En effet, en 2014, la France a importé 27,3 TWh d'électricité. D'ailleurs, avec 13,2 TWh, l'Allemagne est le principal fournisseur en énergie électrique devant la Suisse (9,1 TWh), l'Espagne (2,9 TWh), le Royaume-Uni (0,8 TWh), la Belgique (0,8 TWh) et l'Italie (0,5 TWh).
Qui sont les producteurs d'électricité ? Le premier producteur d'électricité en France est Electricité de France (EDF), qui puise sa production principalement dans le nucléaire.
L'Italie est restée le plus grand importateur net au cours des six derniers mois de 2021, s'approvisionnant à l'extérieur du pays à hauteur de 20 TWh, dont 9,4 TWh en provenance de Suisse et 7,5 TWh de France.
En effet, la France est habituellement le premier pays exportateur d'électricité en Europe (devant l'Allemagne) grâce aux faibles coûts variables de son parc de production (nucléaire, hydraulique, éolien et solaire) qui le rendent particulièrement compétitif.
Le taux d'indépendance énergétique du pays atteint 53,1 %, selon les chiffres du Commissariat général au développement durable . Cela signifie que la production d'énergie tricolore couvre un peu plus de la moitié de la consommation seulement.
En apparence, si l'on examine les statistiques européennes d'échanges d'électricité, la France importe de l'électricité à travers sa frontière avec l'Allemagne. Ces importations semblent surtout éponger les surproductions photovoltaïques du sud de l'Allemagne.
En effet, en 2014, la France a importé 27,3 TWh d'électricité. D'ailleurs, avec 13,2 TWh, l'Allemagne est le principal fournisseur en énergie électrique devant la Suisse (9,1 TWh), l'Espagne (2,9 TWh), le Royaume-Uni (0,8 TWh), la Belgique (0,8 TWh) et l'Italie (0,5 TWh).
Elles promeuvent la concurrence des marchés. Il en résulte une régulation des prix favorable au pouvoir d'achat des ménages, à l'emploi et à la compétitivité-prix des producteurs locaux. 3. Rendant les entreprises plus compétitives et innovantes, les importations constituent un puissant moteur d'exportations.
La Norvège demeure le principal fournisseur de la France (36 % du total des entrées brutes), devant la Russie (17 %), l'Algérie (8 %), les Pays-Bas (8 %), le Nigeria (7 %) et le Qatar (2 %).
Plus précisément, la hausse actuelle du prix de l'électricité est liée à plusieurs facteurs : augmentation du prix du gaz et risque d'un arrêt des importations de gaz russe (les marchés anticipent la baisse des livraisons de la Russie);
La France pourrait manquer d'électricité lors des pics de consommation cet hiver. En cause : la faible disponibilité des centrales nucléaires, la sécheresse qui a réduit la capacité des barrages hydroélectriques, et dans une moindre mesure les restrictions de gaz imposées par la Russie.
Le classement européen de la production d'électricité
À la tête du podium, on retrouve notamment l'Islande et la Norvège qui approchent du 100%. La France arrive quant à elle en 28e position avec une part élevée de nucléaire (70%), près de 5 fois la moyenne européenne, contre une part renouvelable de 22,50%.
L'UE a acheté 57 milliards d'euros de pétrole, de gaz et de charbon à la Russie depuis le début de la guerre en Ukraine.
Si de nombreux pays d'Europe centrale ou orientale dépendent entièrement de la Russie pour leur approvisionnement en gaz, comme la Slovaquie ou les Pays Baltes, la part du gaz russe est de 80 % en Pologne, 65 % en Autriche, 37 % en Allemagne et en Italie et 24 % en France.
La France, dépendante à 20 % du gaz russe
La quantité de gaz russe importée par la France pour répondre aux besoins de consommation du pays est loin d'être négligeable : en 2019, sa part dans les importations de gaz en France était de 20 %1.
Les trois principaux clients de la France sont : l'Allemagne (pour 68,6 milliards d'euros) ; l'Italie (pour 39,1 milliards d'euros) ; et la Belgique (pour 37,2 milliards d'euros).
Le marché intérieur consomme, chaque année, environ la moitié de la production et le reste des grains récoltés est destiné à l'exportation, ce qui permet à la France de se classer au rang de 5ème exportateur mondial de blé, derrière la Russie, les Etats-Unis, le Canada et l'Ukraine.
Le secteur de l'électricité en Allemagne se caractérise en 2021 par une production brute d'électricité issue en premier lieu des centrales à combustibles fossiles : 43,8 % (lignite : 18,5 %, charbon : 9,3 %, gaz naturel : 15,2 %, pétrole : 0,8 %), malgré la progression des énergies renouvelables : 40,5 % (éolien : 20,1 ...
La Suisse était exportatrice nette d'électricité en 2019 : elle a exporté 35,8 TWh, principalement vers l'Italie (22,5 TWh) et a importé 29,5 TWh, principalement d'Allemagne (14,5 TWh) et de France (8,7 TWh).
La fourniture d'électricité est essentiellement gérée par 6 fournisseurs, les "Big Six", fournissant de l'électricité et du gaz à plus de 90% des foyers du pays: British Gas, filiale de Centrica, environ 20 millions de sites clients. EDF Energy, filiale d'EDF, environ 6 millions de sites clients. E.
Environ 90 pour cent du gaz consommé annuellement en Allemagne sont importés de la Russie, de la Norvège et des Pays Bas. Le gaz naturel arrive en Allemagne par des gazoducs et est ensuite injecté dans le réseau de transport, puis dans le réseau de distribution.
Nous pouvons citer la vétusté et la faiblesse de la protection des centrales, le (non) traitement des déchets radioactifs, l'extraction de l'uranium et ses méfaits sur les populations locales, les risques de prolifération et l'utilisation de déchets radioactif dans des armes sales, le transport de ces matières sur les ...
En Allemagne, ce sont les énergies renouvelables qui remplacent le nucléaire. En regardant de plus près le système de production d'électricité allemand, on constate que ce sont en fait les énergies renouvelables qui se sont développées massivement pour se substituer aux réacteurs nucléaires.
A noter que la France a importé 10 650 tonnes de blé et 3 697 tonnes de maïs. Pour les autres céréales comme l'orge, le malt, le seigle, l'avoine ou encore le sorgho, les volumes d'importation sont bien moins importants.