Les sports à privilégier pour un enfant en manque de confiance. Le basket. A l'adolescence, certains enfants peuvent être hantés par un complexe, parfois celui de leur grande taille. Avec le basket, ces derniers découvriront que ce qu'ils croient être un point faible s'avère être un atout.
Les sports à privilégier pour développer la confiance en soi
Si vous avez du mal avec les contacts physiques, ou besoin de prendre en assurance, les sports de combat sont la solution idéale. Boxe, judo, karaté… peu importe celui que vous choisissez, tous ont en commun la concentration et le contact physique.
? Si vous avez un enfant anxieux, mieux vaut choisir une discipline apaisante, comme le yoga, qui lui apprendra à respirer, à prendre conscience de son corps et à le tranquilliser. Un sport très encadré et régulé peut aussi le rassurer. ? Pour travailler la coordination, rien de mieux que la danse ou la gymnastique.
Praticable dès 5 ans, le tennis demande beaucoup de concentration et une grande maîtrise de soi. La coordination et l'habileté sont également sollicitées. L'enfant doit apprendre à gérer dans un même temps ses bras et ses jambes mais aussi son corps et son esprit. Idéal pour les enfants qui ont besoin de se dépenser.
Les sports de précision : le tir à l'arc ou le tir de fléchettes qui font travailler la concentration. Les sports qui permettent d'apaiser l'activité cérébrale : le yoga et la danse qui permet d'entretenir l'intellect et la vivacité.
Encourager les enfants, les valoriser, leur renvoyer une bonne image d'eux-mêmes, avoir un regard bienveillant et aimant permet de leur donner confiance en eux.
Les activités en pleine nature, randonnée ou marche à pied, favorisent la diminution de l'anxiété et du stress. A son contact, vous sentirez une certaine détente vous envahir. Elle provient des molécules chimiques dégagées par les plantes.
Les sports conseillés à un enfant hyperactif
Je lui conseillerais de se tourner vers des sports individuels où il est au contact avec d'autres enfants mais ne joue ni avec eux, ni contre eux. Par exemple l'équitation, la natation, l'athlétisme, la gymnastique.
Judo, karaté, boxe française, etc : il y a en a pour tous les goûts. Le fait de s'engager physiquement et de remporter - parfois - des combats, s'avère extrêmement satisfaisant et permet de prendre conscience de ses capacités physiques et mentales.
Le traitement du manque de confiance / estime de soi est principalement psychothérapique par la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) ou la thérapie interpersonnelle. La psychothérapie peut se faire par le psychiatre ou le psychologue.
Le sprint, la boxe ou le squash. Efficace sur le moment, la gesticulation agressive n'apaise ni ne modifie en profondeur le tempérament colérique.
Les arts martiaux externes en sont les exemples parfaits. Parmi ces sports de combat, on trouve l'aïkido qui permet de se protéger et de comprendre la position de l'attaquant. Ce sport peu agressif, dont la philosophie est basée sur l'empathie, convient parfaitement aux enfants et aux adolescents hypersensibles.
Si votre enfant est hyperactif, il pourra dépenser son trop-plein d'énergie dans des sports collectifs comme le foot, le handball, le rugby ou le hockey-sur-glace qui demandent de l'effort physique. Les sports individuels comme la boxe sont aussi un très bon défouloir, ainsi que les sports d'équipe comme le cyclisme.
"La marche à pieds, le jogging, le vélo, le yoga, le fit ballet, le roller derby ou encore la danse sont d'excellentes manières de vous défouler et de réguler l'anxiété", note Amélia Lobbé.
Offrez à votre enfant une routine stable et des règles claires. Cela favorise le développement d'un sentiment de sécurité qui l'aide à construire son estime de soi. Félicitez-le pour ses efforts quand il fait, par exemple, une tâche plus difficile.
Pour avoir confiance en lui, votre enfant doit savoir qu'il peut très bien se débrouiller seul, sans vous. A vous de l'encourager à aller vers les autres et à se confronter à l'inconnu. Apprenez-lui les gestes de tous les jours sans le pousser trop. Accompagnez-le, tout en sachant lui lâcher la main.
1- Football américain
Le football, c'est le sport cliché des commotions. Près de la moitié des commotions rapportées dans le sport de niveau secondaire proviennent du football. Il a aussi le plus haut taux de commotions, avec 70,4.
Elle confirme qu'une seule séance d'activité physique (marche, course, vélo), de deux minutes à une heure, d'intensité modérée à élevée, suivie d'une brève récupération, a des effets positifs sur l'apprentissage, la mémoire, les fonctions cognitives liées à la concentration et l'attention des jeunes adultes de 18 à 35 ...
Une bonne force mentale est un ingrédient nécessaire à la réussite et ce, peu importe le sport que vous pratiquez. Chaque discipline, à sa manière, comporte son lot de demandes sur le plan psychologique.