Matin après matin, le psaume 95 (94) invite à prendre pied sur la communion, l'émerveillement, la confiance et la responsabilisation, et à entrer ainsi dans sa journée par la porte étroite qui conduit à la vie.
Je vous salue, Marie, pleine de Grâce. Le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Origène a exploité la notion d'alphabet en la croisant avec le thème du respect de la Loi, thème central dans le psaume 119 : selon lui, de la même manière que l'alphabet est le commencement de l'apprentissage humain, le respect de la Loi est le point de départ de tout enseignement religieux.
Le psaume 35 (34 selon la numérotation grecque) est un psaume qui exprime la prière d'une personne persécutée.
Psaume 91, 1-2
Oui Seigneur, en ce soir, je m'établis en paix sous ta protection. Tu es mon abri Seigneur, mon refuge et mon repos. Je te prie que cela ne soit pas que des mots, mais que réellement je puisse sentir en ce soir que tu m'enveloppes dans ta divine protection.
Le psaume associe l'homme à la gloire de Dieu. Sous le firmament, l'homme est à l'abri des forces du mal. La relation privilégiée entre l'homme et Dieu se décline sous trois thèmes : le souvenir, la prise en charge et l'exaltation.
Ce psaume montre que cet amour fraternel est à la fois ce qui est "bon", c'est le bien par excellence, et aussi, que "c'est là que l'Eternel donne la bénédiction et la Vie éternelle", ce qui n'est pas rien.
Il aurait été écrit par le roi David, qui demandait pardon auprès de Dieu après qu'il eut séduit Bethsabée, la femme d'un de ses officiers, Urie le Hittite, en profitant d'une de ses absences.
Dans le psaume 37, le psalmiste invite plutôt le juste fidèle à mettre sa confiance dans le Seigneur, et il le réconforte en répétant que Dieu aime à faire justice, qu'il accordera le salut aux justes, et que les impies qui s'acharnent contre les justes seront extirpés de la terre.
Seigneur, au jardin de Gethsémani, tu as ressenti tristesse et angoisse. Lors de ta passion, tu as été méprisé et rejeté. Mais tu t'en es remis à ton Père, dans la confiance que lui seul pouvait venir à ton aide. Nous reconnaissons dans ta résurrection l'œuvre de Dieu.
Le matin, le midi et le soir.
Commencer votre prière
Un bonne façon de commencer est de vous adresser à Dieu en l'appelant par son nom. Vous pouvez dire « Cher Dieu », « Cher Père céleste », « Notre Père qui es aux cieux », ou simplement « Dieu ».
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.
« [Jésus] leur répondit : Quand vous priez, dites : Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour. Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes, nous pardonnons aussi à tous ceux qui nous ont des torts envers nous.
Le psaume 67 (66 selon la numérotation grecque) exprime l'universalité de la louange due à Dieu. Il a les mêmes indications que le psaume 68, et on peut le ranger dans le groupe des psaumes 65 à 68, qui sont destinés à la louange et à l'action de grâce, avec les instruments à cordes.
Ce psaume est chanté pour demander de l'aide à celui qui a créé la vie, pour être protégé durant le voyage souvent long, pénible et potentiellement dangereux. 4- Voici ! Il ne sommeille ni ne dort, celui qui garde Israël.
Jésus, par cette parole en exergue du psaume, entend rappeler dans son râle de mourant non pas un terrible doute envers Dieu mais au contraire l'immense espoir de la résurrection.
Le psaume 34 est un diptyque : la première partie jusqu'au verset 11 est constituée d'une hymne et d'un développement de l'expérience du psalmiste, tandis que la seconde partie prend un ton sapientiel. Trois thèmes sont abordés : celui de la rétribution, du bonheur, et enfin de la pauvreté spirituelle.
Le psaume 23 (22 dans la numérotation grecque) est un psaume de la Bible hébraïque, donc de l'Ancien Testament, attribué au Roi David, qui décrit Dieu comme le Berger. Il est appelé en latin Dominus pascit, « Le Seigneur est mon berger. »
Le psaume 103 (102 selon la numérotation grecque) est attribué à David. C'est une hymne à la bonté de Dieu, difficile à classer, et de datation probablement tardive car on y trouve des mots araméens.
Le Psaume 133 est à peu près incompréhensible en première lecture. Il s'agit pourtant d'un des psaumes les plus beaux, et un des plus évangéliques. Il annonce, comme Paul dans ce célèbre "hymne à l'amour" de 1Cor 13 que la religion et le dévouement sont utiles, mais que sans l'amour fraternel, ils ne sont rien.
Le psaume 25 (24 dans la numérotation grecque) est une supplication à l'Éternel attribuée à David. C'est un acrostiche : les premières lettres de chaque verset lues verticalement forment l'alphabet hébreu.