Qu'est-ce qu'un complément circonstanciel de conséquence ? Le CC de conséquence est un ensemble de mots qui exprime le résultat d'une action. Il répond à la question : « Avec quel résultat ? », « Pour (quel résultat) ? », « De manière à obtenir quel résultat ? » …
Les enfants revenaient d'où ? de la plaine de jeux = groupe du complément circonstanciel de lieu. Le complément circonstanciel de lieu répond aux questions : où, vers où, d'où, posées après le verbe. Nature du complément circonstanciel de lieu.
Le complément circonstanciel de temps peut être un participe présent précédé de « en ». L'enfant se promenait dans les bois quand il fut surpris par l'orage. Le C.C.T. est « quand il fut surpris par l'orage », c'est une proposition.
Un complément circonstanciel de conséquence indique le résultat, l'effet d'une action. Ex : Jean est tellement malade qu'il est absent.
Les compléments circonstanciels de cause répondent aux questions : pourquoi ?, à cause de quoi ? Ils indiquent donc la raison pour laquelle se déroule l'action : À cause de toi, j'ai tout perdu ! Il a agi par dépit.
Dans une phrase, les termes qui précisent les circonstances de l'action (lieu, temps, manière, but…) occupent la fonction de complément circonstanciel. À la différence du complément d'objet, étroitement lié au verbe, le complément circonstanciel est un complément facultatif.
Le complément d'objet est généralement placé après le verbe, mais il peut aussi être placé devant le verbe dans une phrase interrogative, ou bien lorsque ce complément d'objet est un pronom. Le complément d'objet direct (COD en abrégé) complète directement le verbe sans l'intermédiaire d'une préposition.
Le COI. Le COI est relié au verbe (qui est alors transitif indirect) par une préposition : les plus courantes sont à, de, en, sur. Ex. : Elle parle souvent de son chien. → Le groupe nominal prépositionnel de son chien est COI du verbe parler.
Le complément circonstanciel d'accompagnement répond aux questions « avec qui ?, sans qui ? » posées après le verbe.
Les compléments circonstanciels sont des compléments non essentiels qui précisent les circonstances dans lesquelles une action s'accomplit. Ils peuvent être supprimés de la phrase et parfois déplacés et sont souvent précédés d'une préposition.
La proposition subordonnée circonstancielle concessive exprime une action en opposition avec l'action de la principale. Elle est introduite par des conjonctions de subordination comme - bien que, quoique, malgré que. Le verbe est conjugué au mode subjonctif. Exemple : Il est venu bien qu'il soit malade.
Les compléments circonstanciels de moyen répondent aux questions : comment ?, par quel moyen ?, avec quoi ? Ils indiquent donc le moyen utilisé pour réaliser l'action : J'irai en tramway. Je ne sais pas manger avec des baguettes.
Selon les grammairiens, la liste des compléments circonstanciels diffère, mais ceux qui sont le plus couramment représentés sont les compléments circonstanciels de temps, de lieu, de manière, de moyen, de cause, de conséquence, de but, d'accompagnement, de comparaison, d'opposition, de concession et de condition.
Le CC de moyen est souvent formé avec un mot concret (qui désigne quelque chose qu'on peut toucher). Alors que le CC de manière est souvent formé avec un mot abstrait.
Cette proposition, complément circonstanciel de concession, est appelée proposition subordonnée circonstancielle concessive. Elle exprime une action qui aurait dû entraîner une autre logique dans l'action de la principale. Exemple : Bien qu'il fasse froid, Paul est sorti sans manteau.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
-conséquence: si...que, tellement...que, tant...que, de sorte que, si bien que, trop... pour, assez... pour... -but: pour que, afin que, de peur que, de crainte que, dans l'espoir que...
La subordonnée de conséquence (consécutive) est une proposition qui assume la fonction de complément circonstanciel de conséquence du verbe principal, dont elle dépend et avec lequel elle établit un rapport logique.
Les compléments circonstanciels indiquent dans quelle circonstance se déroule l'action: à quel moment, en quel lieu, de quelle manière, dans quel but, pour quelle cause, avec quoi ou au moyen de quoi. 1-Le complément de temps répond à la question : quand? Ex: Elle prend le train ce soir.
Les termes et structures qui expriment la conséquence sont : donc, alors, ainsi, en conséquence, par conséquent, c'est pourquoi, si bien que, de manière que, de façon que, de sorte que, si … que, tellement … que, au point de/que, à tel point que, un tel … que, une telle … que, de tels … que, de telles … que, il suffit ...
Un verbe de sens consécutif, le résultat est indiqué par son complément direct. — Nous avons chanté de telle sorte que nous en avons perdu le souffle. La conséquence est le résultat d'un seul fait pris dans sa globalité. — Nous étions tellement grisés qu'on nous aurait pris pour des gens ivres.
Adverbes et conjonction de coordination exprimant la conséquence. Les adverbes et locutions adverbiales "c'est pourquoi", "à cause de cela", "c'est pour cela", "aussi", "ainsi", "par conséquent", "en conséquence", et la conjonction de coordination "donc" introduisent l'expression de la conséquence.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.