Vous devez adresser votre réclamation (par lettre RAR : RAR : Recommandé avec avis de réception ) au service clientèle de la compagnie aérienne. Ses coordonnées sont indiquées sur le document remis par la compagnie aérienne. Le montant de l'indemnisation varie selon la longueur du trajet.
Au moment d'entrer dans l'avion, un employé l'empêche de monter en lui affirmant que le vol est complet ou qu'il n'y a pas assez de personnel à bord pour gérer la totalité des passagers. Il s'agit d'un vol surbooké.
Le “surbooking” ou la “surréservation” en français est une pratique consistant à vendre plus de billets que de places disponibles dans l'avion. Cette pratique des compagnies aériennes vise à anticiper les désistements. Ainsi, les compagnies maximisent leurs chances de voyager à plein.
Une fois à l'aéroport, mauvaise nouvelle, vous apprenez que votre vol est annulé, retardé ou surbooké ? Nous vous recommandons vivement de vous tourner immédiatement vers le personnel de la compagnie aérienne afin qu'il vous délivre une attestation prouvant cette annulation, ce retard ou ce surbooking.
On évalue de même la probabilité que 105 passagers se présentent (106 x 0,9105 x 0,1), etc. En ajoutant les probabilités de présence de 101 à 106 personnes, on obtient un risque de devoir refuser un passager égal à 4 %. Dans ce cas, la compagnie aérienne doit dédommager le passager mais le jeu en vaut la chandelle !
Cette pratique n'est pas interdite, mais la compagnie doit vous indemniser. si la compagnie demande des volontaires et que vous proposez vous-même de ne pas embarquer, vous ne serez pas indemnisé pour du surbooking. Il s'agit alors d'un accord avec la compagnie.
Pour vérifier le statut de votre vol, vous pouvez utiliser des applications de suivi de vol ou vous rendre directement sur le site de l'aéroport/de la compagnie aérienne.
United Airlines a fait ce que l'on appelle communément du surbooking (ou "surréservation" dans la langue de Molière) et qui peut effectivement amener à refuser l'embarquement à des passagers qui ont pourtant bel et bien payé un billet pour le vol en question.
En règle générale, le statut du vol est uniquement consultable 48 heures ou quelques jours avant votre départ selon votre compagnie aérienne. Le numéro de vol se trouve dans votre confirmation de réservation que vous avez reçu après votre achat sur Option Way.
Quand vous achetez un billet d'avion la compagnie a un devoir de moyen. Elle s'engage à vous acheminer jusqu'à votre lieu de séjour, elle est donc dans l'obligation de le faire. Le surbooking ne la soustrait pas à cette obligation et elle doit en plus de vous acheminer vous dédommager.
Imaginons un vol dont le coût du billet est de 200 € et qu'en cas de surbooking, la compagnie le dédommage à hauteur de 800 €. Si la compagnie vend 103 billets alors, elle aura empoché 20 600 €. Si seulement 100 personnes ou moins se présentent, c'est bien joué. Elle aura vendu 3 billets en plus, soit un gain de 600 €.
Pour éviter que les avions décollent ainsi avec des places vides les compagnies aériennes ont décidé de vendre plus de billet qu'il n'y a de place dans leurs avions : c'est ce qu'on appelle la surréservation et ont eu l'idée d'utiliser la loi binomiale pour quantifier le risque pris d'avoir des passagers sans siège qu' ...
Les compagnies aériennes expliquent généralement qu'un certain nombre de passagers risquent de ne pas se présenter à l'enregistrement et que la surréservation leur permet d'anticiper ces désistements. C'est également le point de vue exprimé par les auteurs des très nombreux articles publiés sur le sujet.
Le surbooking provient du “yield management », une stratégie de management apparue aux États-Unis en 1978, permettant à des compagnies aériennes nouvellement créées de proposer des tarifs défiant toute concurrence.
Soit Y la variable aléatoire qui désigne le nombre de passagers qui se présenteront pour leur vol. Comme il est connu qu'en moyenne seulement 95% des passagers se présenteront pour leur vol, la loi binomiale nous donne: P [ Y = 101 ] = ( 103 101 ) × ( 0 , 95 ) 101 × ( 0 , 05 ) 2 ≡ 0 , 073 86.
Si Air France vous propose un autre vol et que vous êtes contraint à attendre à l'aéroport, la compagnie doit vous prendre en charge. En cas de surbooking, vous pouvez réclamer une indemnisation allant jusqu'à 600 € par personne.
La reprise du trafic devrait atteindre cet été jusqu'à 95% de son niveau de 2019, selon Eurocontrol, l'organisation européenne pour la sécurité de la navigation aérienne. Mais depuis plusieurs semaines, de nombreux vols sont annulés à cause d'un manque d'effectifs.
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.
Les soubresauts y sont plus atténués qu'ailleurs. Si votre phobie est très avancée et qu'au moindre trou d'air vous redoutez la catastrophe aérienne, alors les sièges du fond de l'avion sont les plus sûrs. Statistiquement, en cas de crash, vous aurez plus de chance de survivre en queue d'avion qu'au milieu ou en tête.
Sur son site Internet, Air France tient régulièrement un «flash infos», dans lequel la compagnie fait état des prévisions de trafic pour la journée. Il est possible de savoir en temps réel si un avion va décoller ou pas en entrant son numéro de vol dans la rubrique «Actualité des vols».
Le surbooking est une pratique commerciale courante dans le secteur du transport aérien. Il s'agit de la vente d'un nombre de places supérieur au nombre de sièges disponibles dans l'avion. Cette pratique est possible grâce à la réglementation qui permet aux compagnies aériennes de surcharger les avions de 10 %.
S'il est conseillé de se présenter en avance à l'aéroport, c'est d'abord pour anticiper les éventuels retards. Décaler un vol coûte très cher à la compagnie aérienne et fixer l'heure d'arrivée 2h avant le départ officiel permet de réduire considérablement le nombre de « vrais » retardataires.
On considère aujourd'hui qu'en moyenne pour qu'un avion soit rentable, il doit voler au minimum 300 heures par an. Or, les chiffres montrent qu'aujourd'hui les avions privés en France ne volent en moyenne que 50 heures chaque année : 6 fois moins que nécessaire !