Le saumon d'Alaska est celui qui s'en sort le mieux car la mer est moins polluée. C'est donc celui qui permet de bénéficier des bienfaits du saumon sauvage en limitant les méfaits liés à la contamination des océans.
Recommandations. Voici quelques produits vers lesquels se tourner dans la grande distribution : les émincés de saumon rouge du pacifique sauvage fumé, origine Alaska (Monoprix Gourmet), le saumon sauvage d'Alaska (Petit Navire) ou encore les pavés de saumon argenté du Pacifique (Picard).
Écosse ou Norvège, quelle différence ? Tout est une question de goût... Si vous cherchez un poisson maigre, légèrement rosé et ferme, tournez-vous vers les saumons élevés en Norvège. Si, à l'inverse, vous préférez un saumon plus orangé, plus gras et à la chair tendre et beurrée, le saumon d'Écosse est fait pour vous.
Question d'espèces d'abord : le saumon rouge (Oncorhynchus nerka) et l'argenté (Oncorhynchus kisutch) pêchés en Alaska sont moins gras et plus petits que le Salmo salar. De plus, leur chair présente parfois un goût prononcé lié à une alimentation riche en harengs qui ne plaît pas à tous les consommateurs.
Le meilleur rapport qualité/prix : Saumon fumé d'Écosse, Delpeyrat. Le plus : même s'il n'a pas de label, les saumons sont nourris sans OGM, sans hormones de croissance et sans farines animales terrestres, avec une densité d'élevage limitée.
La première du top affiche, elle, un prix au kilo plus allégé (57,90 €). Il s'agit du saumon fumé prestige bio de la marque norvégienne Mowi, disponible en grandes et moyennes surfaces. Quant à la palme du meilleur rapport qualité/prix, elle revient à la truite fumée au bois de hêtre de l'allemand Aldi.
Saumon fumé sauvage d'Alaska LABEYRIE : la barquette de 4 tranches - 120g à Prix Carrefour.
Le saumon d'Alaska est celui qui s'en sort le mieux car la mer est moins polluée. C'est donc celui qui permet de bénéficier des bienfaits du saumon sauvage en limitant les méfaits liés à la contamination des océans.
Mais un saumon d'élevage doit sa couleur rose caractéristique à son alimentation, qui peut être enrichie de façon à augmenter l'intensité de la couleur.
saumon sauvage royal "King" d'ALASKA fumé - filet de 1.2kg tranché - prix 145.00 €/kg. Saumon sauvage d'Alaska "KING ou CHINOOK" également appelé "saumon royal".
Ce saumon sauvage vit dans les eaux froides de l'Alaska, il se nourrit de plancton et de krills, ce qui lui donne une chair maigre, d'une belle couleur rouge intense.
Le saumon sauvage de l'atlantique, « salmo salar » surnommé à juste titre « le roi des poissons », est un grand migrateur qui partage son existence entre la rivière ou il est né et revient se reproduire, et l'océan où il devient adulte et croit considérablement en poids et en taille.
Aquaculture Stewardship Council (ASC) est un label international créé en 2010 pour les poissons issus de l'aquaculture durable. Ce label se retrouve sur 9 espèces de poissons issus de l'aquaculture, comme le saumon, le tilapia, la truite, le pangasius ou les crevettes et sur les algues marines.
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La question se tranche par le goût. Un saumon sauvage, plus sportif, va avoir une chair moins grasse, plus sèche. « Elle est très différente de la chair d'un poisson d'élevage, et peut dérouter », prévient Sophie. De plus, les espèces de saumon sont multiples, avec de grandes différences de goûts et de textures.
Si vous le pouvez, n'hésitez pas à toucher le saumon. Le ressenti doit être souple et le creux créé par le doigt seulement passager.
VRAI Car c'est du muscle ! Non seulement sa consistance ferme est dépourvue de saveur, mais le muscle concentre les toxines. Mieux vaut découper ces petites parties avant consommation, et ne pas les confondre avec les hématomes sans gravité que l'on trouve parfois sur la chair des saumons sauvages.
Le saumon d'élevage et le saumon sauvage contiennent des BPC (biphényles polychlorés) qui sont des contaminants présents dans l'environnement et qui se retrouvent dans le poisson. Selon Santé Canada, les niveaux de BPC trouvés dans le saumon d'élevage et dans le saumon sauvage ne sont pas dangereux.
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie.
Le meilleur choix est encore le hareng, le colin, le lieu noir et les sardines. Parmi les salmonidés, il est préférable de consommer les poissons de la famille coregonus, le saumon rouge et le saumon du Pacifique.
Si le saumon sauvage (de la mer Baltique) est beige-pâle car il se nourrit de harengs, le saumon d'élevage (Écosse ou Norvège) tire plutôt vers le rose-orange. Les tranches doivent être striées de petites lignes blanches mais pas épaisses, car cela indiquerait un poisson trop gras.
Qu'il soit sauvage ou d'élevage, le saumon ne peut synthétiser ce pigment caroténoïde qu'il trouvera seulement dans son alimentation. À l'état sauvage, ses proies lui conféreront sa couleur rose ou orangée, voire rouge vif dans le cas du sockeye.