandations sont de limiter le temps d'écran à un maximum de 2 heures par jour. Cela inclut les activités de loisirs sur les écrans, telles que les jeux vidéo, les réseaux sociaux et la télévision.
Elle correspond à des pratiques sur écran excessives et incontrôlables, qui peuvent rejaillir sur la scolarité, le travail et les relations avec les autres. Souvent due à un mal-être ou à un isolement social, cette addiction impacte parfois l'alimentation et le sommeil.
Situation en France. Les écrans sont entrés dans les habitudes quotidiennes des Français : 92 % des familles sont équipées d'au moins un écran Internet et ⅔ d'entre elles s'y connectent tous les jours. Le temps moyen passé sur internet par jour et par personne est de 1h28.