Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Les poissons ingèrent ces toxiques qui, très peu éliminés par leur organisme, se stockent mois après mois dans leurs graisses. C'est pourquoi plus un poisson vit vieux, plus il peut présenter des niveaux de PCB élevés.
Les espèces les plus contaminées par le mercure sont le marlin, le requin, le thon rouge, le maquereau roi et l'espadon ; ils figurent parmi les poissons à éviter ou à ne consommer qu'occasionnellement.
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
Les bienfaits du poisson pour l'organisme ne sont plus à démontrer. Mais les produits de la mer n'ont pas que du bon. Ils sont aussi chargés en divers polluants, dont le mercure. En consommer trop est associé à un risque accru de maladie de Charcot.
Le cabillaud est riche en acides gras poly-insaturés, oméga 3 notamment, dont l'effet protecteur sur la santé a largement été démontré. Dans le cadre d'une alimentation variée et équilibrée, la consommation régulière de ce poisson diminuerait le risque d'infarctus du myocarde et d'accidents cardiaques graves1.
Poissons maigres (moins de 5 % de lipides) : bar, brochet, cabillaud, colin, daurade, églefin, flétan, lieu, lotte, merlan, merlu, mérou, raie, sole, limande, saint-pierre, sébaste, truite, turbot. Poissons mi-gras (5 à 10 % de lipides) : daurade grise et royale, anchois, carpe, espadon, gardon, thon.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Riche en minéraux : une boîte de sardines contient l'équivalent de 35 % de l'apport quotidien recommandé en calcium. 15 % en fer, 10 % en potassium et 45 % en phosphore. Alliée des sportifs. Grâce à son aide précieuse dans la santé musculaire avec ses protéines de qualité.
Certains poissons tels que le saumon, le maquereau, le thon ou la sardine sont recommandés lors du repas. Ils sont riches en protéines, essentielles à nos besoins nutritionnels. De plus, ils nous apportent des oméga 3, les bonnes matières grasses, ce qui favorise le sommeil en agissant sur les cellules du cerveau.
Pour éviter tout risque de toxi-infections, les femmes enceintes jeunes enfants et les personnes dont le système immunitaire est affaibli doivent éviter d'en consommer. Pour ne pas aggraver leurs symptômes (douleurs articulaires), les personnes atteintes de goutte doivent consommer la sardine avec précaution.
La suite du classement: Albert Ménès, Sardines sans peau, 5,30 euros la boîte de 69g; José Gourmet, Sardines à l'huile d'olive vierge extra, 3,20 euros la boîte de 125g; La Perle des Dieux, Sardines à l'huile d'olive, 3 euros la boîte de 115g; La Compagnie bretonne du poisson, Sardines à l'huile d'olive, 3,60 euros la ...
- Les poissons gras : Ils sont excellents pour la santé et ont des vertus reconnues mais bannissez autant que possible ce type de poisson le soir. Quels sont ces poissons à éviter ? Les sardines, le maquereau, le saumon et le thon à l'huile.
Elles nourrissent nos muscles
Il n'y a pas que la viande pour faire le plein de protéines : les sardines en apportent 25 g/100 g de poisson, soit environ un tiers de nos besoins (60 à 80 g/jour selon son poids). Avec en plus de la vitamine B12, impliquée dans la synthèse des protéines, et donc dans la masse musculaire.
Les sardines, les maquereaux, les dorades, le bar (ou le loup en méditerranée), le mulet, le maigre, ou encore le thon, sont des espèces qui s'adapteront parfaitement à la chaleur vive de vos braises; tout comme les crustacés tels que la langoustine ou le homard, qui adorent aussi le barbecue.
Le meilleur choix est encore le hareng, le colin, le lieu noir et les sardines. Parmi les salmonidés, il est préférable de consommer les poissons de la famille coregonus, le saumon rouge et le saumon du Pacifique.
Le poisson est bon pour la vue : grâce à la vitamine A, le poisson permet d'améliorer la vue. Le poisson est une bonne source de protéines : En moyenne le poisson contient autant de protéines que la viande. Le poisson est un anti-oxydant : riche en vitamine E. Le poisson peut améliorer la qualité de votre sommeil.
Il est riche en phosphore et en vitamine D, deux éléments essentiels qui contribuent au maintien d'une ossature normale. Donc, en plus des muscles, le thon contribue à la bonne santé des os. Il est riche en sélénium, un oligoélément au pouvoir anti oxydant qui protège les cellules contre le stress oxydatif.
Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).